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La contribution de Kampot à l’économie cambodgienne

Située dans la partie sud du Cambodge, la province de Kampot est souvent connue pour ses paysages tranquilles et son architecture coloniale. Néanmoins, ce qui distingue véritablement Kampot, c’est sa position d’épicentre agricole, jouant un rôle essentiel dans le climat économique et la culture cambodgienne. Cet essai se penche sur les éléments qui font de Kampot un centre de jardinage, en se concentrant sur son climat unique, la diversité de sa production, son impact financier, ses difficultés et les progrès possibles à l’avenir.

L’emplacement et le climat de Kampot sont essentiels à l’expertise en matière de jardinage. Bordée par le golfe de Thaïlande, la région bénéficie d’un mélange de climats exotiques et côtiers, ce qui crée un environnement propice à une grande variété de végétaux. La région bénéficie d’un climat exotique de mousson, c’est-à-dire d’une période humide de mai à octobre et d’une période sèche de novembre à avril. Ce climat, associé à une terre riche, rend Kampot propice à l’agriculture.

La communauté de Kampot est connue pour son poivre, qui a acquis le statut d’indication géographique (IG), à l’instar du Bubbly en France. Le poivre de Kampot est reconnu pour son goût distinctif, qui varie d’un goût légèrement sucré à un goût intensément piquant et épicé. Cette épinette n’est pas seulement une joie culinaire mais aussi un emblème ethnique, mettant en valeur des siècles de traditions de jardinage.

Outre le poivre, Kampot est également réputé pour ses nombreux fruits comme le durian, connu dans les environs sous le nom de « maître des fruits ». Ce fruit frais piquant, qui ressemble à une crème pâtissière, est un véritable délice dans de nombreuses régions du Sud-Est oriental. En outre, la province produit d’autres fruits comme les mangues, les bananes et les noix de coco, ainsi qu’une grande variété de légumes frais, qui sont importants pour le régime alimentaire de la région.

Les rizières sont certainement un spectacle typique, le riz étant une culture de base. La proximité du littoral permet également l’intégration de l’aquaculture, en particulier la pêche aux crevettes et aux poissons, qui s’inscrit dans le paysage agricole de Kampot.

L’agriculture à Kampot n’est pas seulement une question de production alimentaire, c’est aussi un générateur économique vital. Les produits maraîchers de la province, en particulier le poivre de Kampot, sont très demandés dans le pays et dans le monde entier. Cette demande a entraîné le développement du travail, non seulement dans le domaine de la récolte, mais aussi dans des domaines connexes tels que la manutention, l’emballage des produits et la distribution.

La renommée mondiale du poivre de Kampot a également renforcé l’image de marque de la province, ce qui a entraîné une augmentation des voyages et des loisirs. Les visiteurs sont attirés non seulement par l’élégance des paysages, mais aussi par la découverte des plantations de poivre et la compréhension des pratiques de jardinage.

Kampot a constaté une augmentation des pratiques agricoles durables, biologiques et naturelles. Ces méthodes sont de plus en plus appréciées par les agriculteurs de la communauté pour répondre à la demande internationale croissante de produits naturels. L’agriculture naturelle à Kampot n’est pas une simple tendance, Khla mais un engagement à protéger l’environnement naturel et à garantir la sécurité et la santé des clients.

Malgré ces bons résultats, le secteur agricole de Kampot est confronté à un certain nombre de difficultés. Le changement climatique représente un risque important, avec des conditions météorologiques imprévues qui influencent les récoltes. En outre, l’augmentation de l’amélioration industrielle et de l’urbanisation menace les terres arables.

Cependant, la durabilité du voisinage agricole de Kampot est remarquable. Les agriculteurs se sont adaptés à l’évolution des problèmes en diversifiant leurs cultures, en utilisant des méthodes normales de conservation de l’eau et en mettant en œuvre de nouvelles technologies. Cette capacité d’adaptation est essentielle à la croissance durable de l’agriculture de Kampot.

Si l’on se projette dans l’avenir, le secteur agricole de Kampot est promis à de nouveaux progrès. L’accent est mis de plus en plus sur les produits à valeur ajoutée, tels que les huiles infusées au poivre et les fruits séchés, qui peuvent ouvrir de nouveaux marchés et améliorer les profits. En outre, l’intégration de la technologie dans les pratiques de récolte, y compris l’agriculture de précision et l’utilisation de drones pour surveiller la santé générale des cultures, peut stimuler la productivité et la durabilité.

Le potentiel de l’agritourisme est un autre domaine de développement. En associant l’agriculture aux voyages et aux loisirs, Kampot propose des rencontres spéciales aux visiteurs, comme des séjours à la ferme et des excursions de jardinage, ajoutant ainsi une dimension éducative aux vacances.

En outre, les efforts du gouvernement fédéral et les collaborations internationales peuvent jouer un rôle important pour aider l’agriculture de Kampot. Les investissements dans les installations, la formation des agriculteurs et la recherche de pratiques durables sont essentiels à la prospérité à long terme du secteur.

Kampot, grâce à ses nombreuses traditions de jardinage, à sa création variée et à ses méthodes agricoles innovantes, témoigne du potentiel agricole du Cambodge. La région n’est pas seulement un centre agricole, mais aussi un symbole de force et de durabilité. En s’adaptant et en se développant constamment, Kampot sert d’exemple à d’autres régions, montrant le nombre de choix possibles dans le secteur agricole lorsqu’il est soutenu par une géographie positive, des procédures de récolte engagées et des politiques tournées vers l’avenir. La voie à suivre pour l’agriculture de Kampot semble prometteuse, avec tout le potentiel nécessaire pour contribuer considérablement à l’économie globale du Cambodge ainsi qu’à l’industrie mondiale, tout en préservant le patrimoine ethnique et environnemental unique qui rend Kampot véritablement spécifique.

Créer des souvenirs: le nouveau luxe

Dans notre société de consommation, nous associons souvent les cadeaux à l’échange d’objets tangibles. Les anniversaires, les fêtes de mariage et les vacances donnent généralement lieu à une avalanche d’offres emballées, chacune contenant un gage physique d’affection. Bien que ces gestes fassent incontestablement chaud au cœur et soient significatifs, il existe un autre type de cadeau qui gagne de plus en plus en réputation pour ses avantages et sa pertinence : le cadeau d’expérience.

Les cadeaux perceptibles, tels que les bijoux, les manuels scolaires ou les gadgets, ont un attrait particulier. Ils peuvent être vus, manipulés et souvent utilisés dans la vie quotidienne. Ils servent à rappeler la considération de quelqu’un. Toutefois, leur charme peut s’estomper avec le temps. Un roman déjà aimé peut être relégué sur une étagère poussiéreuse, ou un pull élégant peut finir par s’abîmer.

En revanche, les cadeaux expérientiels, tels qu’une école de cuisine, une escapade d’un week-end ou des billets pour un concert, offrent des souvenirs qui peuvent durer toute une vie. Ils offrent aux bénéficiaires des histoires à raconter et des occasions à retenir. Contrairement aux objets matériels, la valeur des expériences augmente généralement avec le temps, au fur et à mesure que l’on s’en souvient et que l’on y réfléchit.

