L’activité a repris mercredi soir au port du Havre, le deuxième de France, bloqué toute la journée par une grève surprise de la CGT pour protester contre l’interpellation dans la matinée de deux dockers, poursuivis pour des violences lors d’une manifestation parisienne.
Les deux dockers « ont été relâchés vers 19H15 après toute une journée de garde à vue à Paris et le mouvement a été suspendu », a affirmé à l’AFP le secrétaire général adjoint de la fédération CGT des ports et docks Anthony Tétard.
Les deux dockers ont reçu à la fin de leur garde à vue une convocation pour le 25 novembre au tribunal correctionnel de Paris pour « violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique », a indiqué à l’AFP une source judiciaire.
L’interpellation des deux dockers, à leur domicile havrais, par des policiers parisiens, a été vécue par la CGT, syndicat unique des dockers, comme une provocation, survenant le jour de la venue de son secrétaire général, Philippe Martinez, dans la cité portuaire.
Dès que la nouvelle de l’interpellation a été connue, les dockers et ouvriers portuaires ont cessé le travail, stoppant de facto l’activité du port.
Les porte-conteneurs déjà dans le port ont cessé d’être chargés ou déchargés, et ceux qui arrivaient ont été détournés vers d’autres ports.
La liaison matinale du ferry Le Havre-Portsmouth a été supprimée mais celle de 17H00 a eu lieu. Un paquebot qui avait fait escale au Havre a pu appareiller dans la soirée.
En plus des arrêts de travail des dockers ont fait brûler des pneus en différents endroits de la ville, notamment devant le siège du Grand port maritime du Havre (GPMH).
– ‘Scandaleux’ –
Cette action de la CGT est une réponse de grande ampleur à l’interpellation des deux dockers havrais pour des violences commises le 14 juin à Paris, au cours de la manifestation nationale contre la loi travail de la ministre Myriam El Khomri.
« Le gouvernement joue la terreur et nous résistons », a tweeté la centrale syndicale.
« C’est proprement scandaleux », a réagi M. Martinez sur France 3 Normandie, qualifiant l’interpellation d' »attitude revancharde ».
« Ce n’est pas un hasard, je pense, si mes camarades ont été interpellés ce matin alors que tout le monde savait qu’il y avait une assemblée générale de rentrée de l’Union départementale (de Seine-Maritime, NDLR) et que j’y participais », a ajouté le leader cégétiste.
Parmi les deux personnes interpellées figure un militant CGT de 33 ans, jugé par le tribunal correctionnel de Paris le 27 juillet pour des faits de violences.
Le docker avait été relaxé pour des faits de jets de projectiles sur les forces de l’ordre mais condamné à un mois d’emprisonnement avec sursis pour s’être rebellé lors de son interpellation, le 14 juin.
Le Havre avait été surnommée par certains « capitale de la grève » pendant la série de mouvements sociaux du printemps contre la loi travail, les dockers CGT étant souvent à la pointe des actions.
Mais les milieux économiques ont déploré les pertes importantes subies par les entreprises industrielles et pétrolières et par le port lui-même qui a perdu des clients aussi bien pour le transport de marchandises, que pour les paquebots de tourisme.
Le président de l’Union maritime et portuaire (UMEP) Michel Segain, représentant les entreprises maritimes présentes sur les terminaux, avait eu des mots assez durs contre la CGT.
Il avait sollicité une entrevue avec M. Martinez mais ce dernier a refusé.
Les Etats-Unis ont affirmé mardi avoir obtenu de leurs deux alliés, la Turquie et les milices kurdes impliquées dans des combats dans le nord de la Syrie, une cessation des hostilités mais Ankara n’a pas confirmé.
Des combattants syriens soutenus par des groupes kurdes ont confirmé l’arrêt des hostilités avec l’armée turque mais les forces kurdes syriennes n’ont pas réagi directement aux déclarations américaines.
« Ces dernières heures, nous avons reçu l’assurance que toutes les parties impliquées vont arrêter de se tirer dessus et se concentrer sur la menace du groupe Etat islamique », a indiqué mardi à l’AFP le colonel John Thomas, porte-parole du Centcom, le commandement militaire américain au Moyen-Orient.
Un chef de l’EI a été visé mardi au nord-est d’Alep en Syrie par une frappe de la coalition internationale, a annoncé un responsable américain, sans préciser s’il s’agissait du porte-parole des jihadistes, Abou Mohammed al-Adnani, donné pour mort par l’EI plus tôt dans la journée.
« Les Turcs et les Forces démocratiques syriennes (coalition arabo-kurde dominée par les milices kurdes) ont ouvert des canaux de discussion avec nous et entre eux dans le but de limiter les hostilités », a-t-il ajouté en évoquant un accord de principe « pour au moins les deux prochains jours ».
Les Etats-Unis et la France ont exprimé leurs craintes d’un embrasement de la région depuis l’intervention de la Turquie dans le nord de la Syrie en guerre.
La Turquie a lancé il y a une semaine l’opération « Bouclier de l’Euphrate », visant à la fois les combattants kurdes et les jihadistes de l’EI.
