Archives mensuelles : octobre 2016

Mossoul: les canons français en appui aux soldats irakiens

Des soldats français près d'un CAESAR (camion équipé d'un système d'artillerie) sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016
Des soldats français près d’un CAESAR (camion équipé d’un système d’artillerie) sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016

Tirés à 40 km du front, leurs obus peuvent frapper les combattants, véhicules ou positions des jihadistes du groupe Etat islamique: chaque jour, les canons français de la « Task Force Wagram » interviennent en appui aux soldats irakiens engagés dans la bataille de Mossoul.

« L’objectif, c’est de délivrer les feux dans les délais les plus brefs, entre cinq et dix minutes une fois que l’ordre de tir est redescendu à la batterie. Nous assurons la permanence des appuis pour les troupes irakiennes 24 heures sur 24 », explique le capitaine Alexandre (l’armée française refuse de donner les noms des militaires présents sur le théâtre irakien, pour des raisons de sécurité).

Des CAESAR (camion équipé d'un système d'artillerie) stationnent sur la base de Qayyarah, sud de Mossoul, le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFPDes CAESAR (camion équipé d'un système d'artillerie) stationnent sur la base de Qayyarah, sud de Mossoul, le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP
Des CAESAR (camion équipé d’un système d’artillerie) stationnent sur la base de Qayyarah, sud de Mossoul, le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP

Il commande cinq CAESAR (Camion équipé d’un système d’artillerie), des canons de 155 mm, de huit mètres de long, montés sur camions, qui ont déjà fait leurs preuves en Afghanistan et au Mali. Quatre sont immédiatement opérationnels à tout moment. Chaque canon est servi par cinq soldats et a une cadence de six tirs par minute.

Au total, une centaine de militaires français sont ainsi déployés depuis début septembre dans le cadre de la « Task Force Wagram », constituée de soldats provenant de différentes unités, principalement d’artillerie.

« Wagram, c’est en référence à la bataille napoléonienne de 1809, une victoire dans laquelle l’emploi de l’artillerie a été décisif et qui a été remportée par la Grande armée, qui était aussi une coalition », souligne le colonel Benoît, le commandant de la Task Force, qui intervient en complémentarité avec les frappes aériennes françaises.

Ces soldats sont installés dans la base de Qayyarah, à 60 km au sud de Mossoul, qui sert de quartier général à la coalition internationale menée par les Etats-Unis et aux forces irakiennes pour l’opération en cours pour libérer Mossoul.

La bataille de Mossoul © Thomas SAINT-CRICQ, Sabrina BLANCHARD, Kun TIAN AFPLa bataille de Mossoul © Thomas SAINT-CRICQ, Sabrina BLANCHARD, Kun TIAN AFP
La bataille de Mossoul © Thomas SAINT-CRICQ, Sabrina BLANCHARD, Kun TIAN AFP

Selon l’Etat-major des armées, à Paris, les engagements de la Task Force Wagram sont quotidiens et 35 missions de tir ont été effectuées la semaine dernière.

« Nous avons différents types de munitions: explosives s’il s’agit de neutraliser ou de détruire, mais nous sommes également en mesure d’éclairer le champ de bataille ou d’aveugler avec un rideau de fumigènes », énumère le capitaine Alexandre.

– Ennemi omniprésent –

Placés en « position d’attente » entre des blocs de béton, les canons se déploient sur quelques centaines de mètres dans un vaste espace plat et poussiéreux, pour se mettre en position de tir en fonction des coordonnées de la cible qu’ils doivent engager.

Il s’écoule en moyenne 100 secondes entre le moment où l’obus est tiré et celui où il atteint sa cible, avec une cinquantaine de mètres de rayon au point d’impact.

Des soldats français près d'un CAESAR (camion équipé d'un système d'artillerie) sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFPDes soldats français près d'un CAESAR (camion équipé d'un système d'artillerie) sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP
Des soldats français près d’un CAESAR (camion équipé d’un système d’artillerie) sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP

Mais si les artilleurs interviennent à la requête de la Coalition, après qu’elle a reçu une demande de soutien des soldats irakiens, c’est un officier français qui valide en dernière instance chaque tir.

« J’ai le souci permanent de maîtriser les effets » de notre action, insiste le colonel Benoît, particulièrement sensible à « l’aspect légal »: « Est-ce que les tirs sont bien dans le strict respect du droit des conflits armés et des règles d’engagement de la France? ».

« J’ai déjà dit non à des demandes d’appui feu quand elles mettaient en danger les infrastructures civiles ou les habitants », souligne-t-il. « Mais nous disposons d’un excellent canon, qui allie puissance, portée de tir et précision, ce qui est important quand on est au milieu des populations. C’est la brutalité alliée à la précision ».

Le rythme des engagements des canons français pourrait cependant diminuer, puisque le front a progressé vers Mossoul, jusqu’à atteindre leur limite de tir de 40 km.

