L’aviation et la réexamination

La demande de réexamen est fondée sur le pouvoir de la FAA de réexaminer un aviateur titulaire d’un certificat ou d’une qualification (pilote, instructeur de vol, cellule et groupe motopropulseur, etc.) en tout temps, conformément à 49 USS. 44709 (a). Lorsque la FAA découvre une preuve qui l’amène à remettre en question les qualifications d’un aviateur pour exercer les privilèges du certificat ou de la qualification applicable, la FAA émet la demande obligeant l’aviateur à démontrer qu’il possède encore les qualifications requises pour le brevet applicable. certificat ou note. Les incidents tels que les atterrissages en rattrapage et le départ incontrôlé de la piste sont des exemples de situations impliquant des circonstances qui, très bien, peuvent amener la FAA à remettre en question les qualifications d’un aviateur. Vous vous demandez peut-être si une demande de réexamen est appropriée si l’accident ou l’incident n’était pas la faute de l’aviateur. Par exemple, si l’accident ou l’incident a été causé par une panne mécanique, est-ce encore assez pour que la FAA demande un réexamen? Malheureusement, à moins que la défaillance mécanique ne soit évidente pour la FAA en tant que cause unique de l’incident, une demande de réexamen est susceptible d’être considérée comme raisonnable. Pourquoi? Parce que la FAA a seulement «des raisons suffisantes de croire qu’un aviateur ne peut pas être qualifié pour exercer les privilèges d’un certificat ou d’une qualification en particulier». Si c’est le cas, la demande de réexamen est jugée raisonnable, sans égard à la le manque de compétence a joué un rôle dans l’événement. Selon l’Ordonnance 8900.1 de la FAA, chapitre 7, volume 7, [traduction] «[t] y a lieu de demander un réexamen», notamment des rapports fiables, des renseignements personnels ou des preuves obtenues lors d’un accident, d’un incident ou d’une enquête. Ainsi, le « manque de compétence » doit être étayé par les faits et les circonstances de l’affaire. Cependant, tant que la base d’une remise en question de la compétence d’un aviateur a été impliquée plutôt que démontrée, la demande est considéré comme raisonnable. La demande de réexamen Les procédures de réexamen sont définies dans l’ordonnance 8900.1. Le bureau de district des normes de vol («FSDO») responsable de la zone dans laquelle l’accident ou l’incident s’est produit enverra à l’aviateur une lettre demandant un réexamen, par courrier certifié, avec accusé de réception. La lettre comprendra (1) les raisons du réexamen; (2) le certificat et / ou la qualification spécifique pour lequel le réexamen est nécessaire; (3) le type de réexamen (par exemple, les tâches que l’aviateur devra accomplir); (4) la catégorie et la classe d’aéronef requises (le cas échéant); (5) le lieu du réexamen; et (6) un délai pour l’exécution du réexamen. Après que l’aviateur ait reçu la lettre, l’aviateur dispose généralement de quinze (15) jours pour compléter le réexamen, bien que ce ne soit pas toujours le cas. Si un aviateur a été blessé dans un accident et que son état physique l’empêche du réexamen ou si l’aviateur a besoin de plus de quinze (15) jours pour s’entraîner / se préparer au vol, le ré-examen peut être reporté. Dans ces circonstances, la FAA peut exiger que l’aviateur remette son certificat d’aviateur et la FAA délivrera un certificat temporaire de 30 jours pour que l’aviateur puisse exercer ses activités jusqu’à la fin du réexamen. En pratique, il n’est pas rare qu’un réexamen soit effectivement effectué après la période de quinze (15) jours. Cela est particulièrement vrai si le réexamen doit être effectué dans un aéronef nécessitant un certificat de type puisque le réexamen devra être effectué par un inspecteur de la FAA qui détient également un certificat de type dans l’aéronef concerné. Il est également possible de planifier le réexamen à effectuer dans le cadre d’une prochaine formation. Tant que l’aviateur communique avec le FSDO et / ou l’inspecteur, il est généralement possible d’effectuer le réexamen sans avoir abandonner le certificat ou la qualification applicable. Cependant, si la FAA estime que l’aviateur sera exploité commercialement pendant le transport de passagers, la FAA peut exiger que le réexamen ait lieu dans un délai de moins de quinze (15) jours. Dans une telle situation, si l’aviateur est incapable ou refuse de se soumettre au réexamen dans le délai imparti, l’aviateur peut effectivement devoir rendre son certificat ou sa qualification. Si l’aviateur doit remettre son certificat ou sa qualification, l’aviateur peut alors obtenir une double instruction d’un instructeur de vol breveté en prévision du vol ou, si l’aviateur juge nécessaire d’exercer seul, la FAA peut délivrer un permis temporaire. certificat d’aviateur, valide pour trente (30) jours, plutôt que la période de cent vingt (120) jours habituellement permise avec un certificat temporaire. Toutefois, si un certificat temporaire est délivré, le certificat / qualifications pour lequel l’aviateur doit être réexaminé aura la limitation « Pour étudiant Fins pilotes seulement – Transport de passagers interdit ». Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de cette activité de baptême de l’air en avion.