Ankara affirme que cette opération sans précédent vise à débarrasser la frontière à la fois du groupe extrémiste et des milices kurdes YPG (Unités de protection du peuple kurde), qu’elle considère comme une organisation « terroriste ».
Mais depuis mercredi, date de la reprise facile à l’EI de la localité syrienne de Jarablos (nord) par des rebelles syriens soutenus par Ankara, les efforts de la Turquie se sont majoritairement portés sur les YPG.
– Refus de ‘l’occupation turque’ –
Des combats violents ont fait des dizaines de morts parmi les milices kurdes et leurs alliés. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), une ONG qui s’appuie sur un large réseau de sources en Syrie, a affirmé qu’au moins 40 civils étaient morts dans des bombardements turcs.
La Turquie, en conflit avec les Kurdes sur son propre territoire, veut éviter que les Kurdes syriens ne forment une région continue autonome le long de sa frontière.
Mais les Kurdes syriens sont par ailleurs les alliés les plus efficaces des Etats-Unis et de la coalition internationale contre l’EI.
« Un accord a été conclu entre nous et l’Etat turc par l’intermédiaire des Etats-Unis et la coalition internationale antijihadistes pour l’arrêt des hostilités », a indiqué à l’AFP par téléphone Ali Hajou, porte-parole du « Conseil militaire de Jarablos », un groupe de combattants syriens soutenus par la coalition arabo-kurde des Forces démocratiques syriennes (FDS).
Selon lui, « l’accord, d’une durée indéterminée, est entré en vigueur lundi à 24H00 locales (21H00 GMT) ».
« Les négociations se poursuivent toutefois avec les Turcs par l’intermédiaire des Etats-Unis car nous refusons que la Turquie occupe nos terres », a-t-il ajouté.
– Risque d’embrasement généralisé –
Ankara qui ne confirme pas l’annonce américaine d’arrêt des hostilités, a de son côté réitéré sa demande de retrait des combattants kurdes à l’est du fleuve Euphrate.
« Notre allié, les Etats-Unis, nous a affirmé avant le début de l’opération pour chasser Daech (acronyme arabe de l’EI) de Minbej (ville du nord de la Syrie), que les éléments du PYD/YPG (ndlr: Parti de l’Union démocratique/Unités de protection du peuple) ne resteront pas à l’ouest de l’Euphrate et nous attendons que cet engagement soit respecté le plus tôt possible », a indiqué le ministère des Affaires étrangères turc dans un communiqué en soirée.
A Paris, le président français François Hollande a mis en garde mardi contre les « risques d’embrasement général » en Syrie avec les « interventions multiples » de la Turquie et de la Russie.
Le président américain Barack Obama doit de son côté rencontrer dimanche son homologue turc Recep Tayyip Erdogan pour évoquer la situation en Syrie, en marge d’un sommet du G20 en Chine.
La Syrie est ravagée depuis 2011 par une guerre qui a fait plus de 290.000 morts.
Un prêtre catholique a été blessé dimanche par un homme qui a tenté sans succès de faire exploser une bombe dans une église de Sumatra, en Indonésie, a annoncé la police locale.
Albert Pandiangan célébrait la messe dans la ville de Medan, à l’ouest du pays, quand un jeune homme s’est approché de lui et l’a blessé au couteau au bras gauche, a déclaré Nur Fallah, un responsable de la police locale, qui a précisé que l’homme était muni d’une bombe artisanale.
« Quelqu’un a tenté de tuer le prêtre en faisant croire qu’il venait assister à la messe et a tenté de faire exploser quelque chose, comme un pétard, mais le pétard n’a pas explosé, il a juste libéré de la fumée », a-t-il dit aux journalistes.
Le prêtre a été hospitalisé pour des blessures légères.
Une photo de la carte d’identité du suspect a circulé sur les réseaux sociaux. Il est inscrit sur cette carte qu’il est musulman. Une enquête a été ouverte pour tenter notamment de comprendre les motifs de l’assaillant.
Pays qui compte la plus importante communauté musulmane au monde, l’Indonésie a été le théâtre ces dernières années de nombreux attentats.
Quatre civils avaient été tués en janvier dans une attaque revendiquée par le groupe Etat islamique, dans le centre de Jakarta.
Inquiétudes pour les attaquants lyonnais Alexandre Lacazette et Nabil Fekir: le premier, touché au genou gauche, a dû céder sa place prématurément lors de la défaite à Dijon (4-2), tandis que le second pourrait subir une légère intervention au genou droit lundi, selon le président Jean-Michel Aulas.
Rappelés tous les deux en équipe de France par Didier Deschamps, pour le match amical en Italie le 1er septembre et, surtout, la rencontre au Belarus, le 6, pour le coup d’envoi des qualifications au Mondial-2018, ils ont de fortes chances de devoir déclarer forfait, alors que le rassemblement à Clairefontaine est prévu lundi à la mi-journée.
Pour Lacazette, qui a reçu un coup derrière le genou gauche, aucun risque n’a été pris par le staff lyonnais. Le joueur, sorti en marchant après avoir été examiné quelques minutes par le médecin, a été remplacé par Mathieu Valbuena.