Un soldat français entretient son fusil d'assaut, sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFPUn soldat français entretient son fusil d'assaut, sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP
Un soldat français entretient son fusil d’assaut, sur la base de Qayyarah (sud de Mossoul), le 31 octobre 2016 © AHMAD AL-RUBAYE AFP

« Les éléments de tête irakiens ont atteint la portée maximale des canons, mais il y a toujours des îlots de résistance en retrait. Le front n’est pas si défini, l’ennemi est partout et on va rester très utiles dans les jours à venir », assure le colonel Benoît.

Pour le général de division irakien Najem Al-Jabouri, commandant en chef des opérations pour libérer Mossoul, « les Français font beaucoup pour nous aider: ils entraînent nos troupes, déploient un porte-avions et leurs canons tirent jour et nuit. Après les Américains, ce sont eux qui interviennent le plus en soutien de nos forces ».

01/11/2016 10:26:33 – Al Qayyarah (Irak) (AFP) – © 2016 AFP

29 octobre 1763. Le marquis de Sade est bouclé à Vincennes sur dénonciation d’une prostituée.

Le 29 octobre 1763, à l’aube, des inspecteurs de police frappent à la porte-cochère d’une petite maison de la rue Mouffetard. Au portier qui vient ouvrir, ils demandent à parler au maître de la maison. Le domestique les conduit auprès d’un jeune homme de 23 ans, élégant, de petite taille, le visage légèrement marqué par la petite vérole. Le jeune marquis de Sade s’étonne. Les représentants du lieutenant de police de Paris lui expliquent que, sur ordre du roi, ils doivent le conduire au donjon de Vincennes pour « débauche outrée ». Donatien Alphonse François se décompose. Il tempête, pleure, d…

Mads Mikkelsen : « J’ai besoin de faire un break »

Mads Mikkelsen, 51 ans le 22 novembre prochain, renoue avec sa fibre geek en enchaînant pour le compte de Disney un rôle de méchant chez Marvel et un autre plus nuancé, à découvrir dés le 14 décembre, dans Rogue One : A Star Wars Story. Interprète dans Dr Strange du très vilain magicien Kaecilius, l’ex-acteur fétiche de Nicolas Winding Refn, primé à Cannes pour le drame La Chasse, revendique son éclectisme et ne marcher qu’au coup de coeur. Le Danois au charme ensorceleur vient, en tout cas, de briser le nôtre, de coeur, en affirmant vouloir se mettre au vert ces prochains mois.

Le Point Pop : C’est étonnant de vous voir jouer les vilains de service chez Marvel. Qu’est-ce qui vous a convaincu ?

Mads Mikkelsen : À peu près tout ! Mais surtout le fait que Benedict joue le Dr Strange et le fait que Scott Derrickson m’ait pitché le film en prononçant les mots magiques « kung-fu volant »…  Comment refuser une telle offre ? Et j’adorais aussi l’idée de partir un mois dans un boot camp avant le tournage, à apprendre les mouvements de kung-fu, m’entraîner à sauter avec des câbles… Ce n’était pas si dur que ça, sauf qu’à 50 ans on se remet beaucoup plus lentement de ses bleus qu’à 20.


On a du mal à vous associer à l’univers de la pop culture.

Ça doit être parce que je suis un acteur danois, on m’imagine plus branché par les films d’auteur, et pourtant, je vous assure que la pop culture occupait une grande place dans nos vies. Je lisais des comics, Spider-Man était mon héros préféré, j’adorais les Star Wars, j’étais un fan gigantesque de Bruce Lee et des films de kung-fu. Je lisais des BD de toutes sortes, américaines mais aussi françaises comme celles de Moebius, Tardi ou Hergé. J’ai même gardé ma collection de vieux comics et, jusqu’à mes 30 ans, j’achetais particulièrement les premiers numéros de comics anciens, je les ai toujours. Plus tard, quand les super-héros ont investi de plus en plus le cinéma, j’ai été ébloui, mais je n’aurais jamais imaginé être dans l’un d’entre eux.

On vous dit féru des biographies de Staline, d’Hitler, de Mao…

Tous les grands dictateurs, oui. Mais aussi de grands hommes d’État plus pacifiques type Churchill, je vous rassure. C’est intéressant d’essayer de comprendre ce qui se passe dans la tête des tyrans. Mais, plus encore, comment des populations entières ont pu adhérer à leurs idées. Par quels mécanismes un démagogue l’emporte-t-il ? Certes, les dictateurs ont avant tout exercé leur emprise à travers la peur, mais aussi à travers leur pouvoir de conviction. Mon personnage dans Dr Strange est aussi un démagogue, il croit profondément dans son propre discours et arrive à le vendre d’autant plus facilement aux autres.

On trouve une philosophie sur la quête de la vie éternelle dans Dr Strange.


Un moine bouddhiste a servi de conseiller technique sur le plateau : êtes-vous aussi attiré par la spiritualité que Benedict Cumberbatch ?