Les limites de la scandalisation

La rhétorique de la dénonciation des « scandales » est aussi banale que puissante. Mais les effets de la mise en accusation publique restent aléatoires. Certes, les médias de divertissement ont de longue date mis en scène les comportements transgressifs des élites dans leur milieu professionnel. Des films ont obtenu de grands succès : du scandale du Watergate (All the presidents’men, 1976), à la débâcle financière de 2008 (Too big to fail, 2011), en passant par la dénonciation de la corruption (All the King’s men, 1949 ; The best man, 1964 ; City Hall, 1996 ; Lord of War, 2005). Des séries télévisées font de ces sujets la matière récurrente d’excellents scénarios : Boss, Boardwalk Empire, The Wire. Mais le plaisir de l’indignation morale suscité par des fictions est très éloigné des vicissitudes des réformes sociales et politiques. À la suite de différentes enquêtes sur la réaction sociale aux déviances et délinquances des élites – matière favorite de la scandalisation –, de nombreux auteurs ont montré le contraste massif qui existe dans la durée entre la virulence initiale des campagnes médiatiques de dénonciation et la faiblesse des réactions sociales finales. Chaque fois qu’est révélé un évènement montrant un problème de transgression majeure des normes sociales impliquant un dirigeant (public ou privé), la situation est présentée comme intolérable. Le terme « scandale » est très facilement utilisé. Nombre de journalistes et d’experts appellent à des sanctions exemplaires et à des mesures de prévention exigeantes. Mais après des mois, régulièrement après des années de silence, le « scandale » n’est plus qu’une « affaire » et se trouve réduit finalement à un « problème technique » dépourvu d’enjeu majeur. Souvent, aucune poursuite n’a lieu, l’affaire est classée faute de preuve ou de gravité démontrée. Au bout du compte, il y a peu ou pas de sanction et peu ou pas de grande réforme. Ainsi, longue est la liste des « scandales » à court terme dont l’issue judiciaire et politique a été purement symbolique, ou bien elle s’est effilochée dans les méandres des expertises et de la procédure. Les procès du Crédit lyonnais (de Blic, 2005) ou de l’ex-président Jacques Chirac (Lascoumes, 2013) en fournissent des exemples significatifs.

En F1

Si je devais dire ce qui me fascine le plus au monde, je dirais que c’est probablement la vitesse. Et ce, depuis toujours, enfait. Quand je partais en vacances avec mes parents, je me moquais comme de ma première culotte courte du lieu où l’on allait. Moi, ce qui me faisait rêver, c’était le fait de partir en voiture. Et cette fascination est intacte, aujourd’hui encore. Il y a quelques jours, par exemple, je me suis amusé à faire un baptême de Formule 1 à Bordeaux. Un baptême où le pilote a franchi la barre des 300 km/h ! Cette sortie fabuleuse m’a poussé à me demander ce qui me touchait tant dans la vitesse. Et finalement, cet émerveillement n’a, je crois, de sens qu’avec la notion d’espace. La vitesse contribue en effet à mettre à portée de main un monde auparavant colossal. Le Concorde ouvrait par exemple la possibilité de se rendre à New York en 3h30 ; c’était carrément un raccourci vers le Nouveau-Monde !  Cette vitesse relie sans cesse les gens, et nous permet d’avancer. Cette notion de vitesse est à mon sens majeure dans l’histoire des hommes. A partir du moment où l’auto est apparu, par exemple, ça a représenté un changement majeur dans la vie des individus : ces derniers ont alors eu la possibilité pour la première fois d’aller où ils voulaient, d’explorer des lieux qui leur étaient auparavant inaccessibles, du seul fait qu’y aller aurait tout simplement pris trop de temps. Le web s’inscrit dans la même veine, d’une certaine façon : il nous donne la possibilité de discuter avec des internautes à des milliers de kilomètres de là. Ce monde autrefois colossal est de ce fait devenu microscopique. Et ça a évidemment une grande incidence sur notre manière de réfléchir. Nous ne cogitons plus seulement à ce qui nous entoure : nous pensons à l’échelle mondiale, et commençons même à lorgner vers l’espace infini au-dessus de nos têtes… C’était la méditation du jour ! :) En tout cas, si vous êtes comme moi accro aux sports extrêmes, je vous invite à tenter cette expérience en F1 : c’est franchement étourdissant à vivre ! Je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour ce baptême à Bordeaux. 😉 Pour en savoir davantage, je vous recommande la lecture du site internet sur cette expérience de baptême F1.