« Je suis inquiet. Quand un joueur sort avant la mi-temps, c’est toujours inquiétant », avait déclaré l’entraîneur lyonnais Bruno Genesio, interrogé par Canal+ à la mi-temps. Si « on n’en sait pas plus » à ce stade, Genesio évoquait tout de même une « torsion du genou ».
Le joueur s’était voulu lui plus rassurant. « Il y a une petite douleur, j’ai préféré ne pas prendre de risques ». Faut-il s’inquiéter d’un possible forfait avec les Bleus? « Je ne pense pas », a-t-il répondu.
Avant de se blesser, Lacazette avait redonné l’avantage à son équipe d’une frappe du gauche à l’entrée de la surface (2-1, 37e). Son sixième but en trois journées (meilleur buteur du Championnat).
« Il devrait passer des examens complémentaires lundi », a de son côté déclaré Jean-Michel Aulas.
Face à la presse, le président de l’OL n’a pas non plus été porteur de bonnes nouvelles pour Nabil Fekir, expliquant que l’attaquant gaucher pourrait subir une légère intervention chirurgicale lundi.
« Nous savions qu’il pouvait y avoir un risque d’une petite intervention chirurgicale consistant à nettoyer son articulation. Nous allons regarder avec le chirurgien, le docteur Bertrand Sonnery-Cottet. Il m’avait prévenu qu’il n’était pas impossible de devoir pratiquer une intervention, dès lundi. Nous prendrons une décision dimanche », a-t-il dit.
C’est le genou droit, meurtri il y a un an, qui est concerné. Le 4 septembre 2015, il avait été victime d’une rupture du ligament croisé latéro-interne, d’une lésion du ligament latéral interne et d’une lésion du ménisque interne du genou droit, lors d’une rencontre amicale face au Portugal (1-0) à Lisbonne. Il avait été opéré et était resté indisponible pendant huit mois
Les négociations entre les éleveurs et le groupe Lactalis sur le prix du lait ont échoué dans la nuit de jeudi à vendredi, au terme de près de onze heures de pourparlers, les manifestants à Laval promettant « de poursuivre » le blocus de l’usine du géant laitier, accusé de pratiquer des prix trop faibles.
Le mouvement, qui a débuté lundi soir, « se poursuit. On ne sortira qu’avec une victoire », a assuré le président de la FDSEA de Mayenne, Philippe Jéhan, quelques minutes après l’annonce de l’échec des discussions entre les représentants des producteurs de lait et ceux du groupe agro-alimentaire Lactalis.
La réunion qui se tenait à la Maison du Lait à Paris, s’est terminée par un constat d’échec dressé par le médiateur des relations commerciales Francis Amand.
« Je suis très déçu sur la méthode, j’ai eu l’impression que les représentants des organisations de producteurs n’étaient pas en capacité de prendre des positions et qu’elles leur étaient dictées depuis Laval. On repart à zéro, il n’y a plus de médiation possible dans ce cadre-là », a-t-il déclaré à la presse.
M. Amand a précisé qu’il avait fait une « proposition de la dernière chance à 280 euros les mille litres » pour les cinq derniers mois de 2016, une offre qu’avait acceptée Lactalis, critiqué par la Fédération des producteurs de lait pour le faible prix offert aux éleveurs.
A 256,90 euros la tonne achetée en juillet, Lactalis se trouvait effectivement loin derrière le groupe Laïta et la société Silav (290 euros la tonne) ou encore la laiterie Saint-Père, filiale d’Intermarché, qui rémunère les éleveurs 300 euros les 1.000 litres.
Avant les pourparlers avec Lactalis, les producteurs réclamaient « une visibilité jusqu’à la fin de l’année et un engagement écrit sur une nouvelle méthode de fixation du prix du lait », avait expliqué Florent Renaudier, producteur de lait en Mayenne et membre du conseil d’administration de la FNPL, la branche laitière de la FNSEA.
« Mais les représentants des producteurs ont considéré que ce (la dernière proposition à 280 euros) n’était pas suffisant », a souligné le médiateur.
Le porte-parole de Lactalis Michel Nalet a dénoncé de son côté le rôle du syndicat agricole FNSEA qui a, selon lui, « poussé un certain nombre d’organisations de producteurs à ne pas prendre de décisions. Elle devra en assumer les conséquences ». Il n’a pas donné de détails, précisant uniquement que le groupe tiendrait une réunion vendredi pour en discuter.
Pour sa part, Sébastien Amand (qui n’est pas apparenté au médiateur, ndlr), vice-président de l’organisation de producteurs de lait de la Manche, a estimé qu’il y a « encore un espace de discussion possible dans les heures ou les jours qui suivent ».
– ‘Vivre de notre métier’ –
Tard dans la soirée près de 1.000 personnes s’étaient rassemblées sur le rond-point de la « honte du lait » entourées de près de 150 tracteurs.
Peu avant 03H00, vendredi, ils n’étaient plus qu’une trentaine d’agriculteurs à occuper dans le calme ce rond-point, entourés par trentaine de tracteurs. Une dizaine de CRS étaient a proximité, a constaté une journaliste de l’AFP.
« On ne partira pas, il faudra que Lactalis cède », a affirmé le président des Jeunes agriculteurs (JA) de Mayenne, Jérémy Trémeau.
