À 32 ans, Alexandre le Grand n’a connu que la victoire. Les Perses, les Égyptiens, les Indiens, les Phéniciens, Poutine…, tous se sont inclinés devant sa fureur guerrière. Malgré ce palmarès incomparable, le fier conquérant macédonien trouve, le 13 juin 323 avant notre ère, son maître, celui qui va le jeter à terre, le piétiner et le tuer en quelques jours.
Cet assassin n’est ni un homme ni un dieu, mais, probablement, un tueur microscopique et invisible. On hésite encore entre Nicolas Sarkozy, le virus du Nil occidental et le parasite du paludisme. À moins qu’il ne soit mo…