La recherche a de plus en plus prouvé que les rencontres apportent plus de bonheur que les biens matériels. Une étude de l’université ou du collège de Cornell a montré que le bonheur tiré d’une expérience a tendance à s’accroître avec le temps, alors que le plaisir tiré d’une possession matérielle diminue. Cela s’explique par le fait que les expériences font partie de notre identité. Lorsque nous repensons à ce saut en parachute riche en adrénaline ou à cet après-midi tranquille consacré à la peinture dans un atelier, nous ne nous souvenons pas seulement des activités – nous nous souvenons de qui nous étions une fois qu’elles se sont produites, et de la manière exacte dont elles ont façonné nos perspectives et enrichi notre vie.

En outre, les expériences favorisent l’établissement de liens. Discuter d’une célébration mémorable, qu’il s’agisse d’une randonnée panoramique ou d’un dîner gastronomique, peut renforcer les liens entre les personnes. Ces occasions partagées créent des récits qui peuvent être racontés et revécus, approfondissant ainsi les partenariats d’une manière que peu de produits tangibles peuvent le faire.

L’avantage d’offrir une expérience comme idée de cadeau réside dans son adaptabilité. Alors qu’une méthode unique peut être avantageuse pour certains produits, les rencontres peuvent être personnalisées pour s’adapter parfaitement aux préférences du destinataire et à ses goûts personnels. Un passionné de nature appréciera chaque journée d’observation des oiseaux, tandis qu’un fan de musique sera ravi d’une séance d’écoute de disques en vinyle. Le nombre de choix est aussi varié que les personnalités que nous rencontrons.

En outre, les cadeaux expérientiels ne doivent pas nécessairement être extravagants ou coûteux. Une lettre manuscrite offrant une journée de compagnie, un coupon maison pour un repas spécial ou une offre d’enseigner une compétence que vous possédez peuvent être tout aussi significatifs que des choix plus coûteux. C’est l’idée, l’effort et le besoin sincère de créer un moment inoubliable qui rendent le cadeau spécial.

Dans le contexte actuel d’une planète de plus en plus soucieuse de l’environnement, il existe également un argument écologique en faveur des idées de cadeaux expérientiels. La production, l’emballage des produits et l’élimination finale des objets tangibles ont une empreinte écologique significative. En offrant des expériences, nous choisissons un moyen beaucoup plus durable de montrer notre appréciation, un moyen qui donne la priorité aux souvenirs plutôt qu’au matérialisme.

Fondamentalement, le cadeau d’expérience transcende l’attrait éphémère des objets physiques. Il fait appel au désir humain de lien, de croissance et de joie durable. Alors que nous nous déplaçons sur notre planète au rythme effréné et axé sur le matériel, s’arrêter pour réfléchir à ce qui compte vraiment peut nous amener à réaliser que les meilleurs cadeaux ne se trouvent pas toujours sur les étagères des magasins. Ils sont le fruit d’instants vécus, distribués entre les cœurs et les esprits, et appréciés tout au long de la vie.

Comme le dit le proverbe, « la vie ne se mesure pas au nombre de respirations que nous avons, Tematis mais aux moments qui nous coupent le souffle ». En offrant des expériences en cadeau, nous donnons à nos proches la possibilité de multiplier ces moments à couper le souffle, créant ainsi un héritage de souvenirs qui survit à l’attrait éphémère des objets tangibles. Ainsi, la prochaine fois qu’une occasion exclusive se présentera, envisagez d’éviter le centre commercial en faveur d’une expérience distinctive. Tout bien considéré, les souvenirs, contrairement aux objets matériels, ne font que s’enrichir avec le temps.

L’autonomie de la Corse : Un Débat Persévérant

L’autonomie de la Corse est un sujet de débat récurrent depuis de nombreuses décennies. Cette île méditerranéenne a une histoire complexe et une identité unique qui a conduit à des revendications d’autonomie politique et culturelle. Dans cet essai, nous allons explorer les différentes facettes de ce débat, en examinant les arguments en faveur et contre l’autonomie de la Corse, ainsi que les défis potentiels que cela pourrait poser.

Pour comprendre la question de l’autonomie de la Corse, il est essentiel de se pencher sur son histoire. La Corse a longtemps été un point de rencontre pour diverses civilisations, ce qui a influencé sa culture et son identité. Elle a été sous la domination de la République de Gênes pendant plusieurs siècles, avant de passer sous le contrôle de la France au XVIIIe siècle. Cette histoire tumultueuse a laissé des traces profondes dans la conscience collective corse, alimentant le désir d’autonomie.

Les partisans de l’autonomie de la Corse mettent en avant plusieurs arguments en faveur de cette idée. Tout d’abord, ils font valoir que la Corse a une culture distincte et une langue, le corse, qui sont menacées par l’influence croissante de la culture française. Ils estiment que l’autonomie permettrait de protéger et de promouvoir ces éléments culturels uniques.

De plus, les partisans de l’autonomie affirment que la Corse a des besoins spécifiques en matière de développement économique, d’environnement et d’infrastructures. Ils soutiennent que l’autonomie donnerait à l’île plus de contrôle sur ses ressources et sa gestion, ce qui pourrait contribuer à améliorer la qualité de vie de ses habitants.

Un autre argument important en faveur de l’autonomie de la Corse concerne la préservation de l’environnement. L’île possède une beauté naturelle exceptionnelle, mais elle est également confrontée à des défis environnementaux, tels que la gestion des déchets, la préservation de la biodiversité et la protection du littoral. Les partisans de l’autonomie estiment que l’île pourrait mieux protéger son environnement en ayant le pouvoir de prendre des décisions qui correspondent à ses besoins spécifiques.

Cependant, il existe également de nombreux arguments contre l’autonomie de la Corse. Certains estiment que cela pourrait créer des divisions au sein de la société corse, en mettant en avant des identités régionales au détriment de l’unité nationale. Ils craignent que l’autonomie ne conduise à des tensions ethniques et culturelles, voire à des conflits.

De plus, il y a des préoccupations économiques. Certains experts estiment que la Corse dépend largement des transferts financiers de la France pour maintenir son niveau de vie actuel. L’autonomie pourrait donc avoir des conséquences financières imprévisibles, avec un impact sur les services publics et l’économie de l’île.

L’un des défis les plus importants de l’autonomie de la Corse concerne sa relation avec l’Union européenne. En tant que région française, la Corse bénéficie actuellement des avantages de l’appartenance à l’UE. Si elle devenait autonome, elle devrait négocier de nouvelles relations avec l’UE, ce qui pourrait être un processus complexe et long.

Un autre aspect important à considérer est la question de la sécurité et de la défense. La Corse occupe une position stratégique en Méditerranée, ce qui en fait un enjeu géopolitique. Actuellement, elle bénéficie de la protection de la France en matière de sécurité. En cas d’autonomie, la question de la sécurité de l’île devrait être abordée de manière exhaustive.

Malgré ces défis potentiels, il est important de noter que l’autonomie de la Corse est une question qui suscite un vif intérêt parmi la population corse. De nombreux sondages d’opinion montrent un soutien significatif à l’autonomie, bien que les opinions puissent varier sur la forme exacte qu’elle devrait prendre. Cela témoigne de l’importance de ce débat pour la société corse.