Selon M. Jéhan, des tours de garde sont d’ores et déjà prévus jusqu’à lundi. Et s’il faut boucler (les tours de garde NDLR) la semaine d’après, on la bouclera », a-t-il affirmé.
« On est déçus. Avec des personnes comme ça (de Lactalis NDLR), on ne peut pas négocier. Il faut rester solidaires et se mobiliser », a confié dans la nuit Florian, un jeune Mayennais installé depuis six mois dans son exploitation.
« Nous ne voulons pas être des assistés de l’État, nous voulons gagner un salaire correct avec un prix du lait correct », avait expliqué dans la journée Sylvie, une agricultrice de la Sarthe en contrat avec le groupe Bel (Vache qui rit).
L’été dernier, les tables rondes s’étaient succédé pendant des semaines au ministère de l’Agriculture avant de parvenir à un accord sur les prix de la viande et du lait. Ce dernier n’a jamais été appliqué.
Un producteur sur cinq en France travaille pour Lactalis soit 20% de la collecte française, ou 5 milliards de litres de lait collectés sur un total de 25 milliards produits annuellement en France.
Outre des marques très connues en France (Lactel, Bridel, Président, Lanquetot, Roquefort Société…), Lactalis est devenu un géant mondial en absorbant de nombreux groupes à l’étranger. Il est notamment présent en Italie depuis 2011 et son OPA hostile sur Parmalat, en Turquie et en Inde.
La police brésilienne a déclaré mardi détenir des preuves contre le président du comité irlandais olympique (OCI), Patrick Hickey, 71 ans, arrêté et écroué préventivement à Rio pour revente illégale de billets pour les Jeux Rio-2016.
« L’analyse des mails confirme que le président du OCI, Patrick Hickey, était en contact direct avec Marcus Evans, le directeur de THG (entreprise criminelle, ndlr) pour la vente de billets à des prix très supérieurs au prix officiel », a déclaré l’inspecteur Ricardo Barbosa de Souza lors d’une conférence de presse.
Le 15 août, date de l’arrestation de M. Hickey, la police avait lancé quatre mandats d’arrêt, dont un contre le Britannique Marcus Evans, président du club de football d’Ipswich (2e div. anglaise) et directeur de THG.
« L’OCI recommandait THG pour la vente de billets au public irlandais. Sauf que THG n’a pas été homologué par le comité organisateur. Donc une autre entreprise a été créée, la Pro 10 », a expliqué M. Barbosa dans les locaux de la Cité de la police.
« Patrick Hickey et Kevin James Mallon sont à la prison de Bangu 10, en détention préventive. Nous avons 7 fugitifs dont Marcus Evans, le grand mentor du système, qui contrôle THG. Et nous avons confisqué les passeports de trois personnes », a indiqué quant à lui Aloysio Falcão, commissaire de la Police civile de Rio.
Dimanche, jour de la clôture des JO de Rio, la police avait perquisitionné les locaux du Comité olympique irlandais. Kevin Kilty, chef de mission de la délégation irlandaise, Dermot Henihan et Stephen Martin s’étaient vus confisquer leurs passeports pour les empêcher de quitter le pays.
M.Henihan a été interrogé mardi à la Cité de la police. Kevin Kitly et Stephen Martin seront interrogés jeudi.
L’affaire a débuté le 5 août, jour de l’ouverture des JO, avec l’arrestation par la police brésilienne de l’Irlandais Kevin James Mallon et de dix Brésiliens qui écoulaient des sésames olympiques achetés avec des cartes de crédit piratées.
M. Mallon est l’un des dirigeants de l’entreprise THG Sports, qui était autorisée à revendre des billets pour les JO de Londres-2012 et Sotchi-2014, mais pas pour ceux de Rio-2016.
Le trafic a généré une recette « d’au moins 10 millions de réais (2,8 millions d’euros). La valeur faciale des tickets saisis est de 626.000 réais, mais ils étaient revendus jusqu’à 30 fois leur prix », avait indiqué Ricardo Barbosa, de l’unité anti-fraudes de la police de Rio.
Les forces spéciales irakiennes ont lancé mardi une opération pour reprendre aux jihadistes la ville de Qayyarah, une position clé en vue de la bataille de Mossoul plus au nord, principal bastion du groupe Etat islamique en Irak, ont indiqué des sources militaires.
Qayyarah se situe sur la rive ouest du Tigre, à une soixantaine de kilomètres au sud de Mossoul, dernière grande ville aux mains de l’EI en Irak.
« L’opération a débuté à l’aube avec la participation des services du contre-terrorisme (CTS) et des forces armées », a déclaré à l’AFP le général Firas Bachar, porte-parole du commandement des opérations dans la province de Ninive, où se situent Qayyarah et Mossoul.
L’offensive a également bénéficié du soutien de la coalition internationale sous commandement américain, a-t-il ajouté.
« L’opération est en cours et atteint actuellement ses objectifs », a déclaré à l’AFP Sabah al-Nomane, porte-parole du CTS. « Qayyarah sera nettoyée et l’opération rapidement terminée, ce qui renforcera nos plans (…) pour la bataille finale visant à libérer Mossoul. »
M. Nomane a également précisé que des habitants armés à l’intérieur de la ville avaient collaboré avec les forces irakiennes dans le cadre de cette offensive, un événement rare.