J’ai vu l’homme dont vous parlez sur le tournage, mais je n’ai jamais eu affaire à lui. Il faisait méditer Benedict et les autres. Au début, j’ai cru qu’il faisait partie des figurants (rires). J’ai essayé de lui faire un « high five », mais il n’était pas très partant, on dirait. Suis-je spirituel ? Non, pas vraiment. Je suis un pragmatique, je crois en la science.

Jouer les vilains dans deux franchises Disney (Dr Strange et Rogue One), est-ce une récréation volontaire après vos rôles psychologiquement éreintants dans La Chasse, Hannibal ou les films de Nicolas Winding Refn ?

Non, c’est beaucoup plus simple. On me propose des projets et, ceux que j’aime, je dis oui. Je ne me dis jamais que mon prochain film doit être comme ci ou comme ça : quel qu’il soit, j’ai juste besoin d’aimer la vision que me propose le réalisateur.

C’est un vrai luxe que peu d’acteurs peuvent s’offrir… Il y a beaucoup de films que j’aurais aimé faire et qu’on ne m’a jamais proposés. Mais sinon, ça fait longtemps que je refuse les rôles que je ne sens pas. Même si c’est la pire chose qui va avec ce métier, rester sans travailler ne m’a jamais fait peur. J’ai commis une fois l’erreur de m’engager dans une aventure qui ne me plaisait pas. Ça ne se passe jamais bien, pour personne. Dans ces situations, on joue mal et ça ne rend pas heureux.


Vous avez d’abord été gymnaste puis danseur professionnel : qu’est-ce qui vous a amené à la comédie ?

C’est un peu surréaliste. Je ne pourrais pas vous dire comment je suis passé de danseur à acteur, j’ai juste été naturellement attiré par l’art dramatique. Ce métier est génial parce qu’il vous offre la possibilité de faire des choses pour lesquelles on doit normalement payer très cher : monter à cheval, apprendre le piano, faire du kung-fu… Il vous donne aussi  la chance de rencontrer tant de monde. Et surtout, on a l’occasion de pénétrer dans l’esprit d’autres personnages et donc d’apprendre sur soi-même.


Tout comme pour les X-Men, par exemple, pensez-vous que Doctor Strange puisse se prêter à une métaphore particulière ?

Si c’était l’objectif du film, alors on s’est planté ! Je ne suis pas certain que, dans un film de divertissement pur, on doive sans cesse se croire obligé de glisser un discours politiquement correct. Pour moi, le politiquement correct, c’est la mort immédiate de toute créativité, quel que soit le genre que vous abordez. Après, je viens d’un pays où le racisme n’est pas un problème aussi important qu’ailleurs…  Mais je pense qu’à moins de l’évoquer subtilement dans un contexte je ne suis pas sûr que d’aborder lourdement une question comme le racisme dans un blockbuster soit toujours heureux. Si vous voulez parler du racisme, faites un film qui aborde vraiment la question de front.

Je veux jouer un zombie !


Donc Doctor Strange, est-ce un divertissement à 100 % ?

Je crois quand même qu’on y trouve une philosophie… Toute cette thématique sur la quête de la vie éternelle, à quoi ressemblerait la vie si on trouvait le secret de l’éternité, c’est une question puissante que tout le monde s’est posée à un moment de son existence.

Être acteur c’est une façon d’être éternel, c’est bien connu.

Ah oui, mais j’espère quand même que le but premier des gens qui font ce métier est l’aptitude à toucher des gens plutôt que d’accéder à l’éternité !

Avec quel autre tournage enchaînerez-vous prochainement ?

Aucun ! En ce moment, je ne fais absolument rien, à part la promotion de Dr Strange. Je ferai ensuite la promotion de Rogue One et puis…. rien . J’ai décidé de faire un break, j’ai besoin de décrocher un peu pour recharger mes batteries, réfléchir à quelle direction prendre. Si on me propose un projet pour lequel j’ai un coup de foudre, j’en serai. Sinon, je ne vais courir après rien de spécial dans les mois qui viennent. Je n’arrête pas le métier, c’est juste une pause qui va me faire beaucoup de bien.

James Bond, Star Wars, Marvel… Vous commencez à collectionner les franchises de pop culture majeures. Laquelle manque encore à votre  palmarès ?

Des zombies ! Je n’en ai encore jamais fait, alors que j’adore les films de zombies. Je pourrais même jouer un zombie !

OM: Eyraud rencontre les supporters et leur a « fait une bonne impression »

Le nouveau président de l'Olympique de Marseille, Jacques-Henri Eyraud, le 21 octobre 2016 au centre d'entraînement de l'OM
Le nouveau président de l’Olympique de Marseille, Jacques-Henri Eyraud, le 21 octobre 2016 au centre d’entraînement de l’OM

Le nouveau président de l’Olympique de Marseille, Jacques-Henri Eyraud, a reçu mardi les représentants des supporters au centre d’entraînement et leur a fait « une bonne impression », ont-ils affirmé à l’AFP.

