Des soldats irakiens tiennent des positions sur la ligne de front dans les environs de Makhmur, au sud de Mossoul, le 17 juillet 2016
Les forces spéciales irakiennes ont lancé mardi une opération pour reprendre aux jihadistes la ville de Qayyarah, une position clé en vue de la bataille de Mossoul plus au nord, principal bastion du groupe Etat islamique en Irak, ont indiqué des sources militaires.
Qayyarah se situe sur la rive ouest du Tigre, à une soixantaine de kilomètres au sud de Mossoul, dernière grande ville aux mains de l’EI en Irak.
« L’opération a débuté à l’aube avec la participation des services du contre-terrorisme (CTS) et des forces armées », a déclaré à l’AFP le général Firas Bachar, porte-parole du commandement des opérations dans la province de Ninive, où se situent Qayyarah et Mossoul.
L’offensive a également bénéficié du soutien de la coalition internationale sous commandement américain, a-t-il ajouté.
« L’opération est en cours et atteint actuellement ses objectifs », a déclaré à l’AFP Sabah al-Nomane, porte-parole du CTS. « Qayyarah sera nettoyée et l’opération rapidement terminée, ce qui renforcera nos plans (…) pour la bataille finale visant à libérer Mossoul. »
M. Nomane a également précisé que des habitants armés à l’intérieur de la ville avaient collaboré avec les forces irakiennes dans le cadre de cette offensive, un événement rare.
Au cours des dernières semaines, les forces irakiennes ont renforcé leurs positions autour de Qayyarah, qui devrait servir de base stratégique pour la bataille de Mossoul prévue dans les semaines ou mois à venir.
Selon le maire de Qayyarah, Saleh al-Joubouri, quelque 15.000 civils seraient pris au piège de l’EI dans la région de Qayyarah.
« Nous prévoyons de fournir des produits alimentaires et médicaux à ceux qui sont encore chez eux et ne sont pas parvenus à fuir », a-t-il déclaré à l’AFP, précisant que l’aide serait « distribuée immédiatement après la libération de la ville ».
M. Joubouri a indiqué que les forces du CTS progressaient rapidement dans Qayyarah et avaient déjà repris les principaux sites de la ville, quelques heures seulement après le lancement de l’opération. « La plupart des combattants de Daech (acronyme arabe de l’EI) ont été tués ou ont fui », a-t-il affirmé.
Après avoir repris en juin Fallouja, à l’ouest de Bagdad, les forces gouvernementales ont désormais Mossoul en ligne de mire, la deuxième ville du pays et capitale de facto de l’EI en Irak.
Des passants se protègent de vents et pluies violents dans le centre de Tokyo, le 22 août 2016, à l’approche du typhon Mindulle
Un typhon, Mindulle, le neuvième de la saison en Asie, a accosté lundi près de Tokyo, accompagné de pluies diluviennes, forçant les compagnies aériennes japonaises à annuler des centaines de vols et perturbant la circulation sur les routes et voies ferrées.
Les deux pistes de l’aéroport international de Tokyo situé à Narita ont été fermées quelques dizaines de minutes en raison des vents puissants qui ont forcé à évacuer momentanément la tour de contrôle, selon un responsable sur place.
Le typhon, dont les pointes de vent peuvent atteindre 180 km/heure, est arrivé à la mi-journée sur la côte à Tateyama, au sud de Chiba, préfecture limitrophe de Tokyo, là où se trouve Narita. Il est assez rare que les typhons accostent en cette partie de l’archipel. Souvent, ils balayent d’abord une partie plus à l’ouest.
Une dizaine de personnes ont été blessées dans les diverses régions traversées, a indiqué la chaîne publique NHK, compilant des informations des services de secours.
Mindulle est accompagné de fortes précipitations qui devraient particulièrement toucher la capitale et sa banlieue dans l’après-midi et en début de soirée.
Au moins neuf cours d’eau des régions de Tokyo, Kanagawa et Chiba ont atteint le niveau d’alerte qui oblige à conseiller ou ordonner aux riverains de partir, a précisé la NHK dont l’antenne est presque entièrement consacrée aux informations sur ce cyclone tropical.
Des avis de conseil ou préparation à l’évacuation concernant des centaines de milliers de foyers ont été lancés pour plusieurs localités où risquent de se produire des inondations et des glissements de terrain, y compris dans une partie du centre-sud de Tokyo.
Des trains ont été stoppés ou retardés aux heures de pointe et ceux qui circulaient étaient ralentis et bondés.
Les rames de la ligne circulaire Yamanote au coeur de Tokyo étaient arrêtées dans l’après-midi en raison de la chute d’un arbre.
Les millions de salariés de la capitale craignent des perturbations encore plus importantes lors des trajets de retour.
Au moins 475 vols ont été annulés par les compagnies aériennes, en majorité par les deux principales, Japan Airlines (JAL) et All Nippon Airways (ANA). Ce nombre pourrait encore augmenter au fil des heures, ont-elles averti sur leurs sites internet.