Au cours des dernières semaines, les forces irakiennes ont renforcé leurs positions autour de Qayyarah, qui devrait servir de base stratégique pour la bataille de Mossoul prévue dans les semaines ou mois à venir.
Selon le maire de Qayyarah, Saleh al-Joubouri, quelque 15.000 civils seraient pris au piège de l’EI dans la région de Qayyarah.
« Nous prévoyons de fournir des produits alimentaires et médicaux à ceux qui sont encore chez eux et ne sont pas parvenus à fuir », a-t-il déclaré à l’AFP, précisant que l’aide serait « distribuée immédiatement après la libération de la ville ».
M. Joubouri a indiqué que les forces du CTS progressaient rapidement dans Qayyarah et avaient déjà repris les principaux sites de la ville, quelques heures seulement après le lancement de l’opération. « La plupart des combattants de Daech (acronyme arabe de l’EI) ont été tués ou ont fui », a-t-il affirmé.
Après avoir repris en juin Fallouja, à l’ouest de Bagdad, les forces gouvernementales ont désormais Mossoul en ligne de mire, la deuxième ville du pays et capitale de facto de l’EI en Irak.
Un typhon, Mindulle, le neuvième de la saison en Asie, a accosté lundi près de Tokyo, accompagné de pluies diluviennes, forçant les compagnies aériennes japonaises à annuler des centaines de vols et perturbant la circulation sur les routes et voies ferrées.
Les deux pistes de l’aéroport international de Tokyo situé à Narita ont été fermées quelques dizaines de minutes en raison des vents puissants qui ont forcé à évacuer momentanément la tour de contrôle, selon un responsable sur place.
Le typhon, dont les pointes de vent peuvent atteindre 180 km/heure, est arrivé à la mi-journée sur la côte à Tateyama, au sud de Chiba, préfecture limitrophe de Tokyo, là où se trouve Narita. Il est assez rare que les typhons accostent en cette partie de l’archipel. Souvent, ils balayent d’abord une partie plus à l’ouest.
Une dizaine de personnes ont été blessées dans les diverses régions traversées, a indiqué la chaîne publique NHK, compilant des informations des services de secours.
Mindulle est accompagné de fortes précipitations qui devraient particulièrement toucher la capitale et sa banlieue dans l’après-midi et en début de soirée.
Au moins neuf cours d’eau des régions de Tokyo, Kanagawa et Chiba ont atteint le niveau d’alerte qui oblige à conseiller ou ordonner aux riverains de partir, a précisé la NHK dont l’antenne est presque entièrement consacrée aux informations sur ce cyclone tropical.
Des avis de conseil ou préparation à l’évacuation concernant des centaines de milliers de foyers ont été lancés pour plusieurs localités où risquent de se produire des inondations et des glissements de terrain, y compris dans une partie du centre-sud de Tokyo.
Des trains ont été stoppés ou retardés aux heures de pointe et ceux qui circulaient étaient ralentis et bondés.
Les rames de la ligne circulaire Yamanote au coeur de Tokyo étaient arrêtées dans l’après-midi en raison de la chute d’un arbre.
Les millions de salariés de la capitale craignent des perturbations encore plus importantes lors des trajets de retour.
Au moins 475 vols ont été annulés par les compagnies aériennes, en majorité par les deux principales, Japan Airlines (JAL) et All Nippon Airways (ANA). Ce nombre pourrait encore augmenter au fil des heures, ont-elles averti sur leurs sites internet.
« Des pluies terribles sont redoutées dans toute la partie est du pays avec des vents extrêmement forts », selon la NHK dont les journalistes enchaînaient les directs depuis les différentes régions concernées.
Entre 20 et 30 typhons balayent chaque année l’Asie, la moitié environ affectant le Japon.
Il a donc fallu attendre la 52e minute pour voir le Paris SG inscrire son premier but à domicile cette saison avec cette frappe de Lucas qui ne laisse aucune chance à Didillon. Jusque-là, les joueurs d’Unai Emery dominaient outrageusement mais manquaient de réalisme de façon incroyable. Edinson Cavani est le principal visé de cette stérilité parisienne en ayant manqué beaucoup d’occasions en première période. Une inefficacité de l’attaquant uruguayen qui avait décléenché les sifflets au Parc des princes. Mais ce but de Lucas est venu calmer, temporairement, ce public trop exigeant.
Depuis cette égalisation, le FC Metz a repris du poil de la bête et se procure de plus en plus d’occasions dans cette rencontre à l’image de Mevlüt Erding qui manque son duel face à Kevin Trapp à l’heure de jeu. Mais Kurzawa est venu saborder le mental des Lorrains en marquant de la tête à la 68e minute. Le match semble être désormais plié.
Les compositions :
Paris SG : Trapp – Aurier, David Luiz, Kimpembe, Kurzawa – Rabiot, Motta (c) – Di Maria, Pastore, Lucas (65e, Verratti) – Cavani
EN DIRECT. PSG-Metz (2-0) : Kurzawa creuse l’écart !
