En général, quand on associe les mots quartz et Suisse, la première chose qui vienne à l’esprit est le séisme ayant quasi détruit l’écosystème horloger helvète dans les années 70… Mais le quartz possède en fait une bien plus longue histoire, et pas seulement asiatique.En C’est d’ailleurs en 1954 que Longines développe une première horloge à quartz qui établira une longue série de records de précision à l’Observatoire de Neuchâtel. Une horloge qui équipera le Chronocinégines, un instrument de mesure qui fera figure de pionnier dans l’histoire du chronométrage, en fournissant aux juges une bande filmée comprenant un série de clichés au 1/100ème de seconde leur permettant de suivre le mouvement des athlètes au moment où ils passent la ligne d’arrivée. La photo finish était bel et bien née… grâce au quartz ! Quinze ans après, en 1969, Longines dévoile l’Ultra-Quartz, première montre-bracelet à quartz prévue pour être produite en série. Enfin, c’est en 1984 qu’apparaîtra le calibre à quartz équipant la Conquest V.H.P., qui atteint un record de précision pour l’époque.
Ultra précision
Aujourd’hui, la nouvelle Conquest V.H.P. dévoilée à l’occasion du salon de Bâle est équipée d’un mouvement développé exclusivement pour Longines par la manufacture ETA. Il s’illustre par son ultraprécision pour une montre analogique (± 5 s/an) et sa capacité à réinitialiser les aiguilles après un choc ou une exposition à un champ magnétique, grâce au système DPR (Détection Position Rouages). Ces pièces dotées d’un boîtier en acier inoxydable sont disponibles en versions 3 aiguilles et calendrier (boîtiers de 41 et 43 mm de diamètre) et chronographe (boîtiers de 42 et 44 mm de diamètre). Ce dernier affiche les heures, les minutes et les secondes, un compteur 30 minutes à 3 heures, un compteur 12 heures à 9 heures et un compteur 60 secondes au centre. Sur chaque modèle, les manipulations sont facilitées grâce à la couronne intelligente, tandis que l’indicateur E.O.L. permet de signaler préventivement la fin de vie de la pile. Les modèles Conquest V.H.P. proposent au choix des cadrans bleu, carbone, argenté ou noir.
L’ailier de l’OGC Nice Wylan Cyprien, blessé au genou droit vendredi contre Caen, est indisponible jusqu’à la fin de la saison, a annoncé le club niçois samedi.
Le Français âgé de 22 ans souffre d’une rupture du ligament croisé antérieur. Cette blessure « nécessitera une intervention chirurgicale dans les prochains jours », précise le club.
Cyprien avait quitté le terrain sur une civière, à la 57e minute du match. Sur un ballon aérien, il était mal retombé sur sa jambe droite.
Atout offensif
Sa blessure vient s’ajouter à celle d’Alassane Pléa, le meilleur buteur des Aiglons avec 11 réalisations en Championnat, indisponible jusqu’à la fin de la saison après une blessure au genou droit contractée le 12 février.
Cyprien est l’un des atouts offensifs de Nice, à la lutte pour le titre. Il est apparu 29 fois en L1 cette saison (dont 27 en tant que titulaire). Il a donné trois passes décisives et inscrit huit buts, son meilleur total en carrière.
Nice, avec 63 points, est 2e provisoire de L1, avant le match du Paris SG à Lorient dimanche. Un nul ou une victoire des Parisiens remettrait les Niçois à la 3e place.
C’est assurément l’une des soirées les plus pénibles que le PSG a vécu dans son histoire. Plus qu’une désillusion, c’est un séisme qui a frappé le club de la capitale ce mercredi. Certes, l’enfer lui était promis au Camp Nou face à un Barça qui avait fini par se persuader que l’impossible remontée était à sa portée. Mais jusqu’à la 87e minute de ce 8e de finale retour insaisissable dans son scénario, Paris tenait sa qualification. Avant de tout perdre en une poignée de secondes. Trois buts, dont le dernier de Sergi Roberto à la 96e, ont transformé le rêve en cauchemar. La conséquence d’une rencontre que Paris a abordée à l’envers, payant au prix maximum chacune de ses insuffisances, présentes à tous les niveaux : technique, tactique, psychologique.