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La situation au Luxembourg

Les finances publiques devraient rester saines au Luxembourg. La mise en oeuvre de la réforme fiscale pourrait réduire en 2017 l’excédent des administrations publiques, qui a atteint 1,6 % en 2016. En 2018, la croissance soutenue des recettes, qui s’appuie sur une forte expansion économique sous-jacente, devrait être neutralisée par la hausse des dépenses publiques, principalement du fait d’investissements dans les infrastructures. Le Luxembourg a accompli des progrès limités dans la mise en oeuvre des recommandations par pays de 2017. Le gouvernement a fait certains progrès en ce qui concerne la diversification de l’économie. Des progrès limités ont été réalisés en matière de suppression des restrictions réglementaires dans le secteur des services aux entreprises, ainsi qu’en ce qui concerne la limitation de la retraite anticipée et l’augmentation du taux d’emploi des personnes âgées. En ce qui concerne les progrès dans la réalisation des objectifs nationaux au titre de la stratégie Europe 2020, le Luxembourg est sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs en matière d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique en 2020. Le Luxembourg devrait toutefois manquer son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2020. La taxation des carburants reste faible, ce qui favorise la congestion du trafic et incite peut-être à une augmentation de la consommation. Peu de progrès ont été accomplis dans la réalisation des objectifs concernant les investissements en R&D, la réduction du risque de pauvreté, ainsi que le taux d’emploi, qui reste en deçà de l’objectif. Le Luxembourg obtient des résultats relativement bons en ce qui concerne les indicateurs du tableau de bord social soutenant le socle européen des droits sociaux. Le taux de chômage et le pourcentage de jeunes ne travaillant pas, ne suivant pas d’études ou de formation sont faibles. Les structures d’accueil pour les très jeunes enfants sont largement répandues. L’inégalité des revenus et l’affaiblissement de l’effet des transferts sociaux sur la pauvreté méritent une attention particulière.

Addict à l’adrénaline

Je pense que, d’une certaine manière, ce rêve était enraciné en moi depuis des années. Alors, il fallait bien qu’un jour, je le réalise. Après tout, les rêves servent bien à ça. La semaine dernière, donc je l’ai enfin fait : j’ai embarqué dans un avion de chasse pour un vol de 45 minutes dans le ciel de Reims ! Une aventure merveilleuse que je ne suis pas près d’oublier ! Cependant, je m’étais décidé à ne pas l’annoncer sur ce blog. Je ne l’ai même pas annoncé sur Twitter (un comble, pour un accro au petit oiseau bleu tel que moi !). Il y a une raison toute simple à cette soudaine discrétion 2.0. Tout récemment, j’ai en effet pris conscience que le partage de notre vie en ligne était devenu une idée fixe qui prenait un peu trop de place dans notre quotidien. Je parle de partage, mais en fait, ce n’est pas le terme exact : car pour être honnête, ce n’est pas tant un partage qu’une mise en avant de soi. Nous sélectionnons soigneusement l’information pour nous montrer sous notre meilleur jour. C’est une chose qui paraît évidente mais qu’on a en réalité tendance à perdre de vue : cette notion de « partage » a pris une place prépondérante dans nos vies.. Nous passons désormais tant de temps collés à nos écrans que nous en occultons de plus en plus le réel. Nous sommes tellement obnubilés par notre existence virtuelle que même quand nous faisons une nouvelle expérience dans le réel, nous n’avons pas terminé de la vivre que nous pensons déjà au moment où nous allons la partager sur les réseaux sociaux. De manière générale, nous ne sommes plus dans le présent : nous vivons sans cesse dans l’instant qui suit, celui où une communauté de gens que l’on ne connaît même pas forcément va complimenter et liker notre petit bout de vie. Au fond, nous sommes tous des intoxiqués réclamant leur dose de likes. Toujours est-il que si vous avez un jour la chance de goûter aux joies du vol en avion de chasse, lancez-vous sans hésiter. Si voulez en savoir davantage sur ce vol à Reims, je vous mets en lien le prestataire par lequel je suis passé. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette activité de vol en L-39.