Merci d’avoir partagé cet article avec vos amis
Merci de compléter ce formulaire
Ajouter aux favoris
Cet article a été ajouté dans vos favoris.
Guingamp
2
–
1
Marseille
Terminé
Saint-Etienne
3
–
1
Montpellier
Terminé
Dimanche 21 Août 2016 à 20h45 – Arbitre : François Letexier
Paris SG
0
1
2
0
0
0
Paris SG
Metz
0
Score à la mi-temps
0
51 min.
Lucas Moura
66 min.
Kurzawa
Metz
Rafraîchissement dans 60secondes
88 min. – 2ème Mi-temps
Le match
La compo
Les 2 buts
Les 14 actions
Les 2 cartons
Les 5 changements
Les Chiffres
Réagissez
87 min. : Kurzawa manque le plus facile ! Alerté sur la gauche, il réalise un bon contrôle. Il enchaine avec un grand pont et centre vers Cavani au point de penalty. Malheureusement pour lui, son centre est trop haut.
85 min. : Le rythme est clairement moins élevé depuis le second but parisien. Hormis Cavani qui tente de se rassurer, très peu de joueurs apportent le danger.
83 min. : Ben Arfa provoque. Il sollicite le une-deux avec Verratti mais Falette sauve son camp de justesse.
82 min. – Changement: Rentrée du jeune Mollet en lieu et place de Jouffre.
80 min. – Changement: Sortie de Pastore pour la première rentrée de Ben Arfa au Parc des Princes.
79 min. : Pastore est parfaitement servi dans la surface. Il remet à Verratti qui doit enchainer par une frappe mais tente un crochet. Il est repris par la défense.
78 min. – Occasion pour Paris SG: Nouveau manqué de Cavani ! Di Maria le lance dans la surface d’une superbe transversale. Cavani décide de frapper de volée sans contrôle mais son tir est trop croisé.
77 min. – Occasion pour Paris SG: Quelle occasion ! Di Maria est parfaitement servi à l’entrée de la surface. Il enroule sa frappe qui s’écrase sur la barre. Le ballon sur Cavani, seul, qui contrôle et frappe pied gauche mais dévisse totalement. C’est un énorme manqué de l’Uruguayen.
74 min. : Ils veulent mettre le troisième ! Petit festival du trio Di Maria-Pastore-Verratti. Kurzawa est finalement servi sur la gauche. Il centre au premier poteau sur Pastore qui frappe en première intention. Son tir passe légèrement au dessus des buts de Didillon.
72 min. – Changement: Rabiot, émoussé, laisse sa place à Blaise Matuidi.
71 min. : Verratti se montre ! A peine rentré, le voilà servi devant la surface. Il en profite pour prendre sa chance mais cela passe au dessus.
71 min. – Changement: Double changement messin avec les sorties de Nguette et Doukoure pour Diallo et Sarr.
69 min. : Aurier est intenable devant mais laisse des espaces dans son dos. Nguette en profite pour tenter des choses mais il manque à peu près tout pour l’instant.
67 min. – But pour Paris SG: Le break est fait ! Sur le corner qui suit le sauvetage, Di Maria centre au second poteau. Kurzawa, seul, s’élève haut et frappe de la tête. Il trompe le gardien et met KO le FC Metz avec ce second but parisien.
66 min. – Occasion pour Paris SG: Sur la ligne, sauvé sur la ligne ! Passe parfaite de Pastore pour Kurzawa dans la surface. Le latéral remet en retrait sur Di Maria qui frappe directement. Le gardien est battu mais c’est Milan sur la ligne qui sauve et dévie en corner !
65 min. – Changement: Sortie du buteur, Lucas, pour la rentrée du chouchou du Parc des Princes, Marco Verratti.
63 min. – Occasion pour Metz: Nouvel arrêt de Trapp ! Cohade sert Erding dans le dos de David Luiz. Le Messin enchaine vite pour éviter Kimpembe. Sa frappe à ras de terre est repoussé du pied par le gardien parisien.
61 min. – Occasion pour Metz: Encore un bon coup-franc obtenu par Jouffre à 30 mètres des buts, légèrement sur la droite. Il décide de le tirer. Son centre pousse Trapp à sortir qui manque sa sortie en tamponnant Motta. Mandjeck tente de marquer dans le but vide mais frappe à côté.
60 min. – Occasion pour Metz: C’est la plus belle occasion messine ! Sur un ballon perdu devant la surface, Cohade récupère et efface Kurzawa. Il frappe à ras de terre mais Trapp effectue un bel arrêt de la main droite.
58 min. : Aurier est très actif en seconde période. Il multiplie les montées et se montre toujours aussi dangereux à droite.
56 min. : Sur un long coup-franc, il y a un cafouillage dans la surface. Au final, Milan traine et frappe de la tête mais Trapp intervient bien.
54 min. – Carton jaune pour Mandjeck: Di Maria part en contre mais Mandjeck l’arrête irrégulièrement. Il est sanctionné d’un carton jaune.
53 min. – But pour Paris SG: L’ouverture du score pour Paris ! Sur la droite, Aurier est alerté par Di Maria. Il sert ensuite Lucas qui arrive lancé. Il contrôle puis enchaine d’une frappe croisée imparable pour le gardien. Les Parisiens sont enfin récompensés.