« Il nous a fait une bonne impression », a expliqué le leader des Dodger’s, Christian Cataldo.

« On ne va pas le juger, ça fait une semaine qu’il est là, a de son côté estimé le chef des Yankee, Michel Tonini. On lui prête de bonnes intentions, nous notre rêve le plus cher que l’OM redevienne l’OM, pour l’instant ce sont des paroles et on va voir si les actes sont en adéquation. »

Eyraud a reçu les représentants des associations de supporters dans le bâtiment du services médias du centre Robert Louis-Dreyfus en fin d’après-midi.

Il a présenté le plan de développement en quatre points de l’OM, basé sur le sportif, le financier, l’osmose avec la ville de Marseille et les supporters.

« On voit qu’il connaît le sujet, a commenté Cataldo. Il nous a tenu un discours direct, franc, et, je crois, sincère. Nous lui avons répondu que nous n’étions ni endormis ni impressionnés. On en a entendu des discours depuis des années, maintenant on veut des actes ».

25/10/2016 20:35:44 – Marseille (AFP) – © 2016 AFP

25 octobre 1854. Charge de la brigade légère par Lord Cardigan : une boucherie inutile.

Le 25 octobre 1854, ils sont 673 cavaliers britanniques à faire face aux canons russes. Une boucherie les attend, mais, comme un seul homme, ils s’élancent à la rencontre d’une mort probable derrière leur chef, le comte de Cardigan. Aussi aveugles que les derniers socialistes restés fidèles à Hollande… C’est ce même Cardigan qui a laissé son nom à une veste de laine fermée sur le devant. La charge de la brigade légère reste l’illustration la plus magnifique de la bravoure imbécile en temps de guerre. Une adorable petite spécialité de nos amis britanniques, qui peuvent compter sur des sold…

Romain-Jerome RJ X Pokémon, attrapez les toutes !

Ce n’est plus un buzz, c’est une déferlante. Après s’être invités sur nos télévisions il y maintenant 20 ans, puis dans les poches et cours de récréations, Pikachu et ses amis Pokémon ont captivé cette été la planète entière, faisant même littéralement exploser le cours en Bourse de Nintendo. Il faut dire qu’en seulement quelques semaines le jeu Pokémon Go est devenu un succès planètaire, au point même d’intégrer les journaux télévisés et discours politiques. Aujourd’hui, après avoir envahi les téléphones portables de jeunes gens connectés et de nostalgeeks, Pikachu compte bien conquérir les poignets des collectionneurs en quête de montres hors des sentiers battus.


© DR

20 ans, 20 pièces… Attrapez-les toutes !

Pour célébrer 20 ans de Pokémon, RJ-Romain Jerome s’est associée avec The Pokémon Company International pour créer une édition limitée de 20 pièces autour de Pikachu. Faisant référence pour la première fois à la culture pop du XXIe siècle, la maison horlogère rend hommage à une icône qui s’est progressivement transformée en phénomène de société ces vingt dernières années.

Avec son grand sourire et sa posture accueillante, symbole du phénomène culturel japonais « Kawaii » qui fait aussi chavirer les plus jeunes que les adultes, le plus connu des Pokémon occupe une place centrale dans cette montre et de son cadran. Placées sur le dessus du cadran, les appliques représentant un éclair et le célèbre Pikachu ont été délicatement peintes à la main en émail à froid jaune. Le bracelet en caoutchouc reprend également le jaune symbolique du Pokémon. Logé dans le boîtier iconique de la marque, Moon Invader, de 46mm en titane, le cadran reflète l’esprit de Pokémon : sur sa plaque de base en DLC noir, un motif gravé en forme d’éclairs, faisant écho au personnage de type « Électrik », a été sablé et satiné pour créer de la profondeur. Au dos, un motif stellaire grainé s’étend sur l’ensemble du bracelet et laisse place à un médaillon Pokémon en acier brossé.


© DR

RJ X Pokémon

Mouvement

Calibre RJ001-A

Mouvement mécanique à remontage automatique

Fréquence : 28,800 vph

Empierrage : 23 rubis

Réserve de marche : 42 heures

Fonctions Heures et minutes centrales

Boîtier

46mm

Titane en PVD noir

Etanchéité : 3 atm (30 mètres)

Fond stellaire grené en PVD noir avec médaillon Pokémon en acier brossé

Vis de sécurité RJ exclusivement accessible aux horlogers

Lunette titane en PVD noir

Cornes dotées de vis de sécurité et de rotules intégrées en téflon pour un ajustement optimal au poignet

Couronne vissée en PVD noir

Cadran

DLC noir satiné et sablé, avec motif en formes d’éclairs gravé

Appliques Pikachu et éclair peintes à la main en émail à froid jaune et logo RJ en émail à froid noir

Aiguilles oxydées noires et satinées avec du Superluminova C1 « blue emission »

Bracelet

Caoutchouc de couleur jaune avec intérieur du bracelet stellaire grené

Boucle déployante en acier PVD noir

Edition limitée 20 pièces. Prix public 20 000 euros.