Manager les contextes

Lors de mes interventions en entreprises, j’entends souvent : « unteln’est pas motivé, il en fait le minimum, c’est un boulet pour le service. » Quelquefois le manager surenchérit avec : « il est nul, j’aimerais m’en débarrasser! » Ces jugements à l’emporte pièce portent exclusivement sur la personne concernée. A chaque fois que ce constat est posé, j’invite mes interlocuteurs à déplacer untel dans un autre service avec d’autres collègues, un autre lieu, un autre manager et d’autres missions. Dans la grande majorité des cas, untel le nul dans son ancien service se mue enintel le performant dans son nouvel environnement. Dans de plus rares cas contraires, untel reproduit ses comportements antérieurs , le changement de contexte n’a alors pas fonctionné. Avant de prendre des mesures expéditives , installez la personne dans un autre contexte pour lui offrir une deuxième chance. Dans le sens inverse, le changement de contexte peut se révéler délétère. Un très bon élément dans un contexte donné devient contre performant dans un autre contexte. Le manager est parfois le seul élément contextuel agissant sur une équipe. Par exemple une équipe qui avait un taux élevé d’absentéisme et d’accidents de travail, voit ces taux baisser en changeant de manager. Ou l’inverse, une équipe saine se délite avec un nouveau manager. Ces phénomènes concernent aussi les modèles d’excellence et les bonnes pratiques. Ces modèles et ces bonnes pratiques se nourrissent du contexte dans lequel ils s’exercent. Vouloir les reproduire automatiquement dans d’autres contextes est une vaine quête. De surcroît, ces démarches d’importation courroucent les acteurs concernés ayant l’impression d’etre des mauvais élèves par rapport aux premiers de la classe. C’est pourquoi il convient de les transférer en y ajoutant un « grain de sel. » Comment? 1-Recenser les bonnes pratiques existantes dans l’entreprise ou ailleurs, que vous avez envie de transposer dans votre service ou équipe. 2-Présenter aux équipes ces bonnes pratiques en précisant qu’il faudra bien entendu les adapter à votre contexte. Une transposition est plus riche qu’une simple application. 3-Associer les acteurs concernés à la mise en place de ces bonnes pratiques. Si possible, organiser des rencontres entre les initiateurs d’une bonne pratique et quelques-uns de vos équipiers. 4- Partager vos innovations avec les autres services et équipes. En d’autres termes, l’appropriation d’un modèle ou d’une bonne pratique suppose une prise en compte du contexte où elle va s’insérer. Le manager avisé sait par avance que cela changera aussi ce contexte.

Vous voulez devenir un pilote ?