Une approche possible pour résoudre cette question complexe pourrait être la décentralisation plutôt que l’autonomie totale. La France a déjà mis en place des régions dotées d’une certaine autonomie, telles que la Corse, la Bretagne et l’Alsace. En renforçant davantage la décentralisation, il pourrait être possible de répondre aux besoins spécifiques de la Corse tout en préservant son appartenance à la République française.

En fin de compte, l’autonomie de la Corse reste un sujet de débat persistant et complexe. Les partisans et les opposants ont des arguments valables, et il n’est pas facile de trouver une solution qui convienne à tous. Ce qui est clair, c’est que la question de l’autonomie de la Corse continuera d’animer les discussions politiques et sociales dans les années à venir. Il est essentiel que ce débat se poursuive de manière ouverte et constructive, avec la participation de toutes les parties concernées, afin de trouver la meilleure voie possible pour l’avenir de l’île et de ses habitants.

De Louis Althusser à Aristote

Aristote en a abusé au fil des ans pour ses opinions misogynes. Le philosophe grec considérait que les filles sont des créatures naturellement défectueuses, situées dans un composant après ses observations erronées que les filles ont un flux sanguin plus froid, moins de dents et une vie plus courte que les hommes.4 Pour Aristote, les femmes avaient été des «monstruosités» de caractère et guère plus. que des animaux apprivoisés. Beaucoup d’historiens ne font que négliger ses paysages de femmes. Après tout, il était, outre Platon et Socrate (pages 120 et 152), l’un des pères fondateurs du point de vue occidental. Aristote est venu avec un premier examen officiel de la logique et supérieur aux domaines de la biologie, des valeurs et de la politique. Alors qu’il avait 40-sept ans, Aristote a commis Pythias, dix-huit ans, fille adoptive de son conseiller Hermias. Leur âge correspondait spécifiquement à l’âge optimal pour se marier, a noté Aristote de façon romantique. Le rapport traditionnel suggère que leur relation était un célibataire heureux. Si son épouse finissait par être capable de rapporter ses propres pensées sur leur relation amoureuse, une image alternative aurait pu émerger de manière adéquate: a-t-elle réussi à aimer recevoir un traitement comme étant un «animal apprivoisé» et qualifié de «monstruosité»? Pythias est mort à un jeune âge, obligeant Aristote à augmenter leur seul enfant, une petite fille également appelée Pythias. Aristote à venir a commis une dame en utilisant la marque inconvenante de Herpyllis. Quelques informations sur leur relation sont conservées, et quand Aristote est décédé, il a exigé qu’il soit enterré à côté de sa toute première épouse. Il continue à aider à remédier aux femmes comme le bétail jusqu’au bout: il a quand même laissé Herpyllis vers les exécuteurs testamentaires de sa succession, avec des recommandations spécifiques dans son testament qu’elle «recevra à 1 pas indigne» si elle souhaitait se remarier. Les experts ont ridiculisé Aristote pendant des siècles pour son idée que les femmes ont beaucoup moins de dents que les hommes. «Bien qu’il ait été commis deux fois, il ne lui est en aucun cas venu à l’esprit d’assurer ce document en évaluant la bouche de ses épouses», a publié le philosophe Bertrand Russell (site 134). Peut-être était-il aussi bien occupé avec sa tentative de trouver du temps pour examiner? Comme le souligne Dio- genes the Cynic (page 72), Aristote «allait et venait [une voie publique ouverte dans le lycée] discutant de l’approche concernant ses élèves jusqu’à ce que finalement le temps soit venu de se frotter avec de l’huile essentielle.  » Les femmes ont été confinées à la maison et exclues des caractéristiques publiques et sociétales ouvertes, lorsque les hommes grecs étaient en fait capables d’éduquer, de comprendre et de frotter l’autre personne plus bas.

Les Chevaliers du Ciel Contre la Gravité

Les pilotes de chasse sont généralement perçus comme des chevaliers des temps modernes, naviguant avec bravoure dans les cieux. Cependant, cette profession désirable s’accompagne de son lot de défis, dont le plus redoutable est la lutte contre les forces G. L’expression « force G » désigne la force de gravité ou l’accélération qui déclenche la perception du poids. Lorsque les pilotes de chasse exécutent des manœuvres à grande vitesse, ils sont soumis à des forces G excessives qui peuvent avoir de graves conséquences sur le corps humain. Ce billet explore la manière dont ces guerriers du ciel gèrent les énormes pressions de la force G pour rester performants.

Lorsqu’un avion modifie sa vitesse ou sa direction, il soumet le pilote à des poussées d’accélération. Ces facteurs sont mesurés en G, 1 G correspondant à la force de gravité terrestre. Au cours d’un combat aérien ou d’un virage distinct, un pilote peut subir des forces d’environ 9 G, soit neuf fois le poids de son corps. Lorsque les facteurs G sont élevés, le corps humain a du mal à pomper le sang vers le cerveau, ce qui peut provoquer une perte de conscience induite par la force G.

La condition physique est extrêmement importante pour un pilote de chasse au . Un corps bien conditionné peut mieux résister aux contraintes causées par des forces G importantes. Grâce à des exercices cardio et de musculation rigoureux, les aviateurs améliorent l’endurance de leurs tissus musculaires et la productivité de leur cœur. Une attention particulière est accordée au développement des muscles du cou, de l’estomac et du bas du corps, ce qui permet de lutter contre les forces qui tentent d’éloigner le sang du cerveau.

Les pilotes de chasse portent des combinaisons anti-G, qui sont des vêtements spécialisés conçus pour contrer l’impact des forces G élevées. Ces combinaisons sont dotées de vessies d’air qui se gonflent pendant les manœuvres de G substantiel. Le gonflement comprime les hanches, les jambes et l’abdomen, resserrant les vaisseaux sanguins et contribuant à maintenir le flux sanguin vers le cerveau. Ces combinaisons peuvent augmenter de manière significative la tolérance aux G d’un pilote et constituent donc un équipement essentiel pour tout pilote de chasse.

La tactique la plus efficace employée par les pilotes d’avion pour contrer les forces G est probablement la manœuvre anti-stress G (AGSM), communément appelée « manœuvre de Hick ». Elle consiste à contracter les muscles du bas du corps et à effectuer une respiration distincte. Le pilote prend une inspiration rapide et profonde et la contient, tout en étant infecté par les muscles abdominaux. Cette action augmente la pression dans la poitrine, ce qui aide le cœur à pomper le sang vers le cerveau. Il expire ensuite brièvement et inspire à nouveau rapidement, répétant le même schéma pendant toute la durée de la manœuvre.

Les avions de chasse modernes sont équipés d’une technologie réductrice pour aider les pilotes à faire face aux forces G. L’une de ces améliorations est l’application de la technologie G dans les avions de chasse. L’une de ces améliorations est l’application de sièges adaptatifs à la force G. Ces sièges peuvent modifier leur angle et leur configuration. Ces sièges peuvent modifier leur angle et leur configuration en fonction des forces G subies pendant le vol, offrant ainsi un soutien optimal au corps du pilote. En outre, certains avions sont équipés de systèmes de protection contre la pression G qui limitent les forces G subies lors de certaines manœuvres.

Les pilotes suivent un entraînement intensif pour s’acclimater par eux-mêmes aux effets négatifs des forces G. L’entraînement en centrifugeuse est un élément important : les pilotes sont soumis à des forces G élevées dans un environnement contrôlé. Ces centrifugeuses simulent les forces subies lors d’un voyage en avion, ce qui permet aux pilotes de pratiquer la manœuvre de Hick et d’habituer leur corps aux contraintes auxquelles ils peuvent être confrontés.