500 000 euros braqués chez un horloger de luxe rue de la Paix

Ce jeudi, deux hommes ont braqué les bureaux de l’horloger de luxe Girard Perregaux dans la très chic rue de la Paix jeudi en fin d’après-midi, emportant un butin évalué à environ 500 000 euros, a-t-on appris de sources concordantes. Vers 17H00, « deux hommes se sont fait passer pour des coursiers pour se faire ouvrir la porte », a indiqué une source policière. Une fois entrés, ils ont menacé le personnel avec notamment des bombes lacrymogène, selon une autre source policière. Les deux hommes se sont enfuis « avec une dizaine de montres » pour un préjudice « estimé à 500 000 euros », selon une des ces sources. « Il ne s’agit ni de Boucheron ni d’une boutique, mais de bureaux de la maison de haute horlogerie suisse Girard Perregaux », a déclaré un porte-parole du groupe Kering, propriétaire de la maison Girard Perregaux et du joaillier Boucheron, situé dans le même bâtiment. Le porte-parole a ajouté qu’il n’y avait pas de blessé mais n’a pas confirmé le montant du préjudice. La Brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de Paris a été saisie de l’enquête. La police était sur place en début de soirée. Aucun signe du casse n’était visible depuis l’extérieur du bâtiment de la rue de Paix, qui héberge plusieurs marques de luxe.

Sécuritée renforcée dans le quartier

Au mois de mars, deux braqueurs avaient dévalisé, en plein après-midi, une bijouterie Chopard place Vendôme, à deux pas de la rue de la Paix. Ils avaient pénétré dans le magasin à l’heure du déjeuner et, sous la menace d’un pistolet et d’une grenade, étaient repartis avec un butin indéterminé. Une autre boutique de la célèbre marque parisienne avait déjà été victime d’un vol similaire au mois de décembre non loin de l’Élysée. Le quartier avait vu sa sécurité renforcée après qu’en 2014, plusieurs bijouteries de luxe de la place parisienne, où se trouve également le ministère de la Justice, ont été victimes de braquages, brutaux et risqués. Attaque à la voiture bélier, aficionados du « smash and grab » (saisis et fracasse en anglais, NDLR) armés de haches et de masses … La place Vendôme avait alors vécu des heures sombres avec cinq vols à main armée en moins de sept mois, tous en journée, pour des préjudices oscillant entre 420 000 et deux millions d’euros. Le braquage de jeudi intervient une quinzaine de jours après celui de la star de la téléréalité Kim Kardashian qui, en pleine nuit, s’est fait braquer par cinq hommes dans une résidence hôtelière de luxe située à quelques mètres de là. Les voleurs sont repartis avec 9 millions d’euros en bijoux.

Yémen: nouvelle trêve avec plus de chances de tenir

Des Yéménites remplissent des jerricans d'eau le 18 octobre 2016 dans le port d'Hodeidah
Des Yéménites remplissent des jerricans d’eau le 18 octobre 2016 dans le port d’Hodeidah

Un cessez-le-feu de 72 heures renouvelable doit entrer en vigueur mercredi à minuit au Yémen où les belligérants, sous pression, semblent plus disposés à des compromis pour mettre fin à la guerre qui dure depuis 18 mois.

Annoncée lundi par l’ONU, cette trêve intervient dans un contexte d’enlisement du conflit qui a fait 6.900 morts, 35.000 blessés, déplacé trois millions de personnes et dévasté l’économie d’un pays considéré avant même les hostilités comme le plus pauvre de la péninsule Arabique.

La guerre actuelle oppose depuis mars 2015 le gouvernement yéménite, reconnu internationalement et soutenu par une coalition militaire arabe sous commandement saoudien, à des rebelles chiites Houthis, accusés de liens avec l’Iran et qui contrôlent la capitale Sanaa et de vastes régions du nord, de l’ouest et du centre.

Cette sixième tentative de cessez-le-feu, sous l’égide de l’ONU, suit une escalade marquée par une énorme bavure de l’aviation de la coalition menée par Ryad, qui a coûté la vie, le 8 octobre à Sanaa, à 140 personnes et blessé 525 autres.

Le conflit a connu un autre développement majeur: des tirs de missiles contre des navires de l’US Navy en mer Rouge et une riposte américaine contre des batteries de radar situées en zone contrôlée par les rebelles.