« Des pluies terribles sont redoutées dans toute la partie est du pays avec des vents extrêmement forts », selon la NHK dont les journalistes enchaînaient les directs depuis les différentes régions concernées.
Entre 20 et 30 typhons balayent chaque année l’Asie, la moitié environ affectant le Japon.
Il a donc fallu attendre la 52e minute pour voir le Paris SG inscrire son premier but à domicile cette saison avec cette frappe de Lucas qui ne laisse aucune chance à Didillon. Jusque-là, les joueurs d’Unai Emery dominaient outrageusement mais manquaient de réalisme de façon incroyable. Edinson Cavani est le principal visé de cette stérilité parisienne en ayant manqué beaucoup d’occasions en première période. Une inefficacité de l’attaquant uruguayen qui avait décléenché les sifflets au Parc des princes. Mais ce but de Lucas est venu calmer, temporairement, ce public trop exigeant.
Depuis cette égalisation, le FC Metz a repris du poil de la bête et se procure de plus en plus d’occasions dans cette rencontre à l’image de Mevlüt Erding qui manque son duel face à Kevin Trapp à l’heure de jeu. Mais Kurzawa est venu saborder le mental des Lorrains en marquant de la tête à la 68e minute. Le match semble être désormais plié.
Les compositions :
Paris SG : Trapp – Aurier, David Luiz, Kimpembe, Kurzawa – Rabiot, Motta (c) – Di Maria, Pastore, Lucas (65e, Verratti) – Cavani
EN DIRECT. PSG-Metz (2-0) : Kurzawa creuse l’écart !
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Guingamp
2
–
1
Marseille
Terminé
Saint-Etienne
3
–
1
Montpellier
Terminé
Dimanche 21 Août 2016 à 20h45 – Arbitre : François Letexier
Paris SG
0
1
2
0
0
0
Paris SG
Metz
0
Score à la mi-temps
0
51 min.
Lucas Moura
66 min.
Kurzawa
Metz
Rafraîchissement dans 60secondes
88 min. – 2ème Mi-temps
Le match
La compo
Les 2 buts
Les 14 actions
Les 2 cartons
Les 5 changements
Les Chiffres
Réagissez
87 min. : Kurzawa manque le plus facile ! Alerté sur la gauche, il réalise un bon contrôle. Il enchaine avec un grand pont et centre vers Cavani au point de penalty. Malheureusement pour lui, son centre est trop haut.
85 min. : Le rythme est clairement moins élevé depuis le second but parisien. Hormis Cavani qui tente de se rassurer, très peu de joueurs apportent le danger.
83 min. : Ben Arfa provoque. Il sollicite le une-deux avec Verratti mais Falette sauve son camp de justesse.
82 min. – Changement: Rentrée du jeune Mollet en lieu et place de Jouffre.
80 min. – Changement: Sortie de Pastore pour la première rentrée de Ben Arfa au Parc des Princes.
79 min. : Pastore est parfaitement servi dans la surface. Il remet à Verratti qui doit enchainer par une frappe mais tente un crochet. Il est repris par la défense.
78 min. – Occasion pour Paris SG: Nouveau manqué de Cavani ! Di Maria le lance dans la surface d’une superbe transversale. Cavani décide de frapper de volée sans contrôle mais son tir est trop croisé.
77 min. – Occasion pour Paris SG: Quelle occasion ! Di Maria est parfaitement servi à l’entrée de la surface. Il enroule sa frappe qui s’écrase sur la barre. Le ballon sur Cavani, seul, qui contrôle et frappe pied gauche mais dévisse totalement. C’est un énorme manqué de l’Uruguayen.
74 min. : Ils veulent mettre le troisième ! Petit festival du trio Di Maria-Pastore-Verratti. Kurzawa est finalement servi sur la gauche. Il centre au premier poteau sur Pastore qui frappe en première intention. Son tir passe légèrement au dessus des buts de Didillon.
72 min. – Changement: Rabiot, émoussé, laisse sa place à Blaise Matuidi.
71 min. : Verratti se montre ! A peine rentré, le voilà servi devant la surface. Il en profite pour prendre sa chance mais cela passe au dessus.
71 min. – Changement: Double changement messin avec les sorties de Nguette et Doukoure pour Diallo et Sarr.
69 min. : Aurier est intenable devant mais laisse des espaces dans son dos. Nguette en profite pour tenter des choses mais il manque à peu près tout pour l’instant.
67 min. – But pour Paris SG: Le break est fait ! Sur le corner qui suit le sauvetage, Di Maria centre au second poteau. Kurzawa, seul, s’élève haut et frappe de la tête. Il trompe le gardien et met KO le FC Metz avec ce second but parisien.
66 min. – Occasion pour Paris SG: Sur la ligne, sauvé sur la ligne ! Passe parfaite de Pastore pour Kurzawa dans la surface. Le latéral remet en retrait sur Di Maria qui frappe directement. Le gardien est battu mais c’est Milan sur la ligne qui sauve et dévie en corner !
65 min. – Changement: Sortie du buteur, Lucas, pour la rentrée du chouchou du Parc des Princes, Marco Verratti.
63 min. – Occasion pour Metz: Nouvel arrêt de Trapp ! Cohade sert Erding dans le dos de David Luiz. Le Messin enchaine vite pour éviter Kimpembe. Sa frappe à ras de terre est repoussé du pied par le gardien parisien.
61 min. – Occasion pour Metz: Encore un bon coup-franc obtenu par Jouffre à 30 mètres des buts, légèrement sur la droite. Il décide de le tirer. Son centre pousse Trapp à sortir qui manque sa sortie en tamponnant Motta. Mandjeck tente de marquer dans le but vide mais frappe à côté.
60 min. – Occasion pour Metz: C’est la plus belle occasion messine ! Sur un ballon perdu devant la surface, Cohade récupère et efface Kurzawa. Il frappe à ras de terre mais Trapp effectue un bel arrêt de la main droite.
58 min. : Aurier est très actif en seconde période. Il multiplie les montées et se montre toujours aussi dangereux à droite.
56 min. : Sur un long coup-franc, il y a un cafouillage dans la surface. Au final, Milan traine et frappe de la tête mais Trapp intervient bien.
54 min. – Carton jaune pour Mandjeck: Di Maria part en contre mais Mandjeck l’arrête irrégulièrement. Il est sanctionné d’un carton jaune.
53 min. – But pour Paris SG: L’ouverture du score pour Paris ! Sur la droite, Aurier est alerté par Di Maria. Il sert ensuite Lucas qui arrive lancé. Il contrôle puis enchaine d’une frappe croisée imparable pour le gardien. Les Parisiens sont enfin récompensés.
51 min. : Le PSG manque de justesse technique dans les 30 derniers mètres. Ils perdent beaucoup de ballons dans cette zone.
50 min. : Di Maria avance sur la gauche. Il décide de centrer vers Cavani au second poteau mais Signorino était en couverture pour intercepter le ballon.
49 min. : Déjà en action pendant la coupure, Matuidi, Verratti, Meunier repartent à l’échauffement. Ils devraient rentrer assez vite.
47 min. : Pastore sert Aurier dans la surface. Le latéral se retrouve dos au but, essaye de se retourner mais il est repris par Signorino.
45 min. : C’est reparti entre Paris et Metz !
Mi-temps : Les joueurs reviennent peu à peu sur la pelouse.
Mi-temps : Mi-temps et toujours pas de but au Parc des Princes ! Le PSG domine outrageusement et si Cavani ou d’autres avaient été plus adroits, le score ne serait pas vierge. Metz souffre mais tient pour le moment. Les Messins peuvent s’estimer heureux de ne pas avoir été sanctionné d’un penalty évident sur Cavani en fin de première période. Paris devra être plus précis pour l’emporter en seconde mi-temps.
45 min. : Sur un duel aérien, David Luiz semble s’être fait mal. Il reste au sol, les soigneurs viennent s’occuper de lui.
45 min. – Occasion pour Paris SG: Lucas provoque sur la droite. Il tente de passer Signorino en vitesse et décide de frapper dans un angle fermé. C’est puissant et cadré. Didillon intervient d’une main ferme.
43 min. : Pastore rayonne au milieu de terrain. Il joue très juste et oriente bien le jeu parisien.
40 min. – Occasion pour Paris SG: Cavani est maudit ! Parfaitement servi par Di Maria au point de penalty. Il frappe et trompe le gardien. Mais Falette, devant la ligne, dévie le tir sur le poteau. L’Uruguayen devient fou.
39 min. : Récupération de Pastore à 30 mètres des buts. Il fixe la défense puis donne à Lucas à gauche. Le Brésilien remet sur DI Maria à l’entrée de la surface. Ce dernier tire sans contrôle mais il est contré lui aussi.
37 min. : Cavani n’a pas non plus ce coup de sifflet ! Sur une passe de Motta, Cavani réalise un magnifique appel et semble partir au but seul. Il est fauché irrégulièrement par Falette mais l’arbitre, à la surprise générale, ne bronche pas.
35 min. – Occasion pour Paris SG: Quelle occasion ! Pastore et Di Maria réalisent un double une-deux parfait dans la surface. Di Maria cherche à remettre à Aurier en retrait mais c’est un énorme sauvetage qui vient libérer Metz ! C’était très chaud.
33 min. : C’est très limite ! Sur une passe d’Aurier, Cavani veut contrôler mais s’effondre. Il a peut être été fauché par Mandjeck mais il est difficile de se faire une idée.
32 min. : Cavani n’y arrive pas ! Bien servi par Di Maria, il est en un-contre-un face à Milan. Il tente de le feinter puis de frapper mais il est une nouvelle fois contré.
31 min. – Carton jaune pour Aurier: Premier carton jaune du match pour Serge Aurier qui stoppe une contre-attaque intéressante pour Metz.
29 min. : Metz n’y arrive pas. Une fois le ballon récupéré, les joueurs n’arrivent pas à se donner de l’air. La balle est souvent perdue dans la minute.
27 min. : Cavani se précipite ! Di Maria déstabilise la défense d’une passe parfaite. Cavani, parti légèrement hors-jeu, est seul face au gardien dans la surface. Il manque totalement son tir qui, trop mou, est stoppé par Didillon.
25 min. – Occasion pour Paris SG: Il a flirté avec la lucarne ! Sur un long ballon, Cavani s’arrache et sauve du six mètres. Il remet à Di Maria, légèrement sur la droite de la surface. Il décide d’ouvrir son pied gauche. Son tir brossé frôle le poteau de Didillon qui semblait battu.
24 min. : Nouveau manqué de Lucas ! Beau une-deux entre Pastore et Di Maria. Pastore enchaine et sert Lucas au point de penalty. Le Brésilien tente de frapper mais rate le ballon.
22 min. : Sur la gauche, Lucas a un bon coup à jouer. Il provoque et tente de passer en vitesse face à Rivierez mais il n’y parvient pas.
20 min. – Occasion pour Paris SG: Pastore se montre ! Au milieu de terrain, il sollicite Rabiot pour un une-deux. Le Français lui remet en talonnade. L’Argentin avance à l’entrée de la surface et tire. Sa frappe frôle le cadre de Didillon.
18 min. – Occasion pour Metz: Le PSG est prévenu. Moins attentif, les parisiens laissent Cohade monter sur la droite. Ce dernier centre vers Erding qui dévie mais son tir passe au dessus.
17 min. : Nguette essaye de jouer. Dos au but, il contrôle et tente d’éliminer Kimpembe, sans succès.
15 min. – Occasion pour Paris SG: Kurzawa peut s’en vouloir ! Sur la gauche, Di Maria se joue de la défense. Il lève la tête, centre au point de penalty. Kurzawa surgit et tente de contrôler le ballon sans succès. Dommage pour Paris car Cavani était seul et prêt à reprendre le ballon si le Français ne lui avait pas grillé la politesse.
14 min. – Occasion pour Paris SG: C’était tout proche ! Sur la droite, Aurier joue le un-contre-un et prend l’avantage sur Signorino. Il centre au premier poteau vers Lucas mais ce dernier, à la lutte avec Milan, n’arrive pas à reprendre le ballon. C’est un sauvetage miraculeux de la défense messine.
12 min. : Belle passe au dessus de la défense de Pastore vers Di Maria. Le virevoltant ailier contrôle puis frappe de volée. Il est contré in-extremis par Rivierez.
11 min. : Di Maria récupère le ballon au centre du terrain. Il accélère rapidement puis tente un lob de plus de 40 mètres. Malheureusement pour lui, ce n’est pas cadré.
10 min. : Sublime talonnade de Di Maria vers Kurzawa dans la surface. Le Français remet à Motta à l’entrée de la surface mais le tir de l’Italien est contré par la défense.
09 min. : Belle percée balle au pied de Rabiot. Plein axe, il cherche à donner à Cavani qui est légèrement trop court pour contrôler le ballon.
08 min. : D’un dribble, Kurzawa élimine deux joueurs. Il décide de centrer vers le point de penalty mais Falette dégage.
06 min. : Quel geste ! Aurier déborde sur la droite. Il remet à Di Maria qui, en une touche, lance Pastore dans la surface. L’Argentin réussit un coup du sombrero sur le messin. Il veut enchainer ensuite mais le ballon sort en six mètres.
05 min. : Pour l’instant, c’est très brouillon au milieu de terrain. Le duel Doukoure/Rabiot est très intense.
04 min. : Metz relance déjà difficilement à cause du gros pressing des attaquants parisiens.
03 min. : Première offensive sur le côté droit. Lucas accélère, fixe et décale Aurier. Le centre du latéral ivoirien est contré en corner. Le coup de pied arrêté ne donne rien par la suite.
01 min. : Premier bon coup franc pour le PSG à 40 mètres des buts. Di Maria centre vers David Luiz qui reprend du pied mais il est contré.
01 min. : C’est parti pour ce match entre le PSG et le FC Metz !
00 min. : Les joueurs sont rentrés sur la pelouse, le match va démarrer.
00 min. : Côté parisien, on espérait le retour du génial Marco Verratti, il débutera sur le banc. Par contre, Edinson Cavani sera à la pointe de l’attaque pour la première fois de la saison.
00 min. : Pour affronter l’ogre parisien, Metz fait confiance à des habitués de la Ligue 1. Que cela soit Mevlut Erding, un ancien parisien, ou Cohade, ils misent sur l’expérience pour faire une bonne performance.
00 min. : C’est le premier match au Parc des Princes de la saison. Il faudra que Metz soit très solidaire pour ne pas souffrir face aux nombreuses offensives parisiennes.
00 min. : Bonsoir et merci de nous retrouver pour suivre, en direct commenté, la rencontre entre le Paris Saint-Germain et le C Metz pour le compte de la 2e journée de Ligue 1 au Parc des Princes. Le coup d’envoi aura lieu à 20h45.
Un Français, travaillant à Astaffort et résidant à Agen (Lot-et-Garonne), soupçonné d’avoir étranglé son ancienne compagne et leur fils de 7 ans à Eching, en Bavière, a été arrêté
Un Français, travaillant à Astaffort et résidant à Agen (Lot-et-Garonne), soupçonné d’avoir étranglé son ancienne compagne et leur fils de 7 ans à Eching, en Bavière, a été arrêté jeudi, selon la police locale.
L’homme de 52 ans, Alain Adone, d’origine mauricienne, est poursuivi pour double homicide par le Parquet d’Augsbourg, dans le sud de l’Allemagne.
Selon les médias allemands, le Français a avoué être l’auteur des meurtres. Le drame s’est produit mercredi, à la suite d’une dispute avec son ex-compagne de 36 ans, Hannah Voltz.
Ils s’étaient connus il y a une dizaine d’années à Astaffort, travaillant tous deux dans une agence de communication/presse, elle comme journaliste, lui comme graphiste, avant de se séparer il y a environ un an. Hannah Voltz s’était installée avec son fils, Anton, âgé de 7 ans, à Eching, mais le couple était resté en contact. L’homme était venu début août à Eching pour leur rendre visite.
Selon les témoignages des collègues de travail du graphiste, ils ont été alertés par un tweet sur le compte d’Alain Adone avec la mention « Murderer » (« Meurtrier »). Ils ont pu entrer en contact avec la famille de Hannah Voltz qui leur a confirmé le drame.
Toujours selon ses collègues, qui ont demandé à conserver l’anonymat, Alain Adone a été retrouvé aux côtés de sa compagne et de son enfant morts et aurait tenté de se suicider en se tranchant les veines. Il a été admis dans un hôpital-prison.
Il a été décrit par ses collègues incrédules comme quelqu’un de « bienveillant », « attentionné », « joyeux », qui « tenait à son enfant comme à la prunelle de ses yeux ». Il était investi dans la vie sociale comme président d’un comité de quartier d’Agen.
Une figure bien connue de la mouvance islamiste depuis une dizaine d’années, Farouk Ben Abbes, devait être indemnisée à hauteur de 7 000 euros en contrepartie d’un « préjudice moral » pour une détention provisoire de trois mois, considérée comme injustifiée. Finalement, le Belgo-Tunisien, qui avait été soupçonné de fomenter un attentat contre le Bataclan en 2010, a perçu près de 18 960 euros en mars dernier de la part de l’État, selon le communiqué du garde des SceauxJean-Jacques Urvoas.
Assigné à résidence
Il est à ce jour encore impossible de comprendre quelle manoeuvre administrative a entraîné le versement de cet excédent substantiel de plus de 12 000 euros à Farouk Ben Abbes. Et le communiqué dont la chancellerie s’est fendue n’apporte pas d’explications. Revenons en arrière : au bout de trois ans de procédure judiciaire à l’encontre de l’islamiste, le dossier débouche sur un non-lieu faute de preuves. L’avocat de Ben Abbes réclame alors un dédommagement financier de 20 000 euros pour son client sur la base d’un double préjudice moral et matériel. Dans un premier temps, il obtient gain de cause, mais le ministère de la Justice dépose un recours devant la Cour de cassation. La juridiction la plus élevée de l’ordre judiciaire français décide de façon définitive de ne retenir que le préjudice moral, accordant toutefois 6 000 euros d’indemnités à l’homme qui considère « comme un ami » le djihadiste Fabien Clain, qui a revendiqué les attentats du 13 novembre au Bataclan au nom de l’État islamique.
Mais voici que l’organisme de paiement du ministère de la Justice omet cette dernière décision formulée par la Cour de cassation, et prend inexplicablement en considération la précédente, nettement plus avantageuse pour Farouk Ben Abbes. Résultat des comptes : ce dernier, aujourd’hui assigné à résidence à Toulouse, a été gratifié d’une indemnisation totale de 18 960 euros.
Deuxième couac
L’islamiste de 31 ans donne décidément bien du mal au gouvernement. Le 22 juillet dernier, les autorités décident de l’expulser vers la Tunisie pour sa dangerosité et sa capacité à « fomenter, commettre ou apporter un soutien logistique à une action terroriste en France » alors que Ben Abbes fait l’objet d’un contrôle judiciaire à ce moment-là depuis le 15 novembre 2011, qui lui interdit de quitter le territoire français. Au dernier moment, celui-ci est débarqué, avant d’avoir pu arriver en Tunisie et d’échapper à son contrôle judiciaire avec l’aide involontaire des autorités.
L’Allemand Fabian Hambüchen en finale de la barre fixe, aux JO de Rio le 16 août 2016
L’Allemand Fabian Hambüchen a décroché mardi la médaille d’or à la barre fixe en gymnastique artistique aux JO-2016, devant l’Américain Danell Leyva et le Britannique Nile Wilson.
Fabian Hambüchen monte pour la première fois sur la plus haute marche d’un podium majeur après avoir collectionné les accessits: médailles de bronze à Pékin-2008 et d’argent à Londres-2012, et les deux mêmes à deux Mondiaux.
Danell Leyva, lui, était 5e aux JO-2012. L’Américain avait un peu plus tôt ce mardi remporté déjà la médaille d’argent aux barres parallèles.
Le Britannique Nile Wilson monte de son côté pour la première fois sur le podium d’une compétition majeure à la barre fixe.
L’événement de cette finale fut la chute du Néerlandais Epke Zonderland, tenant du titre olympique et double champion du monde.
Un Syrien marche parmi les décombres après un raid aérien qui a frappé le quartier de Sakhur au nord de Alep, le 15 août 2016
La Russie et les États-Unis sont proches d’un accord sur une coopération militaire à Alep (nord-ouest), ville-clé du conflit syrien où s’affrontent âprement les forces de Damas et les rebelles, a annoncé lundi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.
« Nous sommes dans une phase très active des négociations avec nos partenaires américains (…) et en contact quasi permanent avec Washington », a affirmé M. Choïgou lors d’une interview retransmise à la télévision russe.
« Nous avançons étape par étape vers une configuration — et je ne parle ici que d’Alep — qui nous permettra de trouver des cibles communes et de commencer à nous battre ensemble pour que la paix s’instaure sur cette terre qui souffre depuis longtemps », a-t-il ajouté.
La bataille d’Alep, la plus importante depuis le début du conflit en Syrie en 2011, est cruciale pour le régime comme pour les rebelles. Les deux adversaires y ont massé des troupes et tentent de s’emparer de la deuxième ville du pays, divisée depuis 2012 entre quartiers rebelles à l’est et quartiers prorégime à l’ouest.
La Russie, qui soutient l’armée syrienne par une campagne de bombardements aériens, a proposé d’instaurer une « pause humanitaire » quotidienne de trois heures à Alep afin de permettre l’acheminement de l’aide humanitaire. Elle craint toutefois que celle-ci ne permette aux rebelles de se réapprovisionner en combattants et en matériel.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a reconnu lundi que cette fenêtre de trois heures ne serait « pas suffisante » pour permettre d’améliorer la situation humanitaire à Alep.
Moscou et Washington se sont mis d’accord en juillet après une visite du Secrétaire d’Etat américain John Kerry dans la capitale russe sur une coopération accrue en Syrie afin de sauver la trêve et combattre les jihadistes, mais les modalités concrètes de cette coopération n’ont pas été rendues publiques.
La junte militaire thaïlandaise cherche toujours les mystérieux auteurs d’une série d’explosions ayant fait quatre morts, entre jeudi 11 et vendredi 12 août. Les enquêteurs ne privilégient pour l’heure aucune piste, mais la junte pointe du doigt celle d’un « sabotage local » plutôt que la main du terrorisme international. Outre la question de la sécurité, les autorités thaïlandaises et les professionnels du tourisme craignent que ces violences aient un impact sur la fréquentation du pays.
« C’est l’oeuvre d’un réseau »
Au total, entre jeudi et vendredi, onze bombes ont explosé à travers cinq provinces du sud de la Thaïlande, notamment dans les stations balnéaires de Hua Hin et Phuket. Ces explosions ont fait quatre morts et plusieurs dizaines de blessés, dont dix touristes étrangers. Les enquêteurs mettent donc tout en oeuvre pour retrouver les responsables de ces attentats. « Aujourd’hui, la police va se concentrer sur le renseignement et la surveillance », a ainsi annoncé le général Pongsapat Pongcharoen, chef adjoint de la police nationale. Des analyses ADN des échantillons prélevés sur les lieux des explosions sont aussi en cours et « des interrogatoires ont eu lieu hier, mais aucun suspect n’a été interpellé » jusqu’ici, a précisé le porte-parole de la police, Piyapan Pingmuang. S’il s’est refusé à donner plus de précisions concernant les personnes interrogées, il a toutefois confirmé que les 11 bombes artisanales déclenchées jeudi et vendredi « sont toutes liées ». « C’est l’oeuvre d’un réseau », a-t-il insisté.
Les experts y hésitent entre une possible vengeance de l’opposition politique (dans un climat de forte répression des libertés depuis le coup d’État de 2014) et une attaque – qui serait sans précédent – des séparatistes musulmans de l’extrême sud du pays. Mais le général Pongsapat a insisté samedi sur le fait que ces attaques n’étaient « pas une extension de la rébellion de l’extrême sud ». Par ailleurs, les autorités ont demandé le renforcement de la sécurité samedi à travers l’ensemble du pays, mettant l’accent sur les lieux publics, gares ou aéroports. Des lieux très fréquentés par les touristes.
« Toute l’opération visait une chose : l’économie du tourisme »
Ces attentats pourraient en effet avoir un impact néfaste sur l’activité touristique du pays. Samedi matin, à Hua Hin, station balnéaire la plus touchée avec deux doubles explosions ayant fait deux morts, la vie semblait revenir à la normale, mais les professionnels du secteur du tourisme s’inquiétaient de la peur des touristes étrangers. « J’ai peur que l’activité ralentisse. Ce matin, il y a moins de monde pour le petit-déjeuner. Je pense qu’ils sont tous partis », déclarait Nai Amporn, propriétaire d’un restaurant de plage à Hua Hin.
Le ministre du Tourisme, Kobkarn Wattanavrangkul, a convoqué la presse en urgence samedi pour tenter d’apaiser les inquiétudes. « Il n’y a pas d’annulations de la part de touristes étrangers », a-t-il assuré, alors même que des agences de voyages suisses, notamment Kuoni, ont d’ores et déjà annoncé que leurs clients ayant réservé des voyages en Thaïlande prévus avant le 15 août pourraient annuler et être remboursés, selon la RTS. « Nos amis étrangers gardent confiance et comprennent la situation en Thaïlande. L’incident aurait pu se passer n’importe où », a-t-il insisté.
Ces attaques mettent en effet sur la brèche la junte militaire, qui a fait de la sécurité et du retour au calme sa plus grande promesse, après des mois de manifestations et de violences de rue avant le coup d’État de mai 2014. Les poseurs de bombes ont touché les généraux là où ils savaient que cela leur ferait le plus mal : le tourisme, secteur-clé sur lequel la junte compte pour redresser une économie atone.
« Toute l’opération visait une chose : l’économie du tourisme. Cela va avoir un impact significatif sur la saison touristique dans le sud cette année jusqu’à début 2017 », estime Anthony Davis, spécialiste des questions de sécurité pour IHS Jane’s. La presse thaïlandaise titrait d’ailleurs samedi sur l’impact sur ce secteur qui représente plus de 10 % de l’économie.
L’attentat d’août 2015 à Bangkok, qui avait fait 20 morts, dont de nombreux touristes chinois, avait eu un impact sur la fréquentation touristique. Celle-ci avait néanmoins repris après quelques mois et cela n’avait pas empêché la Thaïlande de recevoir au final près de 30 millions de visiteurs en 2015, un nouveau record.
Manifestation de l’opposition gabonaise, le 23 juillet 2016 à Libreville
Après des semaines d’insultes et de batailles judiciaires entre l’opposition et le pouvoir, la campagne électorale pour l’élection présidentielle au Gabon commence officiellement samedi, avec plusieurs rassemblements à Libreville, dont ceux du président sortant Ali Bongo et de ses principaux rivaux.
Le climat se détériore depuis des mois entre le pouvoir et les adversaires d’Ali Bongo, élu à la mort de son père Omar en 2009 après 41 ans de pouvoir, et qui brigue un nouveau septennat lors du scrutin à un tour le 27 août face à 13 candidats.
Le médiateur de la République Laure Olga Gondjout, qui avait appelé en mai à un dialogue inclusif, a redouté jeudi « un contexte électoral périlleux » avec « son cortèges de troubles ».
A tort ou à raison, la peur d’éventuels dérapages, surtout après la proclamation des résultats, hante les quelque 628.124 électeurs gabonais habitués à la paix civile.
La capitale a connu deux accès de tensions, lorsque la police a dispersé de petits rassemblements d’opposants les samedi 9 et 23 juillet à Libreville.
Une quinzaine d’activistes de la société civile, dont un syndicaliste enseignant, sont toujours détenus depuis leur interpellation le 9. Des « casseurs » pour le pouvoir, une « détention arbitraire » pour le collectif citoyen Dynamique unitaire.
« Le changement c’est moi », proclame à l’AFP le président sortant Ali Bongo, qui doit tenir un meeting samedi à Akanda, ville qui touche Libreville où le gouvernement a récemment délocalisé le ministère de l’Intérieur, nourrissant les pires rumeurs dans les rangs de l’opposition.
Deux de ses principaux rivaux, Jean Ping et Guy Nzouba Ndama, doivent aussi rassembler leurs troupes.
Les opposants, souvent d’ex-cadres vieillissants du pouvoir, mettent en cause la filiation et la légitimité du président, 57 ans.
Selon eux, Ali Bongo ne peut être président, étant un enfant du Nigéria adopté par Omar Bongo qui a falsifié son acte de naissance, alors que la Constitution impose aux candidats d’être nés Gabonais.
L’opposition, qui peine à apporter des preuves de sa thèse, a été déboutée de presque tous ses recours. La Cour constitutionnelle a validé fin juillet la candidature d’Ali Bongo.
– ‘L’opposition se sabote’ –
Face à lui, ses détracteurs sont jusqu’à présent à peine audibles, ayant très peu accès aux grands médias contrôlés par l’Etat ou proches du pouvoir, où est en revanche abondamment relayée la moindre sortie du chef de l’Etat.
Surtout, « l’opposition se sabote elle-même en arrivant dispersée » dans un scrutin à un seul tour, souligne un observateur de la politique gabonaise. Ce nombre élevé de candidatures favorise de facto le président sortant qui peut être élu avec une majorité très relative.
Ancien président de la Commission de l’Union africaine et ex-beau frère d’Ali Bongo, Jean Ping, 74 ans, de père chinois et de mère gabonaise, possède un solide carnet d’adresse dû à son passé de diplomate, et a promis de ne faire qu’un seul mandat s’il arrive en tête.
Guy Nzouba Ndama, 70 ans, dont une vingtaine à la tête de l’Assemblée nationale, peut compter sur le soutien de nombreux barons locaux déçus de la politique du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), mais sa défection très récente (mars 2016) lui vaut des critiques.
Troisième candidat crédible, l’ancien Premier ministre Casimir Oye Mba, souffre encore de sa volte-face en 2009, quand il avait retiré sa candidature au dernier moment pour soutenir Ali Bongo.
Ces trois anciens barons dénoncent notamment la « légion étrangère » dans l’entourage proche du président Bongo: il s’agit selon eux d' »un tout petit clan qui contrôle ostensiblement tous les rouages du pouvoir pour amasser à la vue de tous l’argent facile ».
Premier dans leur ligne de mire, le directeur de cabinet du président, le Béninois Maixent Accrombessi, à qui l’opposition et une partie de l’opinion prêtent une très grande influence sur le chef de l’Etat.
Ancienne puissance coloniale, régulièrement accusée par les journaux d’opposition d’avoir adoubé Ali Bongo en 2009, la France se tient officiellement prudemment en retrait du scrutin.
« La France souhaite ardemment que ces élections se déroulent dans le calme, dans la transparence et la régularité », avait glissé l’ambassadeur de France Dominique Renaux lors de son discours du 14 juillet, en insistant: « Nous n’avons pas d’autre objectif ».
Cela fait une éternité qu’on n’a pas entendu rugir le lion Aslan. L’Odyssée du Passeur d’Aurore, quatrième volet de la saga au cinéma, est sorti il y a six ans déjà. Depuis, la franchise adaptée des romans fantasy de C. S. Lewis était tombée dans un profond sommeil, coulée sous les querelles de studios. On commençait à perdre tout espoir, mais voilà qu’en cette semaine de résurrection, après l’annonce de la suite de Man of Steel, Narnia reprend lui aussi des couleurs et s’offre un requel inespéré.
Après Disney et 20th Century Fox, le studio Tristar, propriété de Sony, annonce qu’il va reprendre le flambeau. Le nouveau volet sera l’adaptation du Fauteuil d’argent, le quatrième des sept tomes des Chroniques de Narnia. Le film sera produit par Mark Gordon et le beau-fils de C. S. Lewis, Douglas Gresham. Le scénario est écrit par David Magee (L’Odyssée de Pi, Neverland). L’objectif est de relancer la franchise en tirant profit, comme toujours ces temps-ci, de la nostalgie des fans.
Redémarrage
Qui dit requel dit nouveau réalisateur et nouveau casting. Dans Le Fauteuil d’argent, plus question des enfants Pevensie, désormais bien trop vieux pour vadrouiller dans le monde magique de Narnia. L’histoire se déroule des décennies plus tard. Ne reste plus qu’Eustache, vu aux côtés de Lucy et d’Edmund dans L’Odyssée du Passeur d’Aurore. Le héros est maintenant élève d’une école expérimentale mixte où les enfants les plus forts martyrisent les plus faibles – dont lui-même et sa nouvelle amie, Jill Pole. Les deux amis prendront le chemin de Narnia et tenteront de retrouver Rilian, un jeune prince appelé à succéder à Caspian (Ben Barnes, bientôt dans la série Westworld), maintenant âgé et disparu. Ils le découvriront dans un souterrain protégé par une reine aux pouvoirs maléfiques.
Ne vous attendez pas à retrouver Will Poulter (The Revenant) dans le rôle d’Eustache. Lui aussi a bien grandi. Il est donc fort probable que Tristar relance la franchise avec une toute nouvelle équipe. En 2010, L’Odyssée du Passeur d’Aurore avait rapporté 416 millions de dollars au box-office et avait modérément plu à la critique. Moins que le deuxième volet (420 millions) et beaucoup moins que le premier (745 millions). Des années après, la magie pourrait de nouveau opérer, nostalgie oblige.