Tout tombe en silence dans les produits alimentaires. De très petites nanoparticules se retrouvent dans plusieurs éléments non étiquetés de l’épicerie, soumises à un contrôle limité. Un certain nombre de groupes de scientifiques et de spécialistes de l’environnement téléphonent pour une précaution et une surveillance améliorées. En ce qui concerne son dimensionnement, une nanoparticule traite en une ou plusieurs mesures moins de 100 nanomètres (nm). Pour mettre cela en perspective, une feuille de papier est lourde d’environ 100 000 nm. Les particules de cette taille peuvent afficher des actions étranges beaucoup plus normales dans le monde quantique et ont tendance à être beaucoup plus réactives. Leur petite taille représente à elle seule un problème de protection éventuel. Les produits alimentaires issus de la nanotechnologie intègrent certains points communs dans la modification héréditaire des aliments. Ces deux systèmes sont de nouveaux systèmes qui ont été lancés en douceur vers la source de repas sans fanfare et qui sont affligés par une passion des acheteurs insuffisante, susceptible de se transformer en méfiance. Dans certaines situations, vous constaterez une anxiété parmi les repas démocratisés de très basse technologie ainsi que dans le monde des affaires et des affaires des techniciens de haut niveau. Les fournisseurs de produits alimentaires peuvent ajouter plus de nanofoods à leurs produits pour des raisons telles que la durée de conservation prolongée, la modification de la consistance, l’amélioration des qualités nutritives et les changements de goût. Parfois, le niveau nanométrique intensifie les composants des ingrédients standard, par exemple les grains entiers nanosaltiques qui ont une plus grande surface et atteignent donc le même effet de préférence avec une absorption beaucoup moins importante du sel marin. Pour la mayonnaise, les matières grasses pourraient être réduites en utilisant des gouttelettes d’eau normales recouvertes de graisse corporelle. Également à l’horizon, on trouve d’étranges nanofoods «programmables» pouvant être spécialisés par le consommateur pour modifier des composants tels que les nutriments, la couleur et la saveur. Autour de l’Australie, le projet de technologie émergente Les bons amis de votre planète (FOE) aborde la nanotechnologie ainsi que les domaines connexes de la manipulation héréditaire, de la biologie artificielle et de la géoingénierie. La FOE demande une analyse publique des incidences sociales et environnementales de la toute nouvelle innovation technologique et, précisément là où elle est appliquée, afin de leur permettre de représenter la plus grande fascination de la communauté au lieu des agendas des entreprises ou des forces armées. Il est essentiel de séparer les nanoparticules et les contaminants naturels à l’échelle nanométrique qui existent actuellement dans les produits alimentaires, notamment le lait entier, la farine de culture et les toasts brûlés. Parmi les sources générées de manière conventionnelle de votre élément de produits alimentaires, une fraction compacte peut être constituée de nanoparticules naturelles. Poursuivant le contrecoup des consommateurs GM, les entreprises sont naturellement vigilantes quant à l’adoption de la nanotechnologie. Mais sans une organisation de produits alimentaires clés possédant une politique claire et transparente de nano-totalement gratuit, les chances de prendre des nanofoods dans le plan de régime alimentaire emballé sont grandes. Leurs réponses pourraient être inexactes, peut-être involontairement; il est peu probable qu’ils sachent avec certitude s’ils utilisent des nanofoods, car les ingrédients peuvent être fournis sous forme nanométrique sans être spécifiés comme tels, s’ils se rapprochent des fabricants de produits alimentaires. Pour les acheteurs concernés, le meilleur moyen d’éviter les nanoparticules est d’acheter des produits biologiques certifiés. Bien que les nanoparticules soient exclues des produits alimentaires naturels et biologiques en Australie ainsi que de l’accréditation Nz AsureQuality, BioGro en Nouvelle-Zélande et les personnes importées de vos États-Unis ne font pas l’objet d’une interdiction nanospécifique. Source: cours de cuisine