51 min. : Le PSG manque de justesse technique dans les 30 derniers mètres. Ils perdent beaucoup de ballons dans cette zone.
50 min. : Di Maria avance sur la gauche. Il décide de centrer vers Cavani au second poteau mais Signorino était en couverture pour intercepter le ballon.
49 min. : Déjà en action pendant la coupure, Matuidi, Verratti, Meunier repartent à l’échauffement. Ils devraient rentrer assez vite.
47 min. : Pastore sert Aurier dans la surface. Le latéral se retrouve dos au but, essaye de se retourner mais il est repris par Signorino.
45 min. : C’est reparti entre Paris et Metz !
Mi-temps : Les joueurs reviennent peu à peu sur la pelouse.
Mi-temps : Mi-temps et toujours pas de but au Parc des Princes ! Le PSG domine outrageusement et si Cavani ou d’autres avaient été plus adroits, le score ne serait pas vierge. Metz souffre mais tient pour le moment. Les Messins peuvent s’estimer heureux de ne pas avoir été sanctionné d’un penalty évident sur Cavani en fin de première période. Paris devra être plus précis pour l’emporter en seconde mi-temps.
45 min. : Sur un duel aérien, David Luiz semble s’être fait mal. Il reste au sol, les soigneurs viennent s’occuper de lui.
45 min. – Occasion pour Paris SG: Lucas provoque sur la droite. Il tente de passer Signorino en vitesse et décide de frapper dans un angle fermé. C’est puissant et cadré. Didillon intervient d’une main ferme.
43 min. : Pastore rayonne au milieu de terrain. Il joue très juste et oriente bien le jeu parisien.
40 min. – Occasion pour Paris SG: Cavani est maudit ! Parfaitement servi par Di Maria au point de penalty. Il frappe et trompe le gardien. Mais Falette, devant la ligne, dévie le tir sur le poteau. L’Uruguayen devient fou.
39 min. : Récupération de Pastore à 30 mètres des buts. Il fixe la défense puis donne à Lucas à gauche. Le Brésilien remet sur DI Maria à l’entrée de la surface. Ce dernier tire sans contrôle mais il est contré lui aussi.
37 min. : Cavani n’a pas non plus ce coup de sifflet ! Sur une passe de Motta, Cavani réalise un magnifique appel et semble partir au but seul. Il est fauché irrégulièrement par Falette mais l’arbitre, à la surprise générale, ne bronche pas.
35 min. – Occasion pour Paris SG: Quelle occasion ! Pastore et Di Maria réalisent un double une-deux parfait dans la surface. Di Maria cherche à remettre à Aurier en retrait mais c’est un énorme sauvetage qui vient libérer Metz ! C’était très chaud.
33 min. : C’est très limite ! Sur une passe d’Aurier, Cavani veut contrôler mais s’effondre. Il a peut être été fauché par Mandjeck mais il est difficile de se faire une idée.
32 min. : Cavani n’y arrive pas ! Bien servi par Di Maria, il est en un-contre-un face à Milan. Il tente de le feinter puis de frapper mais il est une nouvelle fois contré.
31 min. – Carton jaune pour Aurier: Premier carton jaune du match pour Serge Aurier qui stoppe une contre-attaque intéressante pour Metz.
29 min. : Metz n’y arrive pas. Une fois le ballon récupéré, les joueurs n’arrivent pas à se donner de l’air. La balle est souvent perdue dans la minute.
27 min. : Cavani se précipite ! Di Maria déstabilise la défense d’une passe parfaite. Cavani, parti légèrement hors-jeu, est seul face au gardien dans la surface. Il manque totalement son tir qui, trop mou, est stoppé par Didillon.
25 min. – Occasion pour Paris SG: Il a flirté avec la lucarne ! Sur un long ballon, Cavani s’arrache et sauve du six mètres. Il remet à Di Maria, légèrement sur la droite de la surface. Il décide d’ouvrir son pied gauche. Son tir brossé frôle le poteau de Didillon qui semblait battu.
24 min. : Nouveau manqué de Lucas ! Beau une-deux entre Pastore et Di Maria. Pastore enchaine et sert Lucas au point de penalty. Le Brésilien tente de frapper mais rate le ballon.
22 min. : Sur la gauche, Lucas a un bon coup à jouer. Il provoque et tente de passer en vitesse face à Rivierez mais il n’y parvient pas.
20 min. – Occasion pour Paris SG: Pastore se montre ! Au milieu de terrain, il sollicite Rabiot pour un une-deux. Le Français lui remet en talonnade. L’Argentin avance à l’entrée de la surface et tire. Sa frappe frôle le cadre de Didillon.
18 min. – Occasion pour Metz: Le PSG est prévenu. Moins attentif, les parisiens laissent Cohade monter sur la droite. Ce dernier centre vers Erding qui dévie mais son tir passe au dessus.
17 min. : Nguette essaye de jouer. Dos au but, il contrôle et tente d’éliminer Kimpembe, sans succès.