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry, le chef de la diplomatie britannique Boris Johnson et l'envoyé spécial de l'ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, le 16 octobre 2016 à Londres © JUSTIN TALLIS POOL/AFP/ArchivesLe secrétaire d'Etat américain John Kerry, le chef de la diplomatie britannique Boris Johnson et l'envoyé spécial de l'ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, le 16 octobre 2016 à Londres © JUSTIN TALLIS POOL/AFP/Archives
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry, le chef de la diplomatie britannique Boris Johnson et l’envoyé spécial de l’ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, le 16 octobre 2016 à Londres © JUSTIN TALLIS POOL/AFP/Archives

Dans ce contexte, la communauté internationale –Washington en tête– a multiplié les pressions sur les belligérants: le gouvernement du président Abd Rabbo Mansour Hadi, soutenu par la coalition de pays arabo-sunnites, et les rebelles Houthis pro-iraniens, alliés aux forces de l’ex-chef d’Etat Ali Abdallah Saleh.

Mardi, le secrétaire d’Etat américain John Kerry a demandé non seulement le respect de la trêve, censée entrer en vigueur mercredi à 23H59 au Yémen (20H59 GMT), mais aussi son renouvellement sans conditions. « Nous demandons à toutes les parties de prendre toutes les mesures nécessaires pour la mise en oeuvre de cette cessation (des hostilités), nous leur demandons de la faire durer et nous encourageons fermement son renouvellement sans conditions », a-t-il déclaré.

– « Fin de l’agression » –

Mais le gouvernement de M. Hadi a posé comme conditions la mise en place d’un comité d’observation de la trêve, la fin du siège de Taëz, grande ville du sud-ouest encerclée par les rebelles, et la distribution sans entraves de l’aide humanitaire.

Les rebelles se sont dits prêts à « un cessez-le-feu durable, global et sans conditions, qui garantira la fin de l’agression (…), et la levée du blocus imposé » par la coalition.

Des secouristes yéménites transportent un corps après des frappes attribuées à la coalition arabe à Sanaa, le 8 octobre 2016 © MOHAMMED HUWAIS AFPDes secouristes yéménites transportent un corps après des frappes attribuées à la coalition arabe à Sanaa, le 8 octobre 2016 © MOHAMMED HUWAIS AFP
Des secouristes yéménites transportent un corps après des frappes attribuées à la coalition arabe à Sanaa, le 8 octobre 2016 © MOHAMMED HUWAIS AFP

Les chances d’une trêve durable semblent réelles, souligne l’analyste Mustafa Alani.

« Je suis plus optimiste car l’environnement est complètement différent » de celui de la dernière trêve avortée d’avril dernier, dit-il à l’AFP.

Et d’expliquer que « les grandes puissances sont impliquées cette fois avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne qui exercent des pressions sur les parties ».

« En même temps, (les belligérants) sont épuisés en raison du coût humain et financier du conflit. Les parties pensent qu’elles ne peuvent plus le gagner militairement », poursuit ce spécialiste des questions de sécurité au Gulf Research Center basé à Genève.

– Paix possible –

M. Kerry a souligné que la trêve est essentielle pour la relance des efforts de paix.

« Nous continuerons à travailler avec toutes les parties afin de conclure un règlement négocié », a plaidé le responsable américain, dont le pays est l’allié de l’Arabie saoudite mais qui la critique sur les victimes civiles de la guerre au Yémen.

Pour M. Alani, une possibilité de compromis existe autour de la résolution 2216 (avril 2015) du Conseil de sécurité de l’ONU.

Ce texte, accepté par le président Hadi, engage les rebelles à se retirer des zones qu’ils ont prises, à remettre les armes et à commencer des discussions politiques. Les Houthis insistent quant à eux sur un dialogue politique sans conditions.

Si les rebelles ne peuvent pas accepter la résolution 2216 en l’état, ils peuvent, selon M. Alani, le faire en tenant compte de la proposition faite par M. Kerry fin août, qui consiste à reprendre les pourparlers de paix sur la base de la formation d’un gouvernement d’union nationale.

19/10/2016 11:10:45 – Aden (AFP) – © 2016 AFP

Dopage et corruption dans l’athlétisme: 1re incarcération dans l’enquête en France

Lamine Diack, alors président de l'IAAF, face aux reporters à Pékin, le 21 août 2015
Lamine Diack, alors président de l’IAAF, face aux reporters à Pékin, le 21 août 2015

La justice française a ordonné une première incarcération dans l’enquête sur des soupçons de corruption pour masquer des cas de dopage chez des athlètes russes, en visant Habib Cissé, ex-conseiller de l’ancien patron de l’athlétisme mondial Lamine Diack.

Officiellement conseiller juridique de celui qui présida l’IAAF (Fédération internationale d’athlétisme) pendant quinze ans, Habib Cissé avait été mis en examen pour corruption début novembre 2015, tout comme Lamine Diack et le médecin français Gabriel Dollé, chargé jusqu’à la fin 2014 de la lutte antidopage à l’IAAF.

Il s’agit de la première incarcération dans ce dossier, ordonnée la semaine dernière par un juge des libertés et de la détention, à la demande des juges d’instruction, a dit à l’AFP une source proche de l’enquête. Le parquet national financier n’a fait aucun commentaire.