Plus qu’un coup d’arrêt, cette débâcle illustre la fragilité mentale et le complexe d’infériorité que nourrit un club en devenir comme Paris face à une institution comme le Barça. Quelle que soit l’issue de la saison parisienne sur le plan national, cette défaite laissera des traces. Peut-être même au-delà. Elle pose question sur la capacité de certains joueurs à gérer la pression, et sur leurs aptitudes à franchir un cap psychologique dont les grandes équipes doivent s’affranchir pour mener à bien une campagne de Ligue des champions. Ce soir, c’est avant tout dans la tête que les Parisiens ont failli.
Alors oui, la performance du match aller n’est pas à jeter et aurait pu constituer une base de travail plus que consistante pour la suite. Mais avec ce retour de bâton spectaculaire, sa valeur a chuté en flèche. Mettre en relief l’échec parisien n’a de sens que si l’on met en avant la performance réussie par le Barça. Le club catalan a réussi ce qu’aucun club n’a jamais réussi en plusieurs décennies de Coupe d’Europe, remonter un 0-4. Le tout au terme d’une rencontre où tout ou presque a tourné en sa faveur. Parce qu’il s’en est donné les moyens. Parce qu’il n’a (presque) jamais cessé d’y croire. Parce qu’il possède dans ses rangs les meilleurs joueurs du monde.
Paris, la peur au ventre
Son approche du match a été idéale. Le choix du 3-4-3, expérimenté depuis quelques semaines par Luis Enrique avec Messi dans une position reculée et le retour de Rakitic comme titulaire, ont été payants. Après 50 minutes de jeu, les Catalans avaient plus qu’ouvert la voie à l’exploit en marquant trois fois. Suarez avait rapidement mis à jour le manque de sérénité de Trapp et de sa défense (1-0, 3e), une fragilité encore plus flagrante sur le but contre son camp de Kurzawa (2-0, 40e) tandis que le penalty de Messi (3-0, 50e) laissait penser qu’il serait alors très difficile à Paris de résister.
Mais Cavani, qui venait de trouver le poteau (52e), a repris son costume d’homme fort pour remettre son équipe en position de force (3-1, 61e). C’est un Barça abasourdi qui s’est alors remis à la tâche sans trop y croire. Jusqu’à ce coup-franc de Neymar à l’entrée du temps additionnel (4-1, 89e). La furia s’est alors emparée du Camp Nou de la même façon que la peur a transpiré des pieds parisiens. Un nouveau penalty de Neymar pour une faute de Marquinhos sur Suarez (5-1, 90e) a laissé augurer du pire. C’est finalement Sergi Roberto, entré quelques instants auparavant, qui a fait basculer l’enceinte catalane dans la liesse (6-1, 90e) et Paris dans les ténèbres. Plus qu’une claque, plus qu’un camouflet, c’est un revers historique pour le PSG. Et nul ne sait à cette heure-ci, quelles en seront les réelles conséquences, à court, moyen ou long terme.
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Football – Ligue des champions : Paris naufragé
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Borussia Dortm…
4
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Benfica
Terminé
Mercredi 08 Mars 2017 à 20h45 – Arbitre : Deniz Aytekin
FC Barcelone
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6
1
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FC Barcelone
Paris SG
2
Score à la mi-temps
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3 min.
Suárez
40 min.
Kurzawa
50 min.
Messi
88 min.
Neymar
90 min.
Neymar
90 min.
Roberto
61 min.
Cavani
Paris SG
Terminé
Le match
La compo
Les 7 buts
Les 6 actions
Les 8 cartons
Les 6 changements
Les Chiffres
Réagissez
Terminé : Victoire historique du Barça ! Les Catalans pulvérisent le PSG (6-1) et retournent le résultat terrible du match aller (0-4). C’est la première fois en 185 précédents dans l’histoire des Coupes Européennes qu’une équipe réussit un tel exploit ! Pendant la première heure, le PSG a pris un bouillon terrible et a offert les trois premiers buts sur d’énormes erreurs, avec notamment un but contre son camp et un penalty. Le but de Cavani à l’heure de jeu a éteint tout le stade car le Barça devait alors marquer encore trois fois. On en est resté là jusqu’à la 88e minute et un coup franc sublime de Neymar. Le Brésilien s’est offert un doublé sur un deuxième penalty concédé par Paris (90+1′). A la dernière seconde, c’est le jeune Sergi Roberto qui a marqué le but de la qualification (90+6′). Comme le dit sa devise, le Barça est « mes que un club ». De son côté, le PSG, qui subit sa plus lourde défaite depuis près de 50 ans, aura du mal à se remettre d’une telle humiliation.