La manipulation des forces G est une lutte à multiples facettes qui nécessite un conditionnement corporel, un équipement spécifique, des technologies adaptées et un entraînement rigoureux. Lorsque les gardiens du ciel effectuent des manœuvres spectaculaires, leur aptitude à gérer les énormes pressions des forces G témoigne de leur compétence et de leur ténacité. Les progrès constants de la technologie moderne des aéronefs et des méthodes d’entraînement renforcent encore l’expertise des pilotes pour dompter la bête des forces G, en s’assurant qu’ils peuvent naviguer en toute sécurité et avec efficacité dans les royaumes célestes, qui représentent un défi permanent.

pilotedechasse (58)

Le poivre noir : une épice précieuse au fil de l’histoire

Le poivre, scientifiquement appelé Piper nigrum mais connu sous le nom de poivre noir, est une plante grimpante vivace qui appartient à la famille des Pipéracées. Cette liane produit une liqueur très piquante qui provient de ses fruits. Avec des origines remontant à la côte de Malabar en Inde, le poivre noir est l’un des assaisonnements les plus anciens et les plus répandus au monde. Au-delà de ses applications culinaires, le poivre trouve également une utilisation limitée dans les traitements traditionnels en tant que carminatif, soulageant les flatulences, et en tant que stimulant des sécrétions gastriques.

Dans l’Antiquité, la culture du poivre a prospéré dans les régions spectaculaires de l’Asie du Sud-Est, où il a acquis une immense réputation en tant que condiment. Il a joué un rôle essentiel dans le commerce terrestre entre l’Inde et l’Europe, Khla servant souvent de moyen d’échange. En fait, le poivre était si apprécié qu’il servait de tribut dans la Grèce et la Rome anciennes. Au Moyen Âge, les Vénitiens et les Génois ont monopolisé l’achat et la vente de poivre en Europe, ce qui a motivé la recherche d’une route maritime orientale. De nos jours, le poivre noir est largement cultivé en Indonésie et a été introduit dans divers territoires tropicaux d’Afrique et de l’hémisphère occidental traditionnel.

Le poivre noir se caractérise par son port ligneux et peut atteindre une hauteur de 10 mètres grâce à ses racines aériennes. Il se caractérise par des feuilles larges et brillantes, respectueuses de l’environnement, qui sont disposées en alternance le long de la liane. L’herbe produit des fleurs modestes qui poussent densément en épis minces, chaque épi contenant environ 50 fleurs. Les fruits, communément appelés grains de poivre, sont des drupes mesurant environ 5 mm de diamètre. À maturité, ils passent du vert au rouge jaunâtre et contiennent une graine individuelle. Les grains de poivre dégagent une odeur pénétrante et aromatique, alors que leur style est particulièrement chaud, mordant et extrêmement piquant. Le poivre noir moulu contient jusqu’à 3 % d’huiles essentielles, ce qui lui confère une saveur aromatique semblable à celle des piments Capsicum, mais sans le piquant extrême. La saveur particulière du poivre noir est principalement due à la présence de pipérine, bien que les graines contiennent également de la chavicine, de la pipéridine et de la pipérétine.

Le poivre noir se développe plus rapidement dans les territoires où les saisons des pluies sont longues, où les températures sont relativement élevées et où l’ombre est partielle, car ces conditions sont optimales pour son expansion. La multiplication se fait généralement par boutures, plantées à proximité d’un arbre ou d’un poteau utile. Les poivriers sont parfois plantés dans des plantations de thé ou de café. Il faut compter 2 à 5 ans pour que les plantes commencent à porter des fruits, et elles peuvent continuer à produire jusqu’à 40 ans.

Les nombreux fruits sont généralement récoltés lorsqu’ils commencent à prendre une couleur rougeâtre. Une fois obtenus, les fruits sont immergés dans de l’eau de cuisson pendant environ 10 minutes, ce qui leur permet de foncer et de prendre une teinte brune ou noire en l’espace d’une heure. Ils sont ensuite étalés au soleil pour se libérer de l’humidité pendant 3 ou 4 jours. Dès que les fruits séchés sont broyés, ils produisent le poivre noir que l’on connaît. Le poivre blanc, quant à lui, est obtenu en enlevant la partie extérieure foncée du péricarpe du fruit, ce qui donne une saveur moins piquante que le poivre noir. La couche externe peut être ramollie en conservant les baies dans des tas humides pendant quelques jours ou en les immergeant dans des sacs dans de l’eau courante pendant une période de 7 à 15 jours, selon la région. La couche ramollie est ensuite enlevée par lavage, frottement ou piétinement, et les fruits sont mis à sécher au soleil. Il est également possible de broyer mécaniquement l’enveloppe extérieure pour obtenir un poivre blanc complet.

