Il y a ceux pour qui la valeur suprême est l’attachement au territoire, ceux qui prêchent la mobilité et ceux qui n’ont pas le choix et se voient assignés à résidence, car leur quartier s’est transformé. Il y a, enfin, ceux qui sont contraints à la mobilité par un tiers. Dans tous les cas, les pratiques des baby-boomeurs à l’égard de l’habitat sont diverses et variées, comme le sont les composantes de ce groupe. Si les mobilités internationales prennent leur essor chez les retraités nouvelle génération, la grande majorité d’entre eux montre un attachement à son chez-soi, dans lequel ils ont…
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