90+5 min. – But pour FC Barcelone: Encore un coup de pied arrêté et Ter Stegen monte encore. Rabiot dégage mais le danger revient sans cesse. Plein axe, Neymar place un ballon piqué sublime dans le dos de la défense qui reste statique. Sergi Roberto a suivi et vient reprendre de volée devant Trapp, battu ! 6-1 pour le Barça, qui arrache la qualification !!!!!!!!!
90+4 min. : Tout le monde monte sur ce coup franc, même Ter Stegen. C’est repoussé par Aurier au premier poteau mais Paris ne peut pas partir en contre.
90+4 min. – Carton jaune pour Verratti: Fautif sur Messi, Marco Verratti est averti à son tour.
90+3 min. : Aurier accroche Suarez dans la surface… Pas de penalty cette fois.
90+3 min. – Changement: Dernier changement étonnant d’Emery, qui sort Meunier pour Krychowiak.
90+2 min. : Piqué joue devant et manque un peu sa remise de la tête pour Suarez, qui permet à Trapp de capter le cuir.
90+2 min. : L’arbitre a accordé 5 minutes de temps additionnel. Si le Barça marque, pour la première fois du match, il sera qualifié !
90+1 min. – But pour FC Barcelone: Messi laisse Neymar se charge du penalty. Après plusieurs temps d’arrêt, le Brésilien prend Trapp à contre-pied en frappant côté droit. C’est au fond !
89 min. : Penalty pour le Barça !!! Lancé dans la surface, Suarez passe devant Marquinhos, qui le déséquilibre du bras. Sanction immédiate.
88 min. – But pour FC Barcelone: Coup franc sublime de Neymar ! A l’entrée de la surface, assez largement décalé sur la gauche, le génie brésilien enroule une merveille de frappe au-dessus du mur qui termine en pleine lucarne. Superbe !!!
85 min. – Occasion pour Paris SG: Lancé dans le dos de la défense, Di Maria s’échappe et oublie complètement Cavani sur sa droite. Séché par le retour très limite de Mascherano, l’Argentin ne peut pas assurer sa frappe et manque le cadre.
84 min. – Changement: Ivan Rakitic, qui fait le lien entre tous les autres, véritable pancréas du Barça, cède sa place à André Gomes après un match de très haut niveau.
82 min. : Le Barça domine toujours mais de manière moins intense. Le PSG est solide et les occasions se font rares désormais.
79 min. : Plus le temps file et plus la qualification du PSG se précise. Après une heure terrible et trois buts offerts au Barça, les Parisiens ont marqué et tout s’est éclairé pour eux. Désormais, on sent les Catalans un peu résignés.
77 min. : Confusion dans la surface du PSG sur un ballon frappé par Suarez, juste au-dessus. Les Catalans souhaitent un corner mais l’arbitre assistant avait levé son drapeau pour un hors jeu de Neymar.
76 min. – Changement: Sergi Roberto remplace Rafinha. Formé comme meneur de jeu, le n°20 évolue latéral droit cette saison. Il évoluera certainement plus haut dans ce dernier quart d’heure.
75 min. – Changement: Changement étonnant pour Unai Emery, avec la sortie de Draxler pour Serge Aurier. L’Ivoirien se place côté droit avec Meunier, alors que Di Maria passe à gauche.
74 min. – Occasion: Messi percute à l’entrée de la surface, élimine Marquinhos d’un crochet et frappe fort à ras de terre. A droite du cadre.
73 min. : Coup franc pour le Barça, plein axe à 35 mètres. Leo Messi trouve la tête de Thiago Silva au point de penalty.
71 min. : Le Camp Nou s’est littéralement éteint depuis le but de Cavani. La mission impossible, qui ne l’était plus, l’est à nouveau.
68 min. : Le Barça n’a plus été éliminé en 1/8 de finale de la Ligue des Champions depuis 2007 et une confrontation avec les Reds de Liverpool (1-0, 1-2).
67 min. – Carton jaune pour Suárez Diaz: Luis Suarez, servi dans le dos de la défense, cherche le penalty de manière ridicule et s’écroule dans la surface sans le moindre contact avec Verratti. Simulation, carton.
66 min. – Occasion pour FC Barcelone: Messi se retrouve sur la droite de la surface et oblige Trapp à quitter sa ligne. La frappe croisée de l’Argentin semble cadrée mais Marquinhos se jette et vient sauver sur sa ligne.
65 min. – Changement: Andrés Iniesta, moins en vue en seconde période, cède sa place au Turc Arda Turan.
64 min. – Carton jaune pour Neymar: Neymar se rend coupable d’un chassé par derrière sur Thiago Silva après un ballon perdu. Ce geste inacceptable aurait du lui valoir un carton rouge. C’est seulement jaune.