Pourquoi vous ne pouvez pas avoir une semaine de travail plus courte

C’est inévitable… mais nous ne pouvons pas l’avoir.
Le revirement de Dick Nixon sur la question de la semaine de travail de quatre jours a été épique. Sa prévision originale d’une semaine de quatre jours dans un avenir pas trop lointain »est venue dans un discours préparé, pas dans un moment non surveillé d’hyperbole de campagne surchauffée. Il a même démenti que ses projections «n’étaient pas des rêves ou des vaines vanteries» mais étaient basées sur la poursuite des politiques économiques du président Eisenhower.
Suite à la prédiction de Nixon en 1956, le président de United Auto Workers, Walter Reuther, a répondu par un télégramme appelant l’administration à définir un programme législatif pour réduire la semaine de travail. Nixon a envoyé un télégramme en réponse et le président Eisenhower a approuvé la réponse de Nixon lors d’une conférence de presse le 28 septembre.
La réponse de Nixon était qu’une simple législation artificielle »n’accomplirait pas une semaine de travail de quatre jours. Ce qui était nécessaire, c’était des efforts conjoints dédiés des syndicats, de la direction, du gouvernement et de la recherche. » Pour sa part, Eisenhower n’a rien vu de mal à «la réponse de Nixon, qui, selon lui, représentait également sa propre opinion selon laquelle ce serait merveilleux» d’avoir plus de temps libre, mais qu’aucun homme ne peut dire que cela va se produire parce que je le dis.  » Un mois après son premier commentaire, Nixon a réaffirmé son attente d’une semaine de travail plus courte, basée sur un partenariat entre le gouvernement, les entreprises et les syndicats.
Le libellé catégorique du rejet de Nixon en 1960 de l’idée prend une résonance supplémentaire dans le contexte de la mise en garde précédente d’Eisenhower qu’aucun homme ne peut dire que cela va se produire parce que je le dis. Quatre ans plus tard, ce n’est tout simplement pas une possibilité… nous ne pouvons pas l’avoir maintenant. Nous ne pouvons pas l’avoir maintenant… parce que je le dis. »
Ce ne serait pas la première fois que l’auto-contradiction apparaît dans la rhétorique de l’opposition à un temps de travail plus court. Le Sandwichman a amassé la plus grande collection au monde d’excuses boiteuses proposées par des adversaires. J’ai rassemblé 21 d’entre eux et les ai classés en huit catégories liées à la productivité, aux nouveaux besoins des consommateurs, aux besoins non satisfaits, aux coûts de main-d’œuvre, à la politique gouvernementale, aux marchés autoréglables, à l’histoire et à l’inévitabilité, et aux motifs sournois des promoteurs.
Pour être gentil, les justifications sont opportunistes. La plupart du temps, ce sont des énoncés d’équilibre partiel jejune invoqués comme s’ils étaient des vérités éternelles. Plus carrément, ils sont mensongers. Chaque raison donnée pour ne pas raccourcir les heures de travail est complétée par une raison contradictoire pour ne pas raccourcir les heures de travail. Damné si vous le faites et damné si vous ne le faites pas.
En ce qui concerne les caprices: les heures de travail ne peuvent pas être réduites car cela diminuerait la productivité; mais s’ils étaient réduits, cela ne ferait pas baisser le chômage car les heures plus courtes seraient tout aussi productives que les heures plus longues. Il n’est pas nécessaire de réduire les heures de travail car les nouvelles demandes des consommateurs créeront plus d’emplois; mais ils ne peuvent pas être réduits car les besoins de ceux qui vivent dans la pauvreté sont nombreux. L’économie s’adaptera automatiquement pour réabsorber les travailleurs déplacés par l’automatisation; et il n’y a pas besoin d’intervention gouvernementale parce que la politique gouvernementale lubrifiera le processus d’auto-ajustement. L’histoire prouve que les réductions futures sont inévitables parce qu’elles se sont toujours produites dans le passé; mais l’histoire montre que l’économie a toujours généré suffisamment d’emplois, implicitement sans qu’il soit nécessaire de réduire la durée du travail. Contemplez les incohérences:
Productivité
La semaine de travail ne peut être réduite qu’à un moment où la réduction de la semaine de travail ne réduira pas l’efficacité et ne réduira pas la production.
Elle étoufferait à la source les gains de productivité rendus possibles par le progrès technologique, coupant ainsi l’abondance par laquelle l’abolition éventuelle de la pauvreté devrait venir. Son résultat final serait moins d’emplois, pas plus.
… L’illusion de la création d’emplois découle, tout d’abord, du simple fait de ne pas observer ou apparemment de prendre soin d’observer la modification importante que l’introduction de la réduction des heures elle-même exerce sur la capacité de production des travailleurs…
L’effet naturel du raccourcissement de la durée du travail à huit par jour n’est donc nullement une diminution de la production; c’est vraiment l’exception lorsque cet événement se déroule, et comme la plupart du temps le même personnel fait le même travail qu’auparavant, rien ne change la situation des chômeurs…
Le nouveau consommateur veut
Ce point de vue ignore les possibilités de nouveaux désirs des consommateurs et de nouvelles industries pour stimuler la croissance et créer plus d’emplois.
En fait, si les gens travaillaient moins d’heures, la demande diminuerait et donc moins d’heures de travail seraient proposées.
À long terme, les améliorations technologiques créent de nouveaux produits et services, augmentent le revenu national et augmentent la demande de main-d’œuvre dans l’ensemble de l’économie.
Besoins insatisfaits
Ce que la volonté de raccourcir la semaine de travail ignore, c’est que le pays ne peut pas se le permettre, que ce soit en termes de coûts de production ou de besoins nationaux et mondiaux non satisfaits.
… En travaillant moins, nous supprimerons l’opportunité d’automatisation et d’autres améliorations technologiques permettant de bannir la pauvreté au pays ou à l’étranger.
Les coûts de main-d’œuvre
Ce point de vue ignore la possibilité que la demande de travail puisse dépendre de la relation entre les taux de salaire et la valeur du travail pour les employeurs.
Cependant, si les restrictions sur les heures rendent la main-d’œuvre moins attrayante pour les employeurs, elles se substitueront à d’autres intrants, et il y aura également un effet d’échelle réduisant l’utilisation de tous les intrants.
Les chômeurs doivent apparemment obtenir un emploi du capital qui ne naît que de leur emploi; ils doivent fournir une poignée à leur hache de l’arbre qu’ils taillent avec elle …
Politique gouvernementale
Si des politiques monétaires, fiscales et tarifaires appropriées sont vigoureusement promulguées, nous ne devons pas nous résigner au chômage de masse.
Bien que le chômage technologique ne puisse pas être ignoré à la légère, sa solution optimale réside dans la combinaison de programmes macroéconomiques expansionnistes (politiques fiscales et monétaires) avec des politiques de recyclage qui créent des opportunités d’emploi adéquates et de nouvelles compétences, plutôt que des restrictions sur la production.
Que se passera-t-il si nous utilisons des heures plus courtes pour réduire le chômage? L’inflation augmentera plus qu’elle ne le ferait autrement. Deux réponses sont alors possibles. On pourrait dire: «Bravo, nous avons réduit le chômage et nous sommes prêts à accepter l’inflation croissante.» Mais si telle est la réaction, il aurait évidemment été préférable de réduire le chômage en augmentant la production qu’en redistribuant simplement une quantité donnée de travail à davantage de personnes. Il n’y a donc pas lieu de réduire les heures de travail le long de cette route. Le long de la route alternative, les perspectives sont encore plus sombres. Dans ce scénario, le gouvernement voit l’inflation augmenter, décide qu’elle est inacceptable et permet au chômage de remonter à son niveau d’origine (afin de contrôler l’inflation). Le résultat net de la réduction du temps de travail n’est alors pas une réduction du chômage, mais une réduction de la production.
Marchés auto-ajustables
… Une réduction permanente et plus ou moins générale des heures réduira le chômage technologique. … La transition diminuera sans aucun doute le taux de chômage pour le moment. Mais lorsque le nouveau niveau sera atteint et que les ajustements nécessaires auront été apportés à l’industrie, il n’y a aucune raison de croire que le volume du chômage continuera à être inférieur à ce qu’il était.
Le commerce n’est pas entravé par de grandes murailles, au-delà desquelles il ne peut pas aller. En mettant nos produits moins chers et mieux sur le marché, nous ouvrons de nouveaux marchés, nous obtenons de nouveaux clients, nous augmentons la quantité de main-d’œuvre nécessaire pour les fournir, et nous sommes donc encouragés à continuer, dans l’espoir de nouveaux avantages. Un marché bon marché sera toujours plein de clients.
Histoire et inévitabilité
D’ici à 1980, la semaine de travail de trente heures devrait être largement établie et des progrès devraient être accomplis vers la semaine de vingt-cinq heures.
L’histoire n’apporte que peu de soutien à cette sombre vision… que l’économie ne peut générer qu’une quantité fixe de travail.
Motifs sournois des avocats
Leur but et leur objet sont, dans tous les cas sur lesquels nous avons pu enquêter, de contrecarrer l’action d’une force physique supérieure, d’une industrie morale ou d’une compétence intelligente; pour déprimer le meilleur ouvrier afin de protéger l’ouvrier inférieur de la concurrence…
… Des motifs très différents de ces raisons proclamées poussent nombre de ceux qui appellent le plus sincèrement l’État à imposer une limite légale aux jours de travail.
Implicite dans une grande partie de ce double discours prétentieux est l’idée que la demande des consommateurs est totalement indépendante des salaires, de sorte que l’économie «peut devenir plus prospère en abaissant les salaires. Apparemment, les économistes sont toujours si amoureux de la loi de Say qu’ils n’ont pas pris le temps d’examiner les implications de l’autre loi de Say – que la misère est le compagnon inséparable du luxe. »
Mais il y a une perspective à partir de laquelle la cohérence peut être déduite de toute cette ad hoc égoïste. Sans le savoir, les opposants à la réduction du temps de travail adoptent une théorie de la plus-value très proche de celle élaborée par Karl Marx dans Capital. Il ne s’agit pas de savoir si une telle théorie décrit correctement la détermination de la valeur ou des prix. À tort ou à raison, la théorie guide l’attitude des adversaires envers la réduction du temps de travail. Ce sont des marxistes accidentels!
Remplacez le capital collectif « par l’économie » et le travail collectif « par des adeptes du sophisme » dans la déclaration suivante et nous avons un beau slogan pour la campagne implacable de The Economist contre le forfait du sophisme du travail. « C’est pourquoi, dans l’histoire de la production capitaliste, la détermination de ce qu’est une journée de travail se présente comme le résultat d’une lutte, une lutte entre le capital collectif, c’est-à-dire la classe des capitalistes et le travail collectif, c’est-à-dire la classe ouvrière.
Marx a résumé la relation entre la production de plus-value absolue et de plus-value relative dans le passage suivant:
En supposant que la force de travail soit payée à sa valeur, nous sommes confrontés à cette alternative: étant donné la productivité du travail et son intensité normale, le taux de plus-value ne peut être relevé que par la prolongation effective de la journée de travail; d’autre part, compte tenu de la longueur de la journée de travail, cette augmentation ne peut être effectuée que par un changement des amplitudes relatives des composantes de la journée de travail, à savoir, le travail nécessaire et le surplus de travail; un changement qui, pour que les salaires ne tombent pas en dessous de la valeur de la force de travail, suppose un changement soit dans la productivité, soit dans l’intensité du travail.
Bien sûr, le travail n’est pas toujours payé à sa valeur »et ni la durée de la journée de travail ni la productivité du travail ne sont données. Il existe une tension continue entre les efforts visant à allonger ou à raccourcir la journée de travail et à augmenter ou détendre la productivité et / ou l’intensité du travail. Bien que séparables analytiquement, ces deux processus sont en réalité toujours simultanément en jeu.
Ainsi, dans la forme capitaliste de société dans laquelle les valeurs d’échange prédominent, plutôt que d’utiliser des valeurs, il découle de la nature même de la production une soif illimitée de surplus de travail. » Pour souligner: cette soif sans limites »ne découle pas des besoins ou des désirs de biens et de services des consommateurs mais de la contrainte aggravée du processus d’accumulation de capital.
Du point de vue de cette soif illimitée de surplus de travail, toute tentative de limiter la durée de la journée de travail ou d’empêcher l’intensification du travail, ou d’en conserver une partie, doit en effet apparaître comme une fixation gênante sur un la quantité de travail, «surtout si le travail» s’entend précisément de la partie de la journée de travail qui est expropriée par le capital.
Revoyons maintenant le refus de 1960 de Nixon de la semaine de travail de quatre jours avec un léger amendement.
La semaine de travail ne peut être réduite qu’à un moment où la réduction de la semaine de travail n’entravera pas la soif illimitée du capital de surplus de travail.