« Cette décision est invraisemblable et injustifiée », ont réagi les avocats d’Habib Cissé, Me Louis-Marie de Roux et Cédric Labrousse, contactés par l’AFP. Ils ont fait appel.

Les avocats n’ont fait aucun autre commentaire sur les motifs qui ont poussé la justice à ordonner ce placement en détention provisoire.

A la tête de l’IAAF, où il a régné de 1999 à 2015, Lamine Diack est soupçonné d’avoir fermé les yeux sur des cas de dopage d’athlètes en Russie pour leur permettre de participer aux jeux Olympiques de Londres 2012, en échange de fonds.

Les enquêteurs soupçonnent Habib Cissé, 44 ans, avocat de profession, d’avoir joué un rôle-clé. Devenu fin 2011 l’homme de l’IAAF chargé du suivi des passeports biologiques (documents contenant l’historique des contrôles) des athlètes russes, il s’était fait remettre une liste de sportifs soupçonnés de dopage, soit 23 noms.

Il s’est alors rendu plusieurs fois à Moscou et les enquêteurs le soupçonnent d’avoir été missionné par Lamine Diack pour trouver des arrangements avec la fédération russe d’athlétisme.

– Le fils Diack toujours pas entendu –

« Je n’ai jamais été au courant d’un pacte de corruption », avait répondu Habib Cissé le 3 novembre 2015, dans le bureau des juges d’instruction, selon une source proche du dossier.

En garde à vue, Lamine Diack, aujourd’hui 82 ans, s’était montré plus bavard et avait donné une tournure politique au dossier. Il avait expliqué que Moscou, via le président d’alors de sa fédération d’athlétisme, Valentin Balakhnichev, également trésorier de l’IAAF à l’époque, lui avait apporté une contribution de 1,5 million d’euros. Une somme « distribuée à des associations et des sphères d’influence » pour contribuer à éviter une réélection à un troisième mandat d’Abdoulaye Wade à la présidentielle de 2012 au Sénégal, toujours selon les déclarations de Lamine Diack.

Les enquêteurs soupçonnent également Habib Cissé d’être intervenu dans une transaction entre la fédération russe d’athlétisme et l’athlète Liliya Shobukhova, qui avait dû verser 450.000 euros de pots-de-vin pour pouvoir participer aux JO de Londres et éviter des sanctions pour dopage.

C’est notamment le cas Shobukhova qui a permis de faire éclater l’affaire. Car l’athlète avait finalement été sanctionnée pour dopage en 2014 et s’était vu restituer une partie des sommes versées, soit 300.000 euros.

Grâce à l’athlète, les enquêteurs ont la trace de ce virement. Or, il provient de la société Black Tidings, dirigée par un proche de Papa Massata Diack, alias « PMD », le fils de Lamine Diack engagé par son père comme consultant marketing à l’IAAF.

Omniprésent dans les investigations, « Papa Massata Diack est au coeur de ce dossier », selon une source proche de l’enquête. Mais le juge d’instruction Renaud van Ruymbeke, qui a lancé un mandat d’arrêt international à son encontre, n’a jamais pu l’entendre. « PMD » réside au Sénégal et Dakar a déjà fait savoir qu’il ne l’extraderait pas.

A la suite d’autres révélations sur un système de dopage institutionnalisé en Russie, le pays a été privé de 113 sportifs pour les jeux Olympiques de Rio, l’été dernier, dont la quasi-totalité de sa sélection d’athlétisme (67 sur 68). La Russie a également été suspendue de toute participation aux Jeux paralympiques.

18/10/2016 20:53:46 – Paris (AFP) – © 2016 AFP

Rugby: le Racing attendra, l’UBB gros bras, Toulon dans de sales draps

Des piquets sont enlevés autour du terrain de rugby du stade Yves du Manoir à Colombes après le report du match Racing 92-Munster en raison de la mort d'un des entraîneurs du Munster, le 16 octobre 2016
Des piquets sont enlevés autour du terrain de rugby du stade Yves du Manoir à Colombes après le report du match Racing 92-Munster en raison de la mort d’un des entraîneurs du Munster, le 16 octobre 2016

Toulon a déjà hypothéqué ses chances de qualification en Coupe d’Europe intactes pour Bordeaux-Bègles, probant vainqueur dimanche de l’Ulster lors d’une 1re journée marquée par le soudain décès d’Anthony Foley, un des entraîneurs du Munster dont le match contre le Racing 92 a été reporté.

Poule 1. La soudaine et tragique mort dans la nuit de samedi à dimanche à 42 ans d’Anthony Foley, un des entraîneurs du Munster et légende vivante du rugby irlandais, a poussé l’organisateur de la Coupe d’Europe à reporter à une date encore inconnue le match entre le Racing 92 et la province irlandaise, prévu dimanche après-midi à Colombes (région parisienne). Vendredi, les Glasgow Warriors avaient montré les muscles d’entrée en corrigeant (42-13) Leicester, demi-finaliste la saison passée, empochant un précieux point de bonus offensif dans cette poule dense.

Vendredi

Glasgow (SCO) (bo) – Leicester (ENG) 42 – 13

Reporté: Racing 92 (FRA) – Munster (IRL)

Prochaine journée

Samedi

(14h00) Munster (NIR) – Glasgow (SCO)

Dimanche

(16h15)

Leicester (ENG) – Racing 92 (FRA)

Poule 2. Dans cette poule où les Wasps ont assumé leur statut de grand favori en laminant les Italiens de Zebre (82-14), le Stade Toulousain a gâché une belle occasion de coller aux talons des Anglais en s’inclinant (21-23) sur le terrain des Irlandais du Connacht alors que la victoire lui tendait les bras (21-11 peu avant les vingt dernières minutes). Les Rouge et Noir devront absolument battre les Wasps dimanche prochain à domicile, si possible avec le point de bonus offensif et/ou en empêchant les Anglais de prendre un point de bonus, pour ne pas sérieusement compliquer leur qualification pour une phase finale non fréquentée ces deux dernières saisons. Sans doute via un des trois billets de meilleurs deuxièmes.

Samedi

Connacht (IRL) – Stade Toulousain (FRA) (bd) 23 – 21

Wasps (ENG) (bo) – Zebre (ITA) 82 – 14

Prochaine journée

Dimanche

(16h15): Stade Toulousain (FRA) – Wasps (ENG)

Zebre (ITA) – Connacht (IRL)

Poule 3. La première place semble s’être déjà envolée pour Toulon, battu à domicile (23-31) par les Saracens, tenants du titre, sans prendre le point de bonus défensif, perdu dans les derniers instants. Le RCT, triple vainqueur de l’épreuve (2013, 2014 et 2015) devra sauf écroulement des « Sarries » se contenter de viser une des trois places de meilleurs deuxièmes. Et pour l’obtenir, il lui faudra réaliser un sans faute (donc gagner sur le terrain des Saracens), ou alors vaincre à quatre reprises avec le maximum de points de bonus offensifs. Une mission difficile, mais pas hors de portée des Varois, les Scarlets et Sale étant des adversaires dans leurs cordes. Dans cette optique, le succès des Gallois sur les Anglais (28-11), sans qu’aucune des deux équipes ne prenne de point de bonus, est une bonne nouvelle pour Toulon.

Samedi

Llanelli Scarlets (WAL) – Sale (ENG) 28 – 11

Toulon (FRA) – Saracens (ENG) 23 – 31

Prochaine journée

Vendredi

(20h45) Sale (ENG) – Toulon (FRA)

Samedi

(18h30) Saracens (ENG) – Llanelli Scarlets (WAL)

Poule 4. Comme Toulouse, Montpellier a manqué une belle occasion de marquer les esprits en s’inclinant à Northampton (14-16), où évolue Louis Picamoles, sur une pénalité après la sirène de Stephen Myler. D’autant que dans le même temps, le Leinster a gagné avec le point de bonus offensif contre Castres (33-15). Les deux clubs français devront absolument gagner le week-end prochain à domicile pour ne pas dire adieu à la phase finale, et si possible en prenant un point de bonus offensif et/ou en privant leur adversaire de point de bonus. Ce sera le Leinster pour le MHR, Northampton pour Castres.

Samedi:

Northampton (ENG) – Montpellier (FRA) (bd) 16 – 14

Leinster (IRL) (bo) – Castres (FRA) 33 – 15

Prochaine journée

Samedi

(16h15) Castres (FRA) – Northampton (ENG)

Dimanche

Les joueurs de Bordeaux-Bègles se congratulent après un essai face à l'Ulster, le 16 octobre 2016 au stade Chaban-Delmas © NICOLAS TUCAT AFPLes joueurs de Bordeaux-Bègles se congratulent après un essai face à l'Ulster, le 16 octobre 2016 au stade Chaban-Delmas © NICOLAS TUCAT AFP
Les joueurs de Bordeaux-Bègles se congratulent après un essai face à l’Ulster, le 16 octobre 2016 au stade Chaban-Delmas © NICOLAS TUCAT AFP

(14h00) Montpellier (FRA) – Leinster (IRL)

Poule 5. En attendant Exeter-Clermont dimanche (18h30 françaises), Bordeaux-Bègles a réalisé un gros coup dimanche dans cette poule a priori serrée en battant sur le fil l’Ulster (28-13), renversée par trois essais dans les cinq dernières minutes. Si elle n’a pas pris le point de bonus offensif, l’UBB a privé à la sirène les Nord-Irlandais du point de bonus défensif, et a soigné sa différence particulière. Cela pourrait peser lourd au moment du décompte final.

Prochaine journée

Samedi

(16H15) Clermont (FRA) – Bordeaux-Bègles (FRA)

(20H45) Ulster (IRL) – Exeter (ENG)

16/10/2016 16:36:03 – Paris (AFP) – © 2016 AFP