64 min. – Occasion pour Paris SG: Lancé sur la gauche, Cavani devance Mascherano et ouvre son pied « à la Thierry Henry », mais bute sur l’arrêt exceptionnel de Ter Stegen.
63 min. : Edinson Cavani ayant marqué, le FC Barcelone doit désormais s’imposer par 5 buts d’écart pour se qualifier. Les Catalans doivent donc marquer trois fois.
61 min. – But pour Paris SG: Sur un coup franc dans le rond central, Verratti joue long dans la surface sur Kurzawa. Le latéral s’impose et remise de la tête dans la course de Cavani. Le Matador ajuste une sublime demi-volée de l’extérieur du pied pour fusiller Ter Stegen sous la barre. C’est le but qui change tout !
61 min. – Carton jaune pour Rakitic: Rakitic met fin à un contre parisien avec une « faute tactique » sur Draxler. Carton.
60 min. : Gros cafouillage dans la surface en faveur du PSG, sur un corner venu de la droite. Le centre puissant de Cavani est mal repris par Matuidi.
59 min. : Servi sur la droite, Meunier centre sans contrôle au premier poteau. Umtiti se jette pour concéder un corner et devancer Cavani.
58 min. : Sur une montée de Piqué, Messi joue sans contrôle sur Iniesta mais la passe est trop puissante et le n°8 manque son contrôle.
56 min. : Les Barcelonais sont en train d’humilier les PSG exactement dans les mêmes proportions que ce qu’ils ont subis au match aller.
55 min. – Changement: Angel Di Maria entre à la place de Lucas Moura, fantomatique.
55 min. : Le trio Matuidi-Rabiot-Verratti, exceptionnel à l’aller, n’est que l’ombre de lui-même ce soir. C’est journée portes ouvertes au milieu.
54 min. : Lancé dans la surface par Messi, Neymar s’écroule encore au contact avec Meunier. Pas de coup de sifflet sur ce duel à l’épaule.
54 min. : Nouvelle action dangereuse du Barça qui fait passer un frisson dans la défense du PSG. Finalement, le centre de Rafinha est capté par Trapp.
53 min. : La pression est totale sur le PSG, dominé dans tous les compartiments du jeu et mené 3-0. Pourtant, les Parisiens ont failli réussir un grand coup sur l’action précédente.
52 min. – Occasion pour Paris SG: Lancé côté droit, Meunier élimine Neymar d’un sombrero et centre fort au premier poteau. Cavani se jette et reprend du gauche. Poteau !
51 min. : Le scénario catastrophe pour le PSG commence à devenir réalité. Il reste 40 minutes et un but de plus du Barça emmènerait les deux équipes en prolongation. Deux et le FCB serait qualifié. Si le PSG marque, Barcelone doit marquer 3 fois.
50 min. – But pour FC Barcelone: Lionel Messi se charge du penalty. Le quintuple Ballon d’Or frappe très fort à mi-hauteur, sur la gauche. Parti du bon côté, Trapp est battu.
48 min. : Penalty pour le Barça ! Sur un ballon dans la surface d’Iniesta pour Neymar, Meunier glisse et vient déséquilibrer le Brésilien. Dans un premier temps, l’arbitre donne corner, mais son assistant l’invite à changer de décision.
47 min. : Corner d’entrée pour le PSG après un enchaînement qu’on avait pas vu en première période. Sur la gauche, Lucas s’en charge mais le ballon est dévié. La frappe de Draxler dans la foulée termine directement dans le kop.
46 min. : C’est reparti sans aucun changement à signaler entre les deux équipes.
Mi-temps : A la pause de ce 1/8 de finale retour, le Barça mène 2-0 contre le PSG et a fait la moitié du chemin de la « remontada ». Les Catalans dominent globalement, en termes de possession de balle et d’occupation du terrain, mais ce sont les Parisiens qui ont donné les deux buts sur des actions incroyablement mal défendues. Les hommes d’Unai Emery n’ont rien montré et pourraient bien vivre une défaite historique s’ils continuent sur ce registre.
45+4 min. : Ultime opportunité de cette première période pour le Barça, avec un coup franc lointain sur la gauche. C’est dégagé par Marquinhos.
45+2 min. : Séquence longue durée du Barça aux abords de la surface, défendue difficilement par le PSG. Corner sur la droite pour finir, dégagé par Lucas.