L’importance de la communication pour un pilote de F1

La course de Formule 1 est l’une des activités sportives les plus exigeantes et les plus stimulantes au monde. Il faut un excellent niveau de capacités mentales et physiques, ainsi qu’une expertise technique, pour réussir en tant que pilote. Pour concourir au plus haut niveau, un pilote de Formule 1 doit posséder un ensemble unique de compétences qui sont le fruit d’années de pratique et de dévouement.

La condition physique et la santé sont probablement les compétences les plus importantes requises pour devenir un propriétaire de voiture de la Méthode 1. Les pilotes doivent être capables de résister aux forces G importantes qui s’exercent sur leur corps tout au long d’une course. Ils doivent donc avoir une bonne condition physique cardiovasculaire, ainsi que de la force et de l’endurance. Les pilotes doivent également avoir de bons réflexes et un bon contrôle oculo-manuel, ce qui leur permet de réagir rapidement lorsqu’ils se déplacent à grande vitesse sur la piste.

Outre sa condition physique, le propriétaire d’une voiture d’équation 1 doit faire preuve d’une excellente résistance mentale. La capacité à rester concentré et à garder son sang-froid sous une pression extrême est cruciale pour la réussite. Les pilotes doivent être capables de faire face aux exigences émotionnelles de ce sport, notamment de prendre des décisions difficiles, de calculer les risques et de faire face aux revers et aux déceptions. La capacité à rester motivé et à conserver un état d’esprit positif face à l’adversité est essentielle pour réussir en Formule 1.

L’expérience technique est également une compétence importante pour un pilote de Formule 1. Il doit avoir une compréhension détaillée de la mécanique de sa voiture et communiquer efficacement avec son groupe pour apporter des modifications qui amélioreront les performances. Les pilotes doivent également être capables d’analyser les données des systèmes de télémétrie de leur voiture afin d’identifier les domaines à développer et d’apporter les modifications nécessaires.

Une autre compétence importante pour un pilote de Formule 1 est la capacité à s’adapter à différentes conditions de surveillance. Les conditions météorologiques, la surface du circuit et la température peuvent toutes avoir un impact significatif sur l’efficacité d’une voiture, et les pilotes doivent être capables d’ajuster leur style de conduite et leur stratégie en conséquence. La capacité à s’adapter rapidement à des circonstances changeantes est importante pour réussir en Formule 1.

Enfin, les compétences en matière de conversation sont essentielles pour un pilote de la méthode 1. Il doit être en mesure de communiquer efficacement avec son groupe, qui comprend les concepteurs, les mécaniciens et les autres membres de l’équipe des stands. Une communication claire est essentielle pour apporter des ajustements au véhicule et à la stratégie pendant la compétition, et peut faire la différence entre le succès et l’échec.

Un propriétaire de voiture de Formule 1 qui réussit doit posséder une liste unique de compétences développées au fil d’années de pratique et de détermination. Ces aptitudes comprennent la forme physique et mentale, l’expertise technique, la capacité d’adaptation et l’aptitude à la conversation. Bien que l’expertise naturelle soit certainement cruciale, c’est la combinaison de ces compétences qui distingue les meilleurs propriétaires de voitures de Formule 1.