15 min. – Occasion pour Paris SG: Kurzawa peut s’en vouloir ! Sur la gauche, Di Maria se joue de la défense. Il lève la tête, centre au point de penalty. Kurzawa surgit et tente de contrôler le ballon sans succès. Dommage pour Paris car Cavani était seul et prêt à reprendre le ballon si le Français ne lui avait pas grillé la politesse.
14 min. – Occasion pour Paris SG: C’était tout proche ! Sur la droite, Aurier joue le un-contre-un et prend l’avantage sur Signorino. Il centre au premier poteau vers Lucas mais ce dernier, à la lutte avec Milan, n’arrive pas à reprendre le ballon. C’est un sauvetage miraculeux de la défense messine.
12 min. : Belle passe au dessus de la défense de Pastore vers Di Maria. Le virevoltant ailier contrôle puis frappe de volée. Il est contré in-extremis par Rivierez.
11 min. : Di Maria récupère le ballon au centre du terrain. Il accélère rapidement puis tente un lob de plus de 40 mètres. Malheureusement pour lui, ce n’est pas cadré.
10 min. : Sublime talonnade de Di Maria vers Kurzawa dans la surface. Le Français remet à Motta à l’entrée de la surface mais le tir de l’Italien est contré par la défense.
09 min. : Belle percée balle au pied de Rabiot. Plein axe, il cherche à donner à Cavani qui est légèrement trop court pour contrôler le ballon.
08 min. : D’un dribble, Kurzawa élimine deux joueurs. Il décide de centrer vers le point de penalty mais Falette dégage.
06 min. : Quel geste ! Aurier déborde sur la droite. Il remet à Di Maria qui, en une touche, lance Pastore dans la surface. L’Argentin réussit un coup du sombrero sur le messin. Il veut enchainer ensuite mais le ballon sort en six mètres.
05 min. : Pour l’instant, c’est très brouillon au milieu de terrain. Le duel Doukoure/Rabiot est très intense.
04 min. : Metz relance déjà difficilement à cause du gros pressing des attaquants parisiens.
03 min. : Première offensive sur le côté droit. Lucas accélère, fixe et décale Aurier. Le centre du latéral ivoirien est contré en corner. Le coup de pied arrêté ne donne rien par la suite.
01 min. : Premier bon coup franc pour le PSG à 40 mètres des buts. Di Maria centre vers David Luiz qui reprend du pied mais il est contré.
01 min. : C’est parti pour ce match entre le PSG et le FC Metz !
00 min. : Les joueurs sont rentrés sur la pelouse, le match va démarrer.
00 min. : Côté parisien, on espérait le retour du génial Marco Verratti, il débutera sur le banc. Par contre, Edinson Cavani sera à la pointe de l’attaque pour la première fois de la saison.
00 min. : Pour affronter l’ogre parisien, Metz fait confiance à des habitués de la Ligue 1. Que cela soit Mevlut Erding, un ancien parisien, ou Cohade, ils misent sur l’expérience pour faire une bonne performance.
00 min. : C’est le premier match au Parc des Princes de la saison. Il faudra que Metz soit très solidaire pour ne pas souffrir face aux nombreuses offensives parisiennes.
00 min. : Bonsoir et merci de nous retrouver pour suivre, en direct commenté, la rencontre entre le Paris Saint-Germain et le C Metz pour le compte de la 2e journée de Ligue 1 au Parc des Princes. Le coup d’envoi aura lieu à 20h45.
Un Français, travaillant à Astaffort et résidant à Agen (Lot-et-Garonne), soupçonné d’avoir étranglé son ancienne compagne et leur fils de 7 ans à Eching, en Bavière, a été arrêté jeudi, selon la police locale.
L’homme de 52 ans, Alain Adone, d’origine mauricienne, est poursuivi pour double homicide par le Parquet d’Augsbourg, dans le sud de l’Allemagne.
Selon les médias allemands, le Français a avoué être l’auteur des meurtres. Le drame s’est produit mercredi, à la suite d’une dispute avec son ex-compagne de 36 ans, Hannah Voltz.
Ils s’étaient connus il y a une dizaine d’années à Astaffort, travaillant tous deux dans une agence de communication/presse, elle comme journaliste, lui comme graphiste, avant de se séparer il y a environ un an. Hannah Voltz s’était installée avec son fils, Anton, âgé de 7 ans, à Eching, mais le couple était resté en contact. L’homme était venu début août à Eching pour leur rendre visite.
Selon les témoignages des collègues de travail du graphiste, ils ont été alertés par un tweet sur le compte d’Alain Adone avec la mention « Murderer » (« Meurtrier »). Ils ont pu entrer en contact avec la famille de Hannah Voltz qui leur a confirmé le drame.
Toujours selon ses collègues, qui ont demandé à conserver l’anonymat, Alain Adone a été retrouvé aux côtés de sa compagne et de son enfant morts et aurait tenté de se suicider en se tranchant les veines. Il a été admis dans un hôpital-prison.
Il a été décrit par ses collègues incrédules comme quelqu’un de « bienveillant », « attentionné », « joyeux », qui « tenait à son enfant comme à la prunelle de ses yeux ». Il était investi dans la vie sociale comme président d’un comité de quartier d’Agen.