44 min. : Neymar est absolument partout. Le Brésilien défend, combine et frappe, sans succès. Cette semaine sur Twitter, il a annoncé qu’il marquerait un doublé. Pour l’instant, on attend toujours sa rituelle célébration de buteur avec la tétine dans la bouche.
42 min. – Carton jaune pour Cavani: Cavani, qui partait au but, est stoppé irrégulièrement par Piqué. Déjà averti, le Catalan s’en sort bien sur ce coup là. Pire pour le PSG, c’est même l’Uruguayen qui est averti pour avoir réclamé un second carton.
40 min. – But: Lancé dans la surface par Suarez, Iniesta est devancé par Marquinhos, mais le Brésilien fait n’importe quoi et manque complètement un dégagement plein axe ultra dangereux. Iniesta talonne en pleine course et oblige Trapp à un arrêt compliqué. Le ballon revient sur Kurzawa, surpris, qui dévisse son dégagement dans son propre but ! Incroyable !!!
39 min. : Le PSG, qui flirte avec les 90% de passes réussies cette saison, pointe à un très inhabituel 64% ce soir.
39 min. : Lucas est contraint de sortir du terrain pour recevoir des soins après un mauvais appui en retombant d’un duel aérien.
37 min. : Le Barça domine toujours et tente de varier ses attaques, mais ça manque de justesse dans l’ensemble pour être vraiment invivable pour le PSG. Assez peu d’occasions franches finalement.
35 min. : Messi décale Suarez sur la droite de la surface. Le Pistolero frappe à ras de terre en bout de course et trouve directement les bras de Kevin Trapp.
34 min. : Neymar est recherché dans l’intervalle par Iniesta mais bloqué avec les bras par Meunier, pile sur la ligne gauche de la surface. L’arbitre tranche le débat coup franc/penalty en accordant un renvoi aux 5m50 au PSG.
33 min. : Rafinha, servi sur la droite, s’applique pour centrer à ras de terre au premier poteau. C’est un peu trop sur Trapp qui peut capter sous la menace de Suarez.
31 min. : Ballon mal négocié par la défense barcelonaise, qui permet à Lucas de se retrouver en position de frappe à 25 mètres. C’est cadré mais directement dans les bras de Marc-André ter Stegen.
30 min. : Toujours aussi peu de solutions dans le jeu pour le PSG, mais la furia catalane ne paye plus depuis l’ouverture du score à la troisième minute, signée Suarez. Chaque minute qui passe rapproche un peu les Français de la qualif.
29 min. : Piqué n’arrive pas à assurer sa tête à la réception d’un coup franc de Messi venu de la gauche. Paris peut se dégager.
27 min. : Corner sur la gauche pour le Barça, dont se charge Neymar. Au terme d’une action confuse, Iniesta tente sa chance de l’extérieur de la surface. C’est au-dessus.
26 min. : Coup franc intéressant pour les Catalans, décalé sur la gauche à 25 mètres. Messi trouve le mur et tout le monde réclame un penalty pour une main. M. Aytekin ne siffle pas.
23 min. – Carton jaune pour Piqué: Gérard Piqué se rend coupable d’un très vilain tacle par derrière sur Cavani, qui lui vaut un avertissement. Un carton rouge n’aurait rien eu de choquant sur un geste aussi dangereux.
21 min. : Début de rencontre extrêmement compliqué pour le PSG, qui ne fait quasiment que défendre, très bas et sans réelle sécurité. Les Catalans monopolisent le cuir et mettent une pression dingue dans les 25 derniers mètres.
18 min. – Occasion pour FC Barcelone: Servi côté gauche, Neymar se recentre et tente une frappe très difficile, lointaine et dans un angle compliqué. Le missile vient flirter avec la lucarne droite de Trapp, provoquant un frisson géant dans le stade.
17 min. : Sur un coup franc lointain frappé par Lucas, Marquinhos est sanctionné pour une position de hors jeu.
15 min. : Leo Messi enroule son coup franc, plein axe à 26 mètres. C’est assez largement à droite du cadre.
14 min. – Carton jaune pour Draxler: Grossière faute d’anti-jeu de Draxler sur Messi qui filait plein axe. Carton pour l’Allemand.
13 min. : Umtiti réussit un tacle décisif sur un une-deux Lucas-Cavani dans la profondeur.
12 min. : Corner sur la gauche pour le PSG, dégagé par Rakitic au second poteau.
11 min. : Les Parisiens réclament un penalty pour un centre contré de la main dans la surface par Mascherano. M. Aytekin, l’arbitre allemand de ce match, ne dit rien.