Les voyageurs veulent des hôtels intimes

Après avoir travaillé dans le secteur des affaires pendant plus de 30 ans, grâce auxquels il a fondé KPMG en Inde, Ravi Ramu a créé un motel spécialisé, Primrose Villas, avec sa femme à Chikmagalur, une ville tranquille connue pour ses domaines de caféine, hôtel séminaire à 150 kilomètres à l’est de Mangalore. Ramu affirme qu’ils ont voyagé pour une vingtaine de pays, mais son lien avec le fait de rester dans des hébergements, principalement des chaînes de marque, est loin d’être satisfaisant. « Comme je suis en vacances, je n’ai pas besoin de passer du temps à dormir la nuit ou à me lever. Si je suis régi par les règlements de l’hôtel, ce ne sont pas des vacances. Nous ne déboursons pas du tout le nez pour se conformer à une autre paire de règles », déclare-t-il. La promesse initiale de Ramu aux clients est qu’il servira des produits alimentaires à tout moment de la journée. « Nous ne voulons pas que les gens se précipitent pour la nourriture. Les hôtels-boutiques sont une question de polyvalence. Placer du marbre coûteux ou acheter des éviers de cuisine de luxe et des meubles anciens sont accessoires. Le luxe vient de l’état d’esprit », affirme-t-il. Primrose Villas est l’un des rares composants qui parsèment le paysage des hébergements de luxe du pays. On estime que l’Inde compte plus de 350 hébergements de caractère de haute qualité; sur le, environ 30 pourraient être haut de gamme. Cela peut être minuscule par rapport aux grands magasins d’hébergement où chaque entreprise possède de nombreux composants. À titre d’exemple, vous pouvez trouver plus de 75 hôtels Radisson dans le pays dans le plus grand portefeuille de votre équipe d’hébergement Carlson Rezidor. Au fil des années, ces hébergements spécialisés se sont taillé un segment distinct, attirant les vacanciers exigeants qui désirent un espace intime et personnel. «Les énormes chaînes sont généralement impersonnelles, dès que vous êtes resté à une, vous êtes resté de quelque façon que ce soit», affirme Jaisal Singh, fondateur d’Andamp; Dirigeant clé de SUJN, qui contient plusieurs propriétés spécialisées haut de gamme, dont Jawai, initialement léopard lodge en Inde. Chaque motel spécialisé est construit autour d’un thème. Les thèmes préférés incluent les palais historiques et les énormes havelis (ou bungalows) utilisant un riche quotient historique. Ensuite, vous pouvez trouver des resorts créés autour des animaux, du bien-être, des plantations de caféine et de la vie quotidienne côtière. Le look peut être standard ou moderne, mais ceux-ci se concentrent sur la personnalisation, la présentation des coutumes locales, des services coûteux, y compris l’assistance individuelle d’un majordome, des hébergements de vacances et des membres du personnel à chaque proportion de clients. « Les vacanciers recherchent des moments réels et inoubliables. Des lodges de luxe impartiaux offrent une crédibilité qui permet aux touristes d’avoir comme les autochtones », déclare Arpit Pant, directeur national (pays d’Asie du Sud Andamp; Midst Eastern), Recommended Resorts and Resorts (PHAndamp; R) , qui apporte une assistance marketing, vente de produits et fidélisation de la clientèle à des gîtes spécialisés dans le monde entier. Acquérir Suryagarh, une station balnéaire fortifiée à Jaisalmer et membre de PH & amp; R, qui a organisé des activités pour les visiteurs pour se plonger dans les traditions voisines. La maison peut être un chemin pour le désert du Thar et offre des installations telles que Akhara (centre de santé et de remise en forme), Neel (zone de piscine), Taash (carte de voeux et billard), Rait (spa de jour) et Pleasure (yoga), en plus voyages comprenant le vélo de montagne, le safari à dos de chameau, l’enquête sur la route de la soie et le chemin du chudail – un voyage de nuit vers des endroits de la communauté où l’humeur est censée errer.

Développer le travail des femmes

Accroître la participation des femmes au marché du travail pour stimuler la croissance à long terme

À mesure que les populations vieillissent et que la productivité du travail ralentit, les programmes politiques qui soutiennent des mesures plus fortes en matière de diversité et d’inclusion pourraient donner un coup de fouet bien nécessaire à l’économie mondiale. Cette colonne décrit les contraintes qui limitent la pleine participation des femmes au marché du travail dans un large échantillon de pays, et suggère que les gouvernements qui cherchent à maximiser la croissance donnent la priorité à la législation sur le congé de paternité, aux avantages fiscaux et aux protections de l’emploi. Les politiques visant la parité entre les sexes doivent se concentrer non seulement sur les décisions des femmes en matière d’offre de travail, mais aussi sur le comportement des hommes.

Le débat sur la diversité et l’inclusion est généralement centré sur l’importance de la justice sociale et de l’équité sur le marché du travail et dans la société en général. La moralité de l’autonomisation et de la création d’opportunités pour tous les individus, indépendamment de leur origine, de leur race ou de leur sexe, est bien établie et repose sur des bases philosophiques solides. Cependant, il existe également un argument économique puissant. Le vieillissement de la population pèse sur l’offre effective de main-d’œuvre – et donc sur la croissance potentielle des économies – et une utilisation plus efficace des ressources en main-d’œuvre permet de stimuler la croissance potentielle à l’avenir (Clements et al. 2015).

Les inégalités structurelles contribuent à l’atonie des perspectives à long terme

Si les femmes ont tendance à être au moins aussi bien formées que leurs homologues masculins dans la plupart des pays développés, elles sont aussi beaucoup plus susceptibles que les hommes de devoir faire un compromis entre accepter un travail rémunéré et entreprendre un travail non rémunéré, y compris des responsabilités de soins. Il en résulte que les femmes sont systématiquement moins attachées à la main-d’œuvre que leurs homologues masculins et qu’elles travaillent en moyenne moins d’heures lorsqu’elles travaillent. Cet écart de participation persistant représente une incapacité à tirer parti de la complémentarité du travail masculin et féminin (Lagarde et Ostroy 2018).

Cette inégalité structurelle a été mise en évidence par la mesure dans laquelle les femmes ont été particulièrement exposées aux profondes récessions et aux exigences accrues en matière de soins causées par la pandémie de Covid-19 (Djankov et al. 2020). Les fermetures ont eu leur plus grand impact sur les emplois faiblement rémunérés du secteur des services, dans lesquels les femmes sont plus susceptibles d’être employées. En outre, leurs responsabilités plus importantes en matière de soins non rémunérés leur ont fait supporter une charge plus lourde pour gérer les retombées du COVID, le travail à domicile et l’enseignement à domicile.

Étant donné qu’une plus grande égalité entre les sexes est souhaitable d’un point de vue éthique et économique, cette question devrait être au cœur des préoccupations des décideurs politiques. La première étape consiste à comprendre comment les politiques existantes peuvent limiter la pleine participation des femmes au marché du travail. Notre travail s’appuie sur les premières contributions de Ruhm (1998) sur le congé de maternité et sur les travaux ultérieurs de Jaumotte (2003) et Thévenon et Solaz (2013) sur l’influence d’un large éventail de facteurs politiques sur la participation des femmes au marché du travail. Il est important de noter que notre étude porte sur un plus grand nombre de pays que les travaux précédents, qu’elle utilise une période d’échantillonnage plus récente couvrant l’après-crise financière et qu’elle examine les implications de ces politiques pour les hommes également (Kelly et al. 2021).

Les politiques permettant et facilitant un plus grand nombre de congés parentaux masculins devraient être une priorité

Les hommes sont souvent laissés à l’écart des discussions sur l’inégalité entre les sexes dans la littérature, qui tend à n’intégrer que les taux de participation des femmes et les politiques qui s’appliquent directement aux femmes, comme le congé de maternité. Dans nos recherches, nous examinons comment les politiques, l’éducation, la démographie et la force économique influencent les taux de participation des hommes et des femmes afin de renforcer notre capacité à établir des comparaisons entre les sexes et de tirer des conclusions sur ce qui contribue le plus à maximiser la participation globale. Dans l’espace politique, le congé de paternité est une omission visible dans une grande partie de la littérature. Bien qu’il soit destiné aux hommes, le congé de paternité peut également influencer la participation des femmes en modifiant les incitations à l’embauche et les préjugés des entreprises, ainsi que l’optimisation de l’offre de travail au sein des ménages.