Êtes-vous un pilote de ligne wannabe? Un pilote privé wannabe? Ou même un pilote? Avez-vous peur d’aller voler mais aimez l’idée de cela? Voulez-vous aller voler sans dépenser des milliers? Voulez-vous aller voler dans votre salon? Ensuite, un téléchargement de simulateur de vol est exactement ce dont vous avez besoin. Microsoft Flight Simulator vous emmènera où vous voulez dans le monde et vous vous sentirez comme si vous étiez en fait à la tête de votre propre avion. Microsoft Flight Simulator a beaucoup progressé au fil des ans et les graphismes sont passés de base à assez étonnant pour dire le moins. Dans cet article, je vais vous parler un peu du jeu pour télécharger un simulateur de vol. Imaginez-vous … Vous êtes assis dans le siège de droite d’un Boeing 737-700 prêt pour le départ. Vous êtes aligné sur la piste 25 et les gouttes de pluie légère peuvent être entendues rebondir doucement hors de la fenêtre du flightdeck. Le contrôle de la circulation aérienne vous donne la permission de décoller et vous aidez les leviers de poussée à délivrer cette puissance impressionnante. sensationnel!! N’est-ce pas le travail de rêve? Voulez-vous le faire dans le confort de votre salon? Avec des graphismes qui vous font sentir comme si vous étiez là au beau milieu de l’action. Les jeux de simulateur de vol sont tellement avancés qu’il y a trop de fonctionnalités pour que je puisse les énumérer, mais je vais faire de mon mieux pour en énumérer quelques-unes pour vous maintenant. Le vol sim X le plus récent vous met au cœur de l’expérience en … 1. Fournir la vie dynamique du monde avec l’artisanat en mouvement. Animaux sauvages. Véhicules dans les aéroports. Trafic aérien et dynamique atc et beaucoup d’autres 2. Vous permet de voler des missions programmées et prêtes à aller dans le monde entier, y compris des missions pilotes en ligne, pilotant un avion stunt Red Bull , des tutoriels et bien d’autres 3. Le ciel partagé est une caractéristique importante du trafic qui passe devant vous et se déplace à vos côtés sur le sol. Vous pouvez même vous connecter en ligne et voler avec vos amis. Voyez-vous pourquoi un téléchargement de simulateur de vol est fait pour vous? 4. Volez 21 avions à la fine pointe de la technologie d’un Airbus A321 à un Extra 300 s. Comme vous pouvez le voir dès les premiers jours du simulateur de vol, il a beaucoup progressé. Avec tous les simulateurs de vol, il est possible de trouver un téléchargement de simulateur de vol. Vous pouvez télécharger le jeu et voler de votre propre domicile en quelques heures. Les téléchargements de simulateur de vol peuvent également vous fournir de nombreux ajouts de paysages exacts dans votre propre ville aux couleurs exactes de la peinture des compagnies aériennes qui passent devant vous. L’avantage d’un téléchargement de simulateur de vol est qu’il peut être téléchargé directement dans votre propre maison et vous pouvez être dans l’avion dans une heure ou deux. J’adore ce type de jeux car vous obtenez la vraie chose sans réellement payer pour la vraie chose si vous savez ce que je veux dire. Peut-être que c’est l’heure de l’essayer. Pour en savoir davantage, allez sur le site spécialiste simulateur de vol.

Le tigre de Sumatra : une proie

Le braconnage du tigre de Sumatra trouve son origine dans la demande dans les pays tels que la Corée, Taïwan, la Malaisie et la Chine, où les produits dérivés du tigre entrent dans la fabrication de médicaments traditionnels, de mets raffinés prisés et de décorations. Selon les renseignements disponibles, le commerce international s’effectue via Singapour et la Malaisie avant que les marchandises n’atteignent leur destination finale. Notons qu’à côté des flux internationaux, le marché intérieur de Sumatra est lui aussi développé, comme le prouvent les ventes réalisées par les canaux en ligne. Si le braconnage et le commerce conservent leur niveau actuel, le tigre de Sumatra pourrait très bien disparaître à l’état sauvage, mettant du même coup en péril des habitats et des services écosystémiques essentiels. Les habitats du tigre empiètent très largement sur des zones rendant des services écosystémiques importants aux communautés locales. En effet, forêts et tourbières séquestrent le carbone et retiennent les sédiments sur les versants montagneux. Le Parc national de Gunung Leuser, qui s’étend sur le tiers environ de la surface du site du Patrimoine mondial, fournit des services écosystémiques valorisés à hauteur de plus de 600 millions d’US$ par an, stocke plus de 1,6 milliard de tonnes de carbone et approvisionne 4 millions de personnes en eau. Si les tigres disparaissent de Sumatra, l’incitation à en protéger les forêts diminuera, et le risque de déforestation massive s’en trouvera aggravé. À côté de cela, l’extinction du tigre de Sumatra représenterait également une tragédie culturelle et écologique. Les efforts accrus des autorités indonésiennes doivent être poursuivis pour sauvegarder le tigre de Sumatra et les autres espèces menacées sur le site du Patrimoine mondial. Les mesures de conservation ont été intensifiées, et les unités de gardes forestiers recourent dorénavant à des systèmes de patrouille SMART (acronyme anglais signifiant « outil de suivi spatial et de reporting). Parallèlement, les équipes chargées de lutter contre la criminalité liée aux espèces sauvages ont fait des progrès dans l’identification des braconniers et des négociants et dans la lutte contre le commerce illégal d’espèces sauvages à l’intérieur et en dehors des paysages du tigre. Rien qu’en 2016, cinq cas de braconnage ont donné lieu à des poursuites judiciaires dans le centre de Sumatra et abouti à des condamnations avoisinant la peine maximale prévue, soit cinq ans d’emprisonnement. Pour autant, ces actions n’empêchent pas les tigres et d’autres espèces menacées de rester exposés à de graves dangers dans les forêts tropicales de Sumatra.