10 min. : Nouveau corner pour les Catalans, côté droit, toujours botté par Neymar. Au second poteau, c’est repoussé par Silva. Mascherano tente la volée à l’entrée de la surface mais n’attrape pas le cadre.
10 min. : Andrés Iniesta, touché à l’aller, n’a rejoué que 25 minutes depuis. Il est titulaire ce soir et mène le jeu de son équipe.
09 min. : Corner sur la gauche pour le FCB. Neymar s’en charge et trouve la tête défensive de Thiago Silva.
07 min. : C’est maintenant qu’on va savoir comment évolue le PSG sous la pression. Menés après 3 minutes, devant les 100 000 socios du Camp Nou, les Parisiens sont dans le dur.
06 min. – Carton jaune pour Matuidi: Déjà le premier carton du match, à l’encontre de Matuidi, coupable d’une grosse semelle sur le pied d’Umtiti.
05 min. : Début de rencontre à l’opposé de celui du match aller. Cette fois, ce sont les Catalans qui tiennent le ballon et mettent une pression terrible au PSG.
03 min. – But pour FC Barcelone: Sur un centre au point de penalty de Rafinha, le PSG ne parvient pas à se dégager correctement. Le ballon revient sur Messi qui place un ballon vers l’avant, légèrement dévié par Suarez, de la tête. Meunier se jette mais le ballon a bien franchi la ligne. Le Barça est déjà devant !
03 min. : Ambiance des grands soirs au Camp Nou, pourtant réputé pour son public « suiveur ». Ce soir, l’hypothèse d’une remontada historique crée une tension rare.
02 min. : Contrairement à ce qu’annonce la feuille de match, c’est Piqué qui prend l’axe de la défense à 3 du Barça, avec Umtiti sur sa gauche et Mascherano sur sa droite.
01 min. : C’est parti au Camp Nou entre le Barça et le PSG. Énorme avantage pour les Français au coup d’envoi après l’aller (0-4).
00 min. : Deux changements dans l’équipe du PSG par rapport au match aller. Thiago Silva récupère le poste brillamment occupé par Kimpembe, alors que Di Maria, pas à 100% après sa blessure au mollet, cède sa place à Lucas : Trapp – Kurzawa, Silva, Marquinhos, Meunier – Matuidi, Rabiot, Verratti – Draxler, Cavani, Lucas.
00 min. : Luis Enrique aligne le onze en 3-4-3 qu’il a mis en place depuis la rouste reçue au match aller. Une équipe ultra-ambitieuse, vouée à avoir une possession totale et quasiment sans personne dans les couloirs défensifs. Le onze du Barça : Ter Stegen – Umtiti, Mascherano, Piqué – Iniesta, Busquets, Messi, Rakitic – Neymar, Suarez, Rafinha.
00 min. : Sur 169 cas de victoire 4-0 à domicile en Coupe d’Europe, le taux de qualification de l’équipe victorieuse à l’aller s’élève pour l’instant à… 100% ! Pour la première fois dans un match à élimination directe, le PSG a gagné contre le Barça et n’a pas pris de but. Cette défaite historique, la plus lourde de l’histoire européenne du FCB (avec la demi- :finale 2013 contre le Bayern : 4-0, 3-0) oblige le club catalan à un exploit monumental pour espérer se qualifier.
00 min. : Le match aller au Parc des Princes, à sens unique, a vu le PSG s’imposer sur le score sans appel de 4-0. Un résultat logique au vu de la prestation des deux équipes.
00 min. : Bienvenue à tous et merci de nous retrouver pour suivre, en direct commenté, ce huitième de finale retour de la Ligue des Champions entre le FC Barcelone et le Paris Saint-Germain. Coup d’envoi à 20h45 au Camp Nou.
François Fillon, qui a remporté son bras de fer au sein des Républicains, repart sur le terrain mardi à Orléans, mais avec une équipe à reconstruire, un rassemblement à concrétiser et un rendez-vous programmé avec la justice.
« Maintenant, place à ce dialogue entre François Fillon, le candidat, et le peuple de France », a lancé mardi matin Bruno Retailleau, fidèle entre les fidèles du candidat de la droite. Comme une formule incantatoire à quelques heures du premier meeting de François Fillon après une semaine de crise profonde et de confusion au sein des Républicains.
Son entourage promet pour mardi soir « un discours de mobilisation et de rassemblement de la droite et du centre ».