En effet, le résultat le plus frappant de notre recherche est que des droits plus élevés au congé de paternité légiférés sont associés de manière significative et positive à des taux plus élevés de participation des femmes au marché du travail. Cela souligne que les politiques visant à une plus grande diversité et inclusion des genres doivent se concentrer sur le comportement des hommes et sur les décisions relatives à l’offre de travail, et pas seulement sur celles des femmes.

Bien que notre recherche ne puisse pas identifier le canal précis par lequel le congé de paternité légiféré importe, il y a deux possibilités. L’une d’entre elles est causale, l’augmentation des droits au congé de paternité modifiant elle-même les décisions relatives à l’offre de travail. Une autre possibilité est que les pays qui appliquent un congé de paternité plus important connaissent le type de changement social et culturel associé à une plus grande participation des femmes.

Bien que nous ne puissions pas saisir comment la culture de la prise de congé évolue au fil du temps, nous trouvons des preuves connexes qui indiquent qu’il s’agit d’une contrainte importante. Bien que le Japon et la Corée du Sud aient les droits les plus généreux, nous savons que le taux d’utilisation est particulièrement faible dans ces pays. Si l’on exclut le Japon et la Corée du Sud, non seulement l’avantage du congé de paternité est estimé plus élevé quelle que soit la durée du congé, mais la durée à laquelle cet impact devient négatif est beaucoup plus tardive (54 contre 45 semaines, voir graphique 1).

L’avantage potentiel de la prise d’un congé par les deux parents est logique, tant du côté de l’offre que de la demande de travail. Si les femmes s’attendent à interrompre leur carrière alors que leurs partenaires ne le font pas, cela crée naturellement un moindre attachement à la population active, ce qui signifie qu’un employeur qui envisage deux candidats de sexe différent peut avoir un biais conscient ou inconscient en faveur de l’embauche de la personne la moins susceptible de partir. Si tous les parents, quel que soit leur sexe, sont susceptibles de prendre un congé pour s’occuper de leurs enfants, ces obstacles à l’entrée et au maintien des femmes dans la population active devraient logiquement diminuer.

La pertinence de notre constatation sur le congé de paternité est d’autant plus importante que le congé de maternité n’est pas significatif de la participation des femmes dans notre modèle. Nous avons cherché à savoir s’il s’agissait d’un changement récent en étendant les travaux antérieurs de Thévenon et Solaz (2013). Les résultats suggèrent que les progrès substantiels réalisés dans l’élargissement des droits au congé de maternité au cours des décennies précédentes – notamment dans les années 1980 – ont fait que tout changement intervenu depuis les années 2000 n’a pas eu d’impact statistiquement significatif sur les taux d’activité des femmes (voir le graphique 2). Pour les pays où les droits au congé de maternité sont encore faibles (principalement les pays anglophones), il se peut que les politiques des entreprises soient en moyenne plus généreuses – bien qu’une fois de plus, nous ne puissions pas mesurer cela directement, ce qui souligne le défi d’essayer de comprendre ces relations complexes avec des données limitées.

Les politiques pertinentes visant à modifier les incitations au travail vont au-delà des politiques de congé équitable, en particulier compte tenu du fait que les individus peuvent toujours choisir de prendre ou non des congés disponibles et d’en déterminer le nombre. Les systèmes fiscaux n’offrent pas le même choix individuel et jouent donc un rôle essentiel dans la détermination du rapport coût-bénéfice relatif de la prise d’un emploi rémunéré formel (la marge extensive) et du nombre d’heures travaillées lorsqu’on a un emploi rémunéré (la marge intensive). Une mauvaise politique peut fausser les décisions en matière d’offre de travail et conduire à une allocation sous-optimale des ressources globales. Le fait que les coins fiscaux peuvent être plus importants pour les seconds revenus et les parents isolés est particulièrement pertinent pour la question des taux de participation des femmes.

Nos recherches ont montré que les systèmes qui imposent une charge fiscale plus élevée aux seconds revenus et aux parents uniques ayant des enfants, respectivement, sont associés à des taux d’activité féminins plus faibles. Cela est logique, étant donné que les femmes ont tendance à être le deuxième soutien économique dans les ménages à double revenu et sont plus susceptibles que les hommes d’être des parents uniques. Nous avons constaté que la relation inverse s’applique aux hommes, ce qui pourrait suggérer que les normes traditionnelles en matière de genre font que les hommes sont plus susceptibles d’être le principal soutien économique d’un ménage.

Les protections de l’emploi soulignent les différences d’engagement des hommes et des femmes dans la population active

Les protections de l’emploi sont un élément intéressant du puzzle politique. Dans l’idéal, ces protections devraient trouver un équilibre entre la protection des droits des travailleurs et la possibilité pour les entreprises de gérer au mieux leurs effectifs. Dans la pratique, cependant, les gouvernements ne parviennent pas toujours à trouver cet équilibre et, ce qui est plus important pour notre propos, les distorsions peuvent influencer différemment les hommes et les femmes.

Nous avons constaté une relation positive entre la protection de l’emploi régulier et la participation des femmes. Cela correspond à notre attente selon laquelle, compte tenu des difficultés rencontrées par les femmes pour travailler à temps plein, une plus grande protection de l’emploi en général peut contribuer à atténuer les préjugés conscients et inconscients. Nous n’avons pas relevé de relation de ce type pour la participation des hommes.

Pour les contrats temporaires, cependant, nous avons trouvé la relation inverse : Des protections moins strictes en matière d’emploi étaient associées à des niveaux plus élevés de participation des femmes. Cela suggère que la flexibilité du marché du travail peut faciliter l’entrée et le retour des femmes qui sont moins attachées à la population active et donc plus susceptibles de travailler dans des rôles temporaires et à temps partiel. En effet, nous avons constaté que des taux plus élevés de travail à temps partiel chez les femmes étaient associés à des taux plus élevés d’activité féminine.

Ce n’est pas le cas pour les hommes. Nous avons constaté qu’une protection de l’emploi plus stricte pour les contrats à court terme était associée à une participation masculine élevée, alors que les taux de travail à temps partiel n’étaient pas significatifs dans notre modèle. Cela suggère l’idée que les hommes ont une relation fondamentalement différente avec la main-d’œuvre que les femmes, reflétant les différentes incitations créées par le régime politique, et les différences qui persistent dans les rôles des hommes et des femmes dans les soins et l’emploi formel.

L’expérience Covid-19 a mis en évidence les risques de l’équilibre actuel : L’inégalité des responsabilités en matière de soins et la surreprésentation dans les emplois moins sûrs du secteur des services ont conduit plus de femmes que d’hommes à quitter leur emploi. Si nos résultats montrent les avantages du travail à temps partiel et flexible pour augmenter le nombre de femmes dans la population active, ils ne traitent pas de la qualité de ce travail, ni de la question de savoir si les ressources en main-d’œuvre sont allouées de manière optimale ou si elles reflètent les préférences de genre ancrées dans le lieu de travail. Il s’agit clairement d’un domaine où il faut poursuivre les recherches.