Au manche

Tout récemment, j’ai fait un stage de pilotage d’avion à Charleroi : une expérience que je voulais faire depuis longtemps et qui m’a passionné de bout en bout. Pourtant, lorsque j’en ai parlé à un collègue, celui-ci m’a demandé l’intérêt d’une telle activité alors qu’il existe déjà des simulateurs permettant de faire la « même chose » depuis son pc. Etant un habitué des simulateurs de vol sur pc, je lui ai répondu que ce n’était pas tout à fait la « même chose », et que les sensations étaient nettement plus intéressantes aux commandes d’un véritable appareil. Lui n’a pas semblé convaincu, et m’a répondu qu’avec l’arrivée de la réalité virtuelle, ce genre d’activité était de toute façon voué à disparaître… J’avoue que ses propos m’ont un peu surpris. Je ne renie absolument pas l’intérêt de la VR. Au contraire, je l’attends même avec impatience. Mais de là à croire qu’elle remplacera le plaisir de ce genre d’expérience, c’est lui prêter un pouvoir qu’elle n’a probablement pas. D’autre part, et c’est important à préciser, il se pourrait bien que nous ne connaissions pas le vrai potentiel de cette technologie avant la retraite. Parce qu’il faut être clair : même si les premiers casques ont fait leur apparition en 2016, il faudra encore un paquet d’années avant que ceux-ci ne soient vraiment convaincants. Il suffit de voir la Google I/O pour s’en rendre compte. Cley Bavor a listé les technologies à améliorer pour que ces wearables soient vraiment convaincantes : les écrans, le tracking, les GPU… En fait, presque tout reste encore à améliorer en la matière ! Comme Bavor le dit si bien, les appareils de VR sont fabriqués avec des composants de smartphone : c’est comme s’ils fabriquaient des avions avec des morcaux de vélo ! Bref, autant dire que la killer app, celle qui rendra AR et VR irrésistibles, n’est pas pour demain ! Et tout ça pour dire qu’il vaut mieux ne pas cesser de vivre des expériences nouvelles simplement parce qu’un jour, peut-être, elles seront disponibles en VR. Il serait dommage de commencer à vivre à partir de la retraite ! D’ailleurs, si vous aimez les expériences aériennes, je vous recommande mon stage de pilotage d’avion : le moniteur était particulièrement pédagogue. Je vous mets en lien le site où j’ai trouvé ce stage, si ça vous intéresse… Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de vol en avion à Charleroi.

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Les Bugs Bounties : une manière de communiquer positivement sur la cybersécurité ?

Le Bug Bounty est un bon moyen de communiquer auprès de ses clients. Pour un e-commerçant, lancer son programme de Bug Bounty, c’est montrer publiquement qu’il est proactif et réactif sur la sécurité des données présentes sur son site. Cela peut contribuer à ajouter un degré supplémentaire de confiance côté client. Ça permet aussi de faire quelques “bons coups de communication” en proposant par exemple des sommes attrayantes ou des lots originaux qui font le succès de la marque. Par exemple, American Airlines propose des miles aux chercheurs en sécurité qui leur remontent des failles, ce qui lui a permis d’être dans tous les médias pendant plusieurs jours. Le programme de Bug Bounty de United Airlines est accessible depuis le site grand public : http://www. united.com/. Mais attention, si la personne en charge du Bug Bounty ne joue pas le jeu en modifiant par exemple son programme à la volée dans le but de ne pas rémunérer les chercheurs en sécurité (hunters) ou en marquant comme doublon des failles qui ne le sont pas, il prend le risque de se faire mal voir par la communauté des “bug hunters” et cela peut rejaillir négativement sur la marque. Il convient donc d’être très carré dans la gestion de son programme et de trouver des idées de récompenses originales pour créer de l’engouement et en faire profiter sa marque. Pour Ely de Travieso, pilote du projet “BugBountyZone”, il n’est pas exclu que certains e-commerçants français, une fois rompus à l’utilisation des Bug Bounties, puissent communiquer à la manière d’un Twitter qui a annoncé récemment avoir offert plus d’un million de dollars en récompense pour des failles de sécurité identifiées.