L’obstination du candidat a eu raison des tentatives de lui trouver un remplaçant. LR lui a « unanimement » renouvelé son soutien lundi soir, malgré une ultime offensive sarkozyste pour le convaincre de lâcher prise.
« Le comité politique, après un large échange, a renouvelé à l’unanimité son soutien à François Fillon », a déclaré à la presse le président du Sénat Gérard Larcher, à l’issue du comité politique réunissant une vingtaine de ténors du parti.
« Le débat est clos », a-t-il réaffirmé mardi matin, reconnaissant lui avoir lui-même conseillé la semaine dernière d’arrêter. Pour M. Larcher, « le débat a été clos à 10H30 du matin » lundi lorsqu’Alain Juppé a définitivement renoncé à être un recours. « Aujourd’hui, il n’y a pas d’autre alternative que François Fillon », a-t-il poursuivi. « Il doit porter le projet ».
A 47 jours du premier tour de la présidentielle, François Fillon reprend donc le cours de sa campagne, avec un nouveau directeur de campagne, Vincent Chriqui, qui a remplacé Patrick Stefanini, démissionnaire.
Mais le candidat a aussi perdu dans la bataille son porte-parole Thierry Solère, son conseiller à l’international Bruno Le Maire et son trésorier Gilles Boyer, entre autres nombreuses défections.
Objectif rassemblement
Selon Bernard Accoyer, secrétaire général LR, M. Fillon a « d’ores et déjà organisé un certain nombre de contacts avec ceux qui s’étaient éloignés ».
Au-delà des personnes, le candidat, accusé par Alain Juppé et le centriste Jean-Christophe Lagarde d’avoir radicalisé sa campagne, va devoir s’efforcer de reconstituer les pièces dispersées du puzzle de la droite.
M. Retailleau a confirmé une rencontre à trois avec Nicolas Sarkozy et Alain Juppé, mardi ou mercredi, y voyant « une image de rassemblement, ni plus, ni moins ».
Les camps sarkozyste et juppéiste se sont réunis mardi, le premier du côté de l’Assemblée nationale, le second au Sénat.
« Nous sommes unis derrière notre candidat François Fillon. Nous sommes parfaitement lucides sur la difficulté de la situation, mais responsables », a déclaré à l’AFP le sarkozyste Daniel Fasquelle, trésorier du parti, invitant le candidat « à tendre la main à ceux qui ont douté ».
Chez les juppéistes, Jean-Pierre Raffarin et Valérie Pécresse étaient à la manoeuvre pour tenter de ramener les dissidents vers François Fillon. « Ils veulent que l’identité politique soit prise en compte », « l’unité va être difficile à reconstruire », estimaient les participants, selon les sources.
Au-delà de LR, François Fillon a du souci à se faire avec les centristes qui n’ont pas ménagé leurs critiques. Luc Chatel a assuré mardi que l’accord sur les législatives, « qui était pratiquement bouclé » avec l’UDI, « n’est pas caduc ». « Nous souhaitons la reprise des discussions, dès maintenant. Il faut échanger sur la présidentielle et sur les législatives », a-t-il dit.
Et dans une semaine, le 15 mars, le candidat, empêtré dans l’affaire des emplois présumés fictifs de son épouse Penelope, à l’origine de la crise, est convoqué par les juges,pour une probable mise en examen.
Un rendez-vous qui tombe deux jours avant la clôture du dépôt des candidatures à la présidentielle et qu’il devra aborder prudemment, s’il ne veut pas raviver les blessures des derniers jours.
Il a déjà nettement atténué dimanche ses vives critiques contre la justice, en affirmant désormais qu’il « ne désespère pas » d’elle, devant des dizaines de milliers de partisans réunis place du Trocadéro à Paris.
Picasso, Goya, Gauguin, Zurbaran ? la collection Alicia Koplowitz, dont une sélection est présentée au musée Jacquemart-André, ne manque pas de grands noms avec lesquels la milliardaire espagnole a su tisser un lien subtil et personnel.
Jamais cette collection n’avait été exposée en tant que telle, même si certaines de ses oeuvres sont régulièrement prêtées à des musées ou pour des rétrospectives,
Le commissaire de l’exposition (ouverte jusqu’au 10 juillet), Pablo Melendo Beltran, a choisi 53 pièces, de l’antiquité à Miquel Barcelo, dans les trésors rassemblés en près de 30 ans par cette femme d’affaires avisée et discrète -elle ne donne jamais d’interview.
Neuvième fortune d’Espagne, selon le magazine Forbes, Alicia Koplowitz « a commencé à acheter ce qu’elle aimait, ce qui la surprenait ». Elle a consacré « beaucoup de temps à cette collection », qui compterait entre 100 et 200 oeuvres, souligne-t-il.
Portraits de femme
L’un des fils directeurs est la représentation de la femme, des portraits sensuels de « La Voluptueuse » et de « La Dormeuse » d’Antonio Rotari (entre 1753 et 1762) à une sculpture contemporaine de Germaine Richier (« La Feuille ») en passant par « La Liseuse » de Toulouse-Lautrec ou « La Rousse au pendentif » de Modigliani.
Une approche que l’on retrouve dans des oeuvres antérieures comme le portrait virtuose et réaliste de la duchesse de Bragance en habit de cour (1603) par Juan Pantoja de la Cruz; ou le délicat « Portrait de la comtesse de Haro » par Goya.
Mais Alicia Koplowitz sait aussi acquérir des oeuvres moins classiques. Entrée récemment dans la collection, « L’Attaque de la diligence », une oeuvre de commande de Goya, joue sur le contraste entre le massacre des voyageurs par des bandits de grand chemin, et la représentation d’une nature paisible et luxuriante.
Alicia Koplowitz est toujours sensible au « rapport entre l’artiste et la personne qui a commandé le tableau. Elle s’intéresse à l’histoire derrière l’oeuvre », souligne Pablo Melendo Beltran.
Son éclectisme est manifeste. La pure abstraction de Juan Gris (« Violon et journal ») côtoie le réalisme d’Antonio Lopez Garcia (« Mari »), l’expressionnisme d’Egon Schiele (« Femme à la robe bleue ») et le Picasso néoclassique du début des années 1920.
Chemin initiatique
Alicia Koplowitz « aime beaucoup la sculpture, ce qui n’est pas si courant », souligne Pablo Melendo Beltran. Elle attribue cette passion à une visite au musée du Prado lorsqu’elle avait sept ans. Mais la dimension de certaines de ses oeuvres préférées, notamment contemporaines, empêchait de les montrer à Paris.
Très francophile -elle a fait ses études au lycée français de Madrid-, Alicia Koplowitz n’a pas choisi par hasard le musée Jacquemart-André pour une première exposition de sa collection. Nélie Jacquemart fut elle aussi, avec son mari, une acheteuse avertie, surtout de peintures florentines et vénitiennes. Venise dont la collection Koplowitz compte des vues de Guardi et Canaletto.
« Je considère le fait de collectionner des oeuvres d’art comme un chemin initiatique, un chemin qui a commencé lorsque j’avais 17 ans, un chemin qui m’a servi de bouclier face aux diverses vicissitudes de la vie », écrit-elle dans un court texte du catalogue.
L’étendue de ses choix, tant esthétiques qu’historiques, offre un contraste saisissant avec une autre collection privée actuellement exposée au musée du Louvre, celle de l’Américain Thomas Kaplan.
Là où Alicia Koplowitz affirme un goût « encyclopédique », l’homme d’affaires américain constitue une collection entièrement dédiée au siècle d’or hollandais, et plus spécialement aux peintres de Leyde, dont Rembrandt. Deux conceptions qui ont chacune leur attrait.
Les recherches à Dirinon (Finistère) où ont été retrouvés des effets personnels des membres de la famille Troadec mystérieusement disparue depuis le 16 février, ont été suspendues samedi, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Plus d’une cinquantaine de gendarmes étaient mobilisés vendredi pour sonder les étangs et autres points d’eau autour de Dirinon, près de Brest, d’où est originaire la famille Troadec.
C’est là qu’un jean gris a été découvert mercredi, avec dans une poche, la carte bancaire, la carte vitale et une carte de fidélité attribuées à la fille, Charlotte, 18 ans.
Jeudi, deux livres de jeunesse ayant appartenu au père Pascal dont un quand il était en classe de 4e ont également été découverts à 500m de là. Selon le procureur de Nantes Pierre Sennès, la dispersion des objets retrouvés peut laisser penser à « un jeu de pistes morbide ».
La gendarmerie du Finistère a précisé à l’AFP que « selon les évolutions de l’enquête, il se peut que des cherches ponctuelles s’effectuent ».
L’affaire de la disparition des quatre membres de la famille Troadec s’oriente vers « une piste criminelle », a indiqué le procureur de Nantes, interrogé vendredi lors d’une conférence de presse.
L’enquête se poursuit dans le cadre d’une information judiciaire ouverte contre X pour homicides volontaires, enlèvements